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DVD A LA LOUPE


FREDDY VII : FREDDY SORT DE LA NUIT - EDITION PRESTIGE TF1

Lui écrire langeikki

Freddy VII : Freddy sort de la nuit - Edition prestige TF1 DVD sorti le 17/10/2002


Cliquez pour voir la jaquette en haute-définition

Editeur : Seven7 / Metropolitan Filmexport
Distributeur :
TF1 Vidéo

Date de sortie en salle: 3 Mai 1995
Durée du film : 1 h 46 min.

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Nombre de visites :
3013


   

Le Film : 7/10

Résumé : Heather Langenkamp, l'actrice du mythique "Les griffes de la nuit", reçoit depuis quelques temps de terrifiants coups de fil anonymes. De plus, son jeune fils se comporte bizarrement et ne cesse de parler d'un homme qui vient le chercher lorsqu'il dort. La jeune femme ne tarde pas a comprendre que Freddy Kruger n'est plus seulement un personnage de cinéma. Elle tente d'en parler a Wes Craven qui pourrait peut être l'aider ...

Avis :  Que grâce te soit rendue… Freddy sort de la nuit est avant tout la vengeance du créateur. Quoi de plus normal quand on voit ce qu’il est advenu de la franchise… 3 ans après La fin de Freddy qui devait marquer un terme définitif a la saga, Wes Craven qui semblait avoir rompu définitivement avec le mythe depuis sa tentative de scénario presque avortée sur « The Dream Warriors » décida de sortir sa créature de l’ornière pour un film. Il est mort sur pellicule ? Alors faisons le entrer dans la réalité. Oublions Elm street ou tout a été dit et invoquons le droit de réponse. A la censure et au puritanisme d’une Amérique des élites qui voit l’horreur des films comme le catalyseur d’une épouvante réelle, a ceux qui ont donné au mal des contours clownesques, a Hollywood qui fait et qui défait les légendes sans ciller et qui identifie les acteurs plus qu’il ne les voit… Freddy 7 est bel et bien un exercice de style plus ou mois habile mais qui a le mérite de respirer la tripe de son auteur. Ceux qui s’attendent à voir les responsables de New line et tout les acteurs de la saga saignés comme des cochons seront déçus. Cet épisode est avant tout un film psychologique réalisé comme un documentaire / fiction sur l’après Freddy. Le début est plus que prometteur, revoir Heather Langenkamp plus mature et plus femme que jamais nous donne les éternels regrets d’avoir sans doute perdu la une actrice de premier plan. Elle n’aura jamais eu de rôle à la mesure de sa sensibilité clairement affichée et de son talent. Wes Craven qui l’a toujours hautement considérée lui offre le rôle de sa vie (au sens propre et au sens figuré) Il dira même au sujet de son casting pour les griffes de la nuit que sa spontanéité l’avait imposée sans plus d’approche.

Bien sur elle n’est plus l’adolescente enthousiaste et sans fard qui joua dans Freddy mais une femme mariée avec enfant, harcelée par ses fans et assez loin de toute l’agitation hollywoodienne. Quoi de plus évident alors pour une comédienne si naturelle que de jouer son propre rôle ? Qui aurait pu être meilleure ? Sans doute personne et ce Freddy sort de la nuit est en premier lieu un hommage voilé à cette actrice sous estimée.

Le scénario assez complexe mérite une explication approfondie : Los Angeles est secoué par des tremblements de terre fréquents (référence a la phrase d’Amanda Wyss dans les griffes de la nuit ?) Heather Langenkamp vit plutôt paisiblement dans la périphérie d’Hollywood avec son mari technicien en effets spéciaux et son fils Dylan. Mais Heather est perturbée, elle reçoit depuis quelques semaines les coups de fils anonymes d’un maniaque. Il se plait a lui faire peur en faisant référence a Freddy Krueger personnage principal de la série de films dans lequel elle gagna une grande part de sa notoriété. Dans le même temps son fils se met a faire d’affreux cauchemars qu’il lui rapporte comme se déroulant toujours de la même manière : Un homme avec des griffes a la place des mains veut rentrer dans son lit.

Partie pour faire un show télévisé qui est censé réintroduire Freddy dans le cercle promotionnel pour un prochain come back cinématographique, Heather se voit conviée tout de suite après dans les bureaux de New line ou elle a rendez-vous avec Bob Shaye. Très surprise de voir que Wes Craven a déjà pensé a elle pour le personnage principal de ce nouvel épisode elle n’accepte pas le rôle d’emblée, pas du tout enthousiaste a l'idée de remettre le couvert une troisième fois. Très angoissée par le comportement de plus en plus trouble de son enfant, Heather demande a son mari de rentrer a la maison et de quitter son lieu de travail. Sur le chemin ce dernier trouvera la mort, la même mort qu’Heather vu dans un rêve cette nuit la… A partir de cet événement leur vie sera bouleversée, mère et fils vont vivre une descente aux enfers qui les conduiront tout droit dans l’antre démoniaque d’un Freddy entré au panthéon des figures marquantes du cinéma d’horreur.

Voila un script qui tient bien la route et qui nous change des morceaux de bravoure de ceux qui avaient tenu a garder le croquemitaine d’Elm Street vivant. Ce film aurait tout aussi bien pu s’appeler « Freddy a un plan » Et vous me demandez déjà quel plan ? La réponse est assez claire… Craven créa son personnage comme une incarnation du mal, vu que le mal ne meurt jamais Freddy n’est peut être plus vivant dans les films mais reste vivant dans la mémoire de ceux qu’il l’ont crée. Cette entité vieille comme le monde et que l'on appellera pour l'occasion « Freddy Krueger » s’insinuera dans les rêves de Wes Craven qui écrira un nouveau scénario dicté par le monstre lui-même, un scénario qui est censé l’expatrier dans la réalité. Ce script bâti comme une mise en abîme da la saga entraînera tout les acteurs ou responsables ayant officié sur les griffes de la nuit a cauchemarder de ce retour. Craven sera le « nègre » de Freddy, Robert Englund quasiment possédé, Bob Shaye obsédé et John Saxon deviendra lui complètement schizophrène. Heather « l’héroïne » prisonnière de son personnage depuis déjà 10 ans devra une nouvelle fois se défaire seule du monstre…

Tout cela est bien beau et tres intrigant mais qu’advient il de la mise en scène ? Il faut avouer que l’on s’ennuie un peu… L’ambiance est prenante, elle serre la gorge et captive le spectateur mais tout fan qui se respecte n’attend qu’une chose…. Freddy !!! C’est sans doute la que le bas blesse… Le film est rythmé de telle manière que le monstre n’est quasiment jamais à l’écran. La frustration est certaine et on se surprend à compter des dizaines de minutes entre chacune de ses apparitions… C’était sans doute un choix mais il fallait l’assumer complètement dans un sens ou dans l’autre…

Je m’explique : Faire un film sur Freddy sans le voir a l’écran aurait pu être une belle idée, ne pas savoir si les responsables du projet devenaient fous ou si tout cela était réel ça aurait pu faire un tres grand film si on y mettait les moyens mais le personnage de Dylan casse tout. Certes le réalisateur a voulu montrer que l’innocence est la première à reconnaître le mal mais personnellement je pense que pour plus d’efficacité scénaristique l’enfant d’Heather Langenkamp aurait du être mis sur le bas de coté de l’intrigue. Les codes de la franchise ont été brisés donc Freddy n’a plus besoin de s’en prendre aux enfants. Tout ce qu’il désire c’est reconquérir son honneur perdu et reprendre son identité de fantasme inavouable et éternel. Si on voulait faire du divertissement pur et dur il aurait également pu venir tuer ceux qui l’avaient crée pour devenir maître de son destin. La aussi ça aurait fait un drôle de bon film mais au lieu de ça on est le cul entre deux chaises et la pilule ne passe pas facilement…

Pour les autres aspects du film on peut noter au niveau des effets spéciaux un Freddy complètement redessiné. Il n’est plus aussi chétif et parait massif, musculature développée et gant organique. Son point fort est un caractère retrouvé entre le malsain et la terreur pure. Son regard est acéré et puissant. Son apparence nouvelle n’est pas trop à mon goût mais elle lui offre un renouveau dans un style pas déplaisant. Son grand manteau noir et son air d’écorché vif sont deux éléments déterminants qui en font une créature au graphisme gothique manifeste. Globalement une réussite.

Les séquences oniriques sont quasiment absentes et c’est plutôt le mélange de la réalité et de la fiction qui a été mis en avant. 3 scènes de meurtres seulement en oubliant sans doute volontairement le style coloré et délirant qui fit la réussite de la franchise. Elles sont d’une sobriété étonnante voir même un peu trop plates. Le final rattrape le coup avec le décor du repaire de Freddy véritable temple grec qui semble s’être accouplé avec l’enfer qui sera assimilé au panthéon cinématographique dans lequel il est entré grâce a sa notoriété toujours grandissante.

Le casting est beaucoup plus imposant que dans les précédents volets. On retrouve la bande des 3 du premier film (Englund, Langenkamp, Saxon) + quelques guest de chez New Line (Bob Shaye, Sara Risher) et le morceau de choix de cet épisode : Wes Craven Himself ! En ce qui concerne ceux qui ne jouent pas leur propre rôle on retiendra surtout le mari et le fils d’Heather Langenkamp interprétés respectivement par David Newsom qui deviendra un second couteau de séries télévisés et Miko Hugues enfant star au visage bien connu a qui l’on doit en particulier une bonne composition dans le Code Mercury d’Harold Becker.

Pour en finir avec cet épisode un peu particulier il faut dire que le travail a été exécuté assez proprement et que Wes Craven réussit à offrir une sortie un peu plus présentable pour sa créature dans un cadre moins étriqué qu’Elm Street. Il y eu pas mal de critiques et de déçus a son sujet mais que voulez vous…. Avant les films de Freddy étaient trop cons et maintenant ils sont trop intellectuels ou prétentieux… Le spectateur est un éternel insatisfait des qu’on ne lui présente pas ce qu’il espérait secrètement. Si Freddy sort de la nuit ne vous conviens pas, faites donc comme Wes Craven : prenez votre courage dans une main, une camera dans l’autre et…
Que le spectacle commence !!!

P.S : Moi j’y retourne…

Plan d’ouverture : Sur un vieil établi en bois, on aperçoit du feu et des outils, et les mains sales d’un homme en train de construire un jeu de griffes aussi inquiétantes qu’étincelantes… Les griffes se mettent à bouger, comme tirées d’un tres long, tres long sommeil forcé… L’homme pose une main tremblante sur la table et de l’autre s’empare d’une épaisse lame acérée. Derrière les lumières, des visages observent dans l’obscurité, prêts a rire ou a hurler de terreur ………………………….. Soudain Gretel poussa la vilaine sorcière dans le brasier incandescent, l’atmosphère sucrée de la maison se caramélisa sur ses lèvres apeurées et dans un souffle aussi bref que rassurant elle marmonna :

«C’est fini »


L'Image : 2.5/3

Détails techniques : Format Vidéo : 16/9 - Ratio : 1.85:1

Avis : Techniquement c’est l’édition la plus aboutie des 7 premiers films mais c’est aussi la plus récente… Les noirs sont profonds tandis que la lumière du jour a un coté opaque qui semble guider Heather vers la neurasthénie. Artistiquement parlant on a affaire à des décors plutôt froids mis a part la chambre de Dylan qui fera office de havre de paix grâce a ses effets de lumière chauds et la candeur qui s’en dégage. A part ça on aura droit à de grandes maisons dans un pur style chic hollywoodien, un hôpital et même le repaire de Freddy qui ressemble à un vieux musée. C’est classieux mais un peu sec.


Le Son : 1.5/3

Détails techniques : Dolby Digital 5.1 français et anglais et Dolby stéréo français - Sous-titres : Français / Anglais

Avis : Aie Aie Aie !!! La V.F connais encore de grosses carences dans cet épisode… Cette impression est encore accentuée quand on connaît les vrais timbres de Craven, Englund ou Shaye. Ils on des voix tres charismatiques et reconnaissables, les entendre si mal doublés est une petite catastrophe pour le passionné que je suis. Autre lacune, les effets sonores sont beaucoup plus poussés que les dialogues, attention donc à ne pas laisser votre télécommande trop loin si vous ne voulez pas finir sourd. Vive la piste V.O qui est elle vraiment remarquable.


L'Interactivité : 2/3

L'ergonomie des menus :
L’ergonomie a gardé le même mode de fonctionnement durant toute la saga. Le Film, Les Chapitres, Les langues et les suppléments. Les Menus sont légèrement animés et sonorisés comme d’hab.


Les bonus :

Je suis assez dubitatif sur l’intérêt qu’ont la majeure partie des bonus de ce Freddy… Au lien de faire parler les acteurs les responsables des effets spéciaux le producteur etc… On nous sert une sorte de mix d’interviews de personnes qui n’ont que peu ou pas de rapport avec Freddy : Un obscur professeur d’université, Clive Barker, Sean Cunningham etc… J’aurais préféré de loin connaître les avis de Robert Englund Heather Langenkamp et consorts sur cet épisode a part de la franchise. Je suis déçu…

  • La parole a Wes Craven : Interview du réalisateur segmentée en 5 chapitres. De la philo au cinéma : Il nous raconte lors de ce segment qui sera le plus long, son parcours post scolaire. On y apprendra en particulier qu’il est un parfait autodidacte et que son parcours était avant tout littéraire. Il démissionna de 2 postes d’enseignant et pris des risques inconsidérés mettant en péril sa propre famille pour réaliser son rêve : Etre cinéaste. Il fut même coursier et chauffeur de taxi avant de faire la rencontre qui changea sa vie et qui lui permit de signer son premier long métrage : Sean Cunningham. Dépasser les interdits : Mini séquence ou il nous parle de son approche du rôle de réalisateur de films d’épouvante qui lui a été inspirée par le film Massacre a la tronçonneuse. « Avant de craindre le méchant le public doit craindre le réalisateur » Affronter l’horreur : Ici Craven nous parle de la façon dont il a conçu Freddy sort de la nuit. Un avertissement aux censeurs qui si ils empêchent le mal de s’exorciser dans la petite lucarne ou sur d’autres supports le verraient ressurgir encore plus fort dans leur propre réalité. Thèse tres intéressante d’ailleurs sur la confrontation du réel et de l’imaginaire et de la nécessité de les garder toujours tres proches voire même a la limite du supportable ou du réalisable. Trop de suites : Le réalisateur nous apprends qu’il aurait pu faire une suite conventionnelle mais qu’après avoir revu les 6 premiers épisodes il comprit qu’il n’y avait plus rien a dire sur ce personnage ce qui le décide a littéralement le sortir de son contexte. Le rôle du réalisateur : Pour finir ce segment voit Wes Craven se mettre a nu et nous parler plus simplement de lui-même dans le cadre son métier. Beaucoup d’humilité et de lucidité sur le monde du cinéma sur la signification de l’art et sur la vie et les sociétés qui la composent.


  • Les sources du Gothique
  • Aimer le Gothique
  • L’imagerie S-M du Gothique : Mark Edmunson professeur d’université et auteur du livre « nightmare on main street » nous expliquera lors de ces 3 featurettes son analyse du mouvement gothique et de ses répercussions sur le cinéma d’horreur dans les années 80.


  • Freddy et Pinhead
  • L’énergie de Freddy
  • Exploiter le mythe : C’est Clive Barker qui s’y colle pour les 3 featurettes suivantes. Dans la première il fera un rapide comparatif entre son Pinhead et Freddy et il conclura qu’ils sont dissemblables mais tout 2 a leur manière soumis à un sado-masochisme tres puissant. Ensuite il parlera de l’énergie présente en Freddy qui le différencie encore avec ses personnages a lui qui sont fatigués et vidés de toute volonté. Il dira également a quel point il admire Craven d’avoir crée cet environnement onirique ou la hardiesse de son personnage peut être déployée sans réelles limites. Pour finir il comparera habilement la gratification qu’on éprouve quand une de nos créations se retrouve dans le domaine public mais aussi la dilution de l’œuvre originale que cela implique… C’est particulièrement vrai dans le cinéma d’horreur genre facile et dans lequel on peut se permettre les scenarii les plus abracadabrantes.


  • Renouveler la magie : Sean Cunningham regrette fortement dans ce chapitre l’abandon du rôle de la camera dans le cinéma d’horreur. Tout les éléments pouvant être modifiés grâce aux effets spéciaux ou a l’informatique ce qui rend la camera presque inutile. La magie qui se dégageait des scènes qui semblaient impossible à réaliser se voit effacée. Il préconise un retour a la magie par l’histoire et l’imagination pour permettre au genre de survivre


  • Freddy et le public
  • Freddy est sexy
  • Le mythe de Freddy : Ces trois dernières featurettes nous montrent l’archive d’une interview de Robert Englund datant de 1989 dans laquelle il explique sa façon de relaxer le public grâce a la personnalité vanneuse de Freddy pour mieux le surprendre ensuite. Il nous parlera de la réputation « sexy » qu’a le croquemitaine d’Elm street auprès des ados. Il nous donnera sa théorie qui consiste a dire que son arrogance son assurance et le milieu dans lequel il évolue lui donne peut être cet aspect auprès d’une certaine catégorie de spectateur. Pour finir il comparera le mythe des Freddy aux histoires de monos autour des feux de camp d’une troupe de scouts. Désormais nous sommes tous autour du feu et il est temps de prier pour que Freddy ne vienne pas nous chercher. Ne t’endors surtout pas…


  • Les Cauchemars :


  • La main ensorcelée : Une mécanique pas tres bien huilée…


  • Nouvelles secousses : La faille de….


  • L’accident : Adieu au volant


  • Cérémonie surnaturelle : Tempête au cimetière


  • La chanson de Freddy : Une nuit agitée


  • Freddy est la : Le retour


  • Nouvelle alerte : Un petit exorciste


  • Terreur a l’hôpital : Tina ?


  • Le chat et la souris : Attrape moi si tu peux


  • Heather redevient Nancy : Un air de déjà vu


  • Le royaume de Freddy : Le final


  • Filmographies : Robert Englund, Miko Hugues, Heather Langenkamp, John Saxon, Wes Craven, Robert Shaye, Marianne Maddalena


  • Bande annonce de Freddy sort de la nuit en V.O.S.T


  • Commentaire audio de Wes Craven : Wes Craven est seul sur son commentaire audio. Il utilise des termes tres techniques et raconte quelques anecdotes plus ou moins intéressantes. On apprendra en particulier que le personnage du petit Dylan s’est construit un peu inconsciemment sur le propre modèle de la jeunesse du réalisateur. L’anecdote la plus croustillante étant certainement celle ou Craven avouera qu’il a donné le nom da l’ancien responsable du M.C.A.A au docteur Heffner qui prends Heather Langenkamp pour une folle et qui pense que les troubles de son enfant sont dus aux films de sa mère. Richard Heffner qui était donc censeur coupa exagérément les films de Wes Craven tout au long de sa carrière, ce dernier exerce la une petite vengeance personnelle savoureuse a plus d’un titre.

  • Les Visuels : 1/1



    La pochette / Le packaging

    Le digipack est fidèle aux autres volumes de la série. Freddy apparaît beaucoup plus inquiétant sur la couverture et il faut noter que cet avant est a mes yeux l’un des plus beaux de la collection.



    La sérigraphie

    La sérigraphie est sans doute la meilleure des 7 disques. Le visage de Freddy dans des tons rouges vifs s’y fond a merveille. Une réussite.


    Note Finale : (14/20)

    Commentaires concernant cette critique

    - le 28/07/2013 à 13:57 par Monsieur Burns : Personnellement, je me suis un peu ennuyé avec ce film.. Et j'ai eu du mal avec le nouveau faciès de Freddy, je prefere le gant classique. Et je trouve aussi le petit garçon, qui joue le role du fils de Heather, très agaçant et mauvais acteur. A noter que Tuesday Knight (Kristen du Freddy 4) fait une courte apparition dans le film..
    - le 30/01/2007 à 20:54 par langeikki : Merci a vous 2 pour vos compliments tres sympas :) Ravi D'avoir pu vous interesser grace a mes critiques. Rigolax sans rancune au sujet de Freddy 5 chacun son avis et si ca peut te rassurer ma copine l'a bien aimé aussi lol A bientot sur dvdpascher.
    - le 28/01/2007 à 17:27 par psychonicolaspathe : Je n'ai quu'ne chose à dire : bravo !!!! Tes critiques de l'intégral de la saga sont passionanntes et superbes !! ça a été un vrai régal de lire tout ça !! Sinon, ben je suis entièrement d'accord avec toi : cet opus 7 est bien meilleur que les 5 précédents !! On retrouve enfin le vrai Freddy sadique et terrifiant des "griffes de la nuit" ainsi que le premier degré !!
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