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DVD A LA LOUPE


BEOWULF

Lui écrire SebsokK

Beowulf DVD sorti le 17/04/2002


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Editeur : M6 Vidéo
Distributeur :
Warner Home Vidéo

Date de sortie en salle: 28 Avril 1999

Durée du film : 1 h 39 min.
Acteurs: Christophe Lambert

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Nombre de visites :
1349


   

Le Film : 5/10

Résumé : Dans un monde hors du temps, où règne la barbarie la plus cruelle, une créature sanguinaire extermine sauvagement les habitants d'une forteresse assiégée. Seul Beowulf (Christophe Lambert) ose la défier...

Avis : J'en entends déjà dire que je perds mon temps à "louper" un tel navet... Mais en fait je sais tous qu'au fond vous êtes jaloux et que vous aimez tous Christophe Lambert! Je garde une tendresse particulière pour "Beowulf": je me rappelle avoir été le voir au cinéma en 1999. J'étais en pleine adolescence, en pleine période "jeu de rôle", et les univers Médiévaux Fantastiques étaient alors "mon kiff" comme disent les jeunes. Bon ok j'avoue ca l'est toujours un peu au fond de moi, mais j'ai arrété de me prendre pour Légolas et je ne porte plus jamais mes magnifiques oreilles pointues...

Car ce qui m'a plu, et ce qui me plaît toujours dans "Beowulf", c'est bel et bien son univers. C'est un mélange (plus ou moins bien dosé d'ailleurs) de pleins pleins d'univers emblématiques de la Science Fiction (SF) ou du fameux Médiéval Fantastique (MedFan). Après ce petit exposé, on verra si vous voyez encore en ce "Beowulf" une honteuse boue ou une curisiosité un peu plus ambitieuse qu'elle n'en a l'air de prime abord...

Tout d'abord le décor: nous avons une forteresse à l'architecture très étrange. La base ressemble plus ou moins à un chateau fort du moyen age, sauf que le donjon est remplacé par une grande tour surplombée de 5 "griffes" lance-flammes qui s'ouvrent et se referment un peu comme le ferait une main. La fumée et les flammes s'échappant de ces "doigts" rappellent un univers que j'apprécie en particulier: le "SteamPunk". Pour mémoire, cet univers est ni plus ni moins un univers "MedFan" sauf que la technologie y est plus évoluée et on voit tout un tas de drôles de machines fonctionner à la vapeur. Souvent d'ailleurs la technologie y est opposée à la Magie et cela entraine de nombreux conflits. Cet aspect du SteamPunk est suggéré dans le film en comparant les assiegeants aux assiegés. Dans la forteresse, tout a l'air "moderne" (les armes, les armures (nous y reviendrons), le système de mégaphones...), mais les assigeants dehors semblent tout droit sorti de "Willow" (en plus cheap). Leur général a un fort accent français, une épée toute simple et un casque à cornes noir, leur bourreau a un masque en pierre représentant un crane (très reussi) et leur équipement est très rudimentaire. Pareil pour leur "guillotine": une simple lame qui s'abat sur le ventre de sa victime...
Si on regarde autour de la forteresse, le décor est d'une pauvreté à pleurer. Ce vide rappelle les univers "Post-Apo" à la "Mad Max" ou encore "Waterworld"... Mais pour moi perso la référence absolu en la matière reste le jeu de rôle sur PC "Fallout". Enfin son côté très sombre et son ambiance très Gothique (je parle pas des Gothiques qui s'habillent en noir, mais de l'ambiance j'insiste) lui donnent une touche de "Dark Fantasy" plutôt bienvenue. Vous voyez: "Beowulf" se situe donc à la croisée de trois univers déjà rien que pour son cadre...

Pour l'Histoire, c'est aussi compliqué qu'un mauvais scénario de "Donjons & Dragons". Un héros débarque dans une forteresse sur son fier destrier pour traquer le Mal (et accessoirement se faire la Princesse sur le chemin de ronde). C'est pas original, c'est du vu et revu mille fois et c'est la base de l'"Heroic Fantasy" (100% axé MedFan donc). Même constat pour les personnages: on retrouve le roi grisonnant, sa fille fortement poumonnée las de sa condition de Princesse (elle est d'ailleurs l'unique femme du chateau: cela explique sans doutes pourquoi tout le monde cherche à sortir avec...), le Chevalier un peu brute mais amoureux de la Princesse, le Maître d'Armes et le méchant monstre...
Il est toutefois intéréssant de voir que la façon dont ces personnages sont traités n'a rien à voir avec l'univers MedFan. Le Maître d'Arme en est un parfait exemple. Vous avez vu "Sex Academy": avec Malik qui prétends être le seul Black du film imposé par les quotas, et que son rôle c'est de gentiment rester en dehors des conversations, d'avoir l'air sympa et de seulement dire "P'tain!", "Zarma! Fais chier!" et "C'est Quoi ce Binss'?!"? Et bien le Maître d'Armes il a exactement ce rôle... et c'est le seul Black du film! Vous imaginez un tel personnage dans "Le Seigneur des Anneaux"? Débarquer dans la salle et parler comme Chris Rock dans "Rush Hour"?
Le monstre aussi est intéréssant à analyser: il n'a rien d'un monstre MedFan. Il ressembe traits pour traits aux Skaarjs du jeu vidéo "Unreal". Il possède en plus la faculté de devenir invisible dans un effet rappellant "étrangement" celui du Prédator... On baigne en pleine SF là!

Parlons enfin des armes et des équipements qui sont à mon avis les élements les plus réussis du film... La base là encore est pure MedFan: on retrouve épées, lances, armures... Seulement tout est monté à la sauce Gothico-SteamPunk: les armures rappellent Robocop ou Dark-Vador plus que Lancelot (avec des fermetures éclairs un peu anachroniques partout), les épées ressemblent plus à des tronçonneuses, et les lances ont des petites scies circulaires au bout qui ne cessent de tourner. Pareil pour l'équippement de Beowulf, qui a une dague qui lance des scies circulaires (encore!), un fléau Nuncaku qui peut aussi servir à capturer les ennemis et une paire de piolets de combat (on dirait des Kamas pour les connaisseurs). Bis Repetita pour les combats à main nues: je ne pense pas que les chevaliers de la Table Ronde savaient faire du Karaté et des sauts périlleux dans tout les sens. Ils étaient un peu naze d'ailleurs parce que notre Christophe Lambert il sait le faire lui!

Dernière parenthèse sur la musique: dans "Beowulf" on n'a pas des choeurs médiévaux comme dans "Le Seigneur des Anneaux" mais de la Techno Hardcore débridée de supermarché comme dans "Mortal Kombat". Bon c'est vraiment un genre musical que je deteste, mais dans les films bien musclé je trouve que ca passe quand même. On a même un bon morceau de "The Crystal Method". Comme dans "Blade"... Et en parlant de cela, je trouve que par bien des aspects, Beowulf se rapproche de héros. On pourait même penser que lui aussi est tiré d'un Comics.

Comme vous pouvez le voir donc, l'univers de "Beowulf" c'est un gros bazar, un mélange de pleins de choses secouées au Shaker. Le résultat est original, et j'ai même envie de dire unique au cinéma. Rien que pour cela, je pense que le film mérite le coup d'oeil... Il fallait être sacrément ambitieux et perseverant pour oser sortir ce film! Je pense que si j'ai autant parlé de jeux vidéos en décrivant l'univers du long métrage, c'est tout simplement parce que "Beowulf" est un jeu vidéo, avec ses niveaux, ses boss de fin et ses musiques. Si on le prends comme cela et pour le simple divertissement qu'il est, le film n'en est que plus appréciable.

Seulement l'univers de fait pas tout (sinon je suis persuadé que "Beowulf" aurait pu devenir culte!). Le film manque parfois un peu trop de rythme pour être vraiment être palpitant... Si l'action avait été multipliée par deux, cela aurait été certes du "non stop" et aurait eu un montage a rendre épileptique les plus sensibles d'entres nous, mais cela aurait assumé pleinement son côté "jeu vidéo". L'intrigue se perds sur des interrogations aux réponses absurdes qui allourdissent le long métrage: Qui est Beowulf? Quel est l'histoire de la Princesse (ca c'est le must si on y réfléchi bien la réponse n'a aucune utilité à l'intrigue)? Est ce que combattre le Mal fait de nous le Bien (on s'en fout tant que y'a de la baston!)?
Les dialogues parfois sont d'une platitude affligeante... Beowulf a tendance a répondre en répétant ce que vient de dire son interlocuteur, ce qui ne fait pas vraiment avancer le dialogue, et ses répliques sensées être drôles et stylées fleurent bon le bac à sable. Christophe tu aurais pu faire un effort sur celle la quand même! La touche féminine du film, c'est Rhona Mitra (celle qui aurait du jouer Lara Croft et qui a été remplacée par Angelina Jolie... Dommage je trouve qu'elle ressemble beaucoup plus à l'héroïne vidéo ludique). A part ses imposants pectoraux (suivez le regard de Christophe Lambert sur la deuxième image), elle n'apporte pas grand chose au film. Elle se situe au centre de nombreuses intrigues... complètement inutiles à la trame principale. Donc son rôle n'est pas vraiment intéressant...

La réalisation enfin: on retrouve la même "qualité" que "Mortal Kombat". C'est à dire que les images s'enchainent très vite pour augmenter artificiellement l'intensité des combats, c'est très cut et ca colle à la musique. Classique pour le genre: "Bioman" le faisait déjà...
Le monstre est plutôt crédible: il passe son temps dans le noir, et l'illusion marche plutôt pas mal. Par contre les effets spéciaux c'est une catastrophe! Quand le monstre disparaît dans un flou violet horrible, ou quand le boss final se métamorphose, c'est de l'image de synthèse à peine camouflée... Toujours pour le fameux boss final: Beowulf le combat en pleine lumière et on voit tout les trucages... Pourquoi ne pas avoir repris le même système de pénombre?! Le truc est assez connu non? Mieux vaut ne pas montrer beaucoup d'un monstre mais que le peu soit crédible qu'un gros tas de pixels...

Au final, "Beowulf" est une curiosité. Gentil navet original et ambitieux (dans son univers je précise...), les fans d'univers parallèles en tous genres apprécieront à condition de savoir passer sur ses défauts, à savoir une réalisation pas toujours au top, une intrigue molle et des dialogues plats. Par contre, on l'aime pour Christophe Lambert (oui je l'assume), les seins de Rhona Mitra (je l'assume aussi!) et son originalité esthétique.

Et bien sûr j'allais l'oublier, on l'aime pour le rire irrésistible de Christophe Lambert! J'ai eu peur, on ne l'entends pas de tout le film, et c'est finalement juste avant le générique de fin que Christophe se lache et glousse une unique fois avant la tombée de rideau! Ca valait le coup de tenir jusqu'au bout!


L'Image : 2/3

Détails techniques : Format Vidéo: 16/9 - Ratio: 1.85:1

Avis : Je ne sais pas trop quoi dire sur la qualité de l'image de "Beowulf"... Non pas que les couleurs soient fades, que le contraste soit mal réglé, que la compression soit voyante (même dans les scènes nocturnes avec de la fumée ce n'est pas le cas) ou que tout simplement l'image souffre d'un quelconque défaut... Non c'est juste qu'elle a tendance à sauter ou trembler très légèrement parfois. Et ce parfois est un peu trop souvent à mon goût quand même: je crois avoir compté 3 grosses sautes d'image au total... Certes elles ne durent que le temps d'un battement de sourcils, mais même c'est le genre de trucs qui empeche toute immersion totale dans un film, donc je sanctionne!


Le Son : 2/3

Détails techniques : Dolby Digital 5.1 en Français et 2.0 Dolby Surround en Anglais - Sous-titres : Français

Avis : Alors là je ne sais pas vraiment quoi dire... J'ai commencé par regarder le film en Français, pour profiter du 5.1, et je n'ai pas tenu plus de 30 secondes j'ai switché très vite à la VO (en stéréo). Et la j'entends une très grande différence de son: il semble bien meilleur! Sceptique, je remets le film à zéro, pour le générique très "Techno", et je reswitch parmi les différentes pistes sonores. La différence est flagrante! Les basses ressortent dix fois mieux en VO, et toutes les musiques presques effacées sur la piste française sont sur la VO bien présentes en première ligne... Par contre la localisation des sons en 2.0 est bien entendu assez limitée, mais elle n'est pas vraiment mieux sur la piste française.
Pour résumer: on a le choix entre une VO 2.0 de folie, et une VF 5.1 minable... Camarade! Choisi ton camp!


L'Interactivité : 1.5/3

L'ergonomie des menus :
Les menus sont tous complètement figés, sans aucune animation ni aucun son ou amibiance sonore. Pareil pour les transitions: à la trappe. Mais bon arrivé à ce point là on n'en demandait pas tant! C'est donc extrèmement minimaliste, et au niveau des décors c'est pas super recherché non plus... On se prends le visage de Christophe Lambert en gros plan en plein dans la face sur tout les menus. Cela permet d'admirer la plastique (presque) avantageuse de l'acteur! Et oui il n'a pas que son rire mythique pour chasser la demoiselle!
A part cela, les menus sont simples et seul un attardé mental n'y trouverait pas son chemin... Ooops j'ai parlé trop vite je crois! En effet, je me suis un peu perdu en cherchant les bonus...


Les bonus :

Drôle d'idée: les bonus sont divisés en deux parties dès le menu principal... Enfin d'habitude y'a une partie "Bonus" et on y retrouve tout les extras du DVD. Pas pour Beowulf. Comme vous pouvez le voir sur la première image du menu, sur la page principal on vous laisse le choix entre les "Bonus Christophe Lambert" et les "Bonus Beowulf". Est ce une ruse pour faire croire que le DVD a plus d'extras qu'il en a l'air? Je n'en sais rien... Mais en tout cas c'est assez déboussolant. J'avoue que je vais assez vite, et après avoir cliqué sur le premier bonus a portée, je n'ai pas pensé a retourner en arrière pour vérifier que je n'en avait pas oublié. C'est après avoir relu le dos de la pochette que je me suis rendu compte que j'avais manqué quelque chose... et cela aurait été dommage de manquer du Christophe Lambert non? Non?!

  • [Bonus Christophe Lambert: Interview]: Christophe Lambert, c'est un rapide. Quand il fait une interview, il aime bien que ca pulse, alors il est clair, va droit au but et ne se répète pas. Après montage et ajouts de quelques extraits du film pour rallonger le tout, ca dure exactement 34 secondes. On va dire que c'est un art de faire passer un messager aussi rapidement: parfois certains acteurs peuvent parler 20 minutes pour finalement pas en dire beaucoup plus que Christophe en 34 secondes...
  • [Bonus Christophe Lambert: Filmographie]: Tout simplement la filmographie complète de LA Star Française.
  • [Bonus Beowulf: Making-Of Sous Titré]: En fait d'un Making-Of complet, c'est plutôt le Making-Of de la première scène. Celle ou la servante tente d'échapper à l'armée qui assiège la forteresse et qui sera sauvée (pour quelques minutes du moins) par Beowulf. C'est pas très long (moins d'une dizaine de minutes) mais ca vaut le détour malgré tout. On y voit Christophe qui ne cesse d'enlever ses lunettes de soleil pour tourner et de les remettre juste après alors que le temps est on ne peut plus couvert. On y voit aussi la ravissante actrice qui fait le rôle de la servante se prendre les pieds dans le fil de la caméra alors qu'elle tente de rouler sur le côté de la table où elle était attachée. Enfin, on y voit Christophe Lambert combattre au ralenti un cascadeur coopératif et "imposer son style" de combat aux réalisateurs. Amusant je vous disait! Et oui aussi: c'est drôle comme Christophe parle anglais avec un accent français dès qu'il n'est plus en train de tourner!
  • [Bonus Beowulf: Bande-Annonce]: La Bande-Annonce Américaine du film. Bien classique, avec la grosse voix off habituelle pour les films d'action et les explosions de partout. Je vous déconseille de la voir sachant qu'elle spoile pas mal l'intrigue qui est déjà pas si épaisse...
  • [Bonus Beowulf: Affiche]: Pas grand chose à dire: c'est juste l'affiche du film lors de sa sortie en salle. Elle est très proche de la pochette, tout les textes en moins.
  • Au final, le contenu est très "light", mais quand on prends un peu de distance et que l'on se rappelle que "Beowulf'" est un Film de Dark Fantasy Gothique (plus ou moins...) avec Christophe Lambert en personnage principal, on se dit qu'après tout c'est quand même pas mal... J'ai vu de meilleur films sans aucun bonus...


    Les Visuels : 0.5/1



    La pochette / Le packaging

    Bon quand on cherche dans les bacs à soldes d'un hypermarché spécialisé, on ne s'attends pas à trouver un magnifique Digipack Collector... Pour être franc, j'étais déjà heureux de retrouver ce petit nanard de mon adolescence!
    Au menu: boîtier plastique Amaray noir avec une pochette pas si moche! J'aime bien les teintes de bleus foncés... Ca repose les yeux! Sur le recto de la pochette, on retrouve l'affiche du film avec le titre, l'épée "de la mort qui tue grave" et le visage de Christophe Lambert en fondu. J'aime beaucoup la phrase d'accroche: "Au coeur des Ténèbres, Un Homme se Bat". Plus clair que ça, tu meurs!
    Au verso, c'est aussi la fête avec des titres aussi énormes que "entre "Mad Max", "Highlander" et "Mortal Kombat": Ca Déménage!" rédigé par le très sérieux "Figaro"... Ils doivent se sentir bien couillons aujourd'hui... Il paraît que le journaliste responsable de cette phrase a disparu peut après la sortie du DVD mais ce n'est qu'une simple coïncidence. On retrouve Christophe en gros plan et deux images du film dont une constitue un choix particulièrement douteux (il paraît que les seins sont un argument de vente comme les autres...).
    Dans son ensemble, je trouve néanmoins la pochette réussie... Ca fait "cheap" certes, mais ca fait le charme du produit, et au niveau technique pure c'est pas si nul!



    La sérigraphie

    La sérigraphie reprends le thème "brume bleue" de l'affiche et de la pochette du DVD, et on y voit notre Christophe Lambert préféré prendre la pause, plus péroxidé que jamais! Au dessus de lui, le titre en police futuristico-gothique et le manche de l'épée utilisée sur l'affiche (mais pas présente dans le film!).
    Les logos sont discrets car... inéxistants! Vous voyez les amis quand vous voulez faire un effort! Les mentions légales sont regroupées à gauche du rond central (imprimé), ce qui est un emplacement original mais pas si mal en fin de compte. Les contours du DVD sont plus libre...

    [ Voir le Top Sérigraphie pour ce DVD ]


    Note Finale : (11/20)

    Commentaires concernant cette critique

    - le 15/02/2007 à 12:24 par Pierrot44 : pfff ... j'en reviens pas, tu m'as donné envie de revoir ce film voir de l'acheter... c'est vrai que pour le prix on perd pas grand chose :-)
    - le 15/02/2007 à 09:31 par SebsokK : Roh quand même c'est pas dur d'en dire beaucoup sur Christophe Lambert! Au passage un petit cadeau bonus pour tout ceux qui auront lu cette loupe: la boite à rire Christophe Lamber! http://www.nanarland.com/machinerire.htm
    - le 15/02/2007 à 08:51 par Niko06 : J'adore ta critique!!! On sent bien l'affection que tu portes à ce film et c'est tout à fait louable ;). Et réussir à écrire autant sur ça, moi je dis chapeau! Perso j'aurais pas réussi à dire plus de 2 phrases lol
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