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BABYLON 5 : L'INTéGRALE SAISON 1 à 5 / EDITION BELGE

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Babylon 5 : L'intégrale Saison 1 à 5 / Edition belge DVD sorti le 08/11/2006


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Editeur : Warner Home Vidéo
Distributeur :
Warner Home Vidéo

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Nombre de visites :
946


   

Le Film : 10/10

Résumé : Babylon 5, un foyer de conflits entre 5 races différentes, le port d'attache des diplomates, des contrebandiers, des terroristes et des rêveurs...

Avis : Cette série est un coup de foudre. J’ai profité d’une offre spéciale de la Warner sur ses séries phares pour acquérir le premier coffret. J’ai acheté les 4 autres en moins de 3 semaines et ai compulsé le tout en moins d’un mois et demi. C’est dire la qualité et le côté prenant du programme (bien que je ne me pose pas en indicateur de bon show)(et puis si après tout). Bien sûr, une intrigue reposant sur un scénario d’anticipation est chose courante. Citons évidemment le dinosaure qu’est Star trek et ses nombreux dérivés en la matière, dont le segment Deep Space Nine était diffusé en même temps que Babylon 5. Mais Babylon 5 revêt un caractère unique, son histoire a été écrite pour durer cinq ans et été déjà rédigée avant le premier coup de manivelle. Intégralement, dans ses moindres détails, ce qui donne une cohésion unique à l’ensemble que ne possède malheureusement pas son aînée. La nouvelle génération , Voyager, Classic et Deep Space Nine (je ne me prononce pas sur Enterprise que je n’ai pas encore vu) possède leurs lots d’épisodes fascinants et bien foutus mais qui ne se suivent malheureusement pas dans leur continuité. Bien sûr, Roddenberry a conçu un univers cohérent que ses successeurs ont eu a cœur d’étoffer et de faire grandir, un peu comme le monde des comics Marvel où il n’est pas impossible que Wolwerine croise Daredevil (Strange n°188).

Mais il n’y a pas véritablement d’enjeu dramatique. En gros Kirk et Picard visite la galaxie en rencontrant des gentils et des méchants, les guerres trouvant une échappatoire dans des zones neutres et des différends diplomatiques. On peut penser à la guerre civile klingonne qui s’étale sur plusieurs saisons (où Denise Crosby réinvente la manière de jouer plusieurs rôles avec le même visage. On la retrouvera plus tard dans la série Lois et Clark en tant qu’infirmière de Luthor ou dans une adaptation de Stephen King, Simetierre il me semble) ou le combat fratricide en Data et Lore. Néanmoins, toutes ces intrigues ne touchent que deux ou trois épisodes et pas toujours à la suite. Rares sont aussi les évènements apportant des éléments tellement solides qu’il faille plusieurs scénarii consécutifs pour les traiter (à part les cliffhanger de fin de saison et un double épisode peu mémorable avec Spock ou encore un autre vraiment prenant cette fois ci avec David Warner en cardassien torturant Picard). Les tatillons objecteront que certains enjeux nécessitent sept saisons pour être résolus, vis-à-vis du procès de l’humanité mis en place par Q qui débute et termine à la fois cette saga télévisuelle. Star trek (que j’adore) permet de s’attacher aux personnages dans un sens positif (Data et sa quête d’humanité, la relation Picard-Crusher ou Riker-Troy, le besoin de Worf de s’intégrer dans un monde qui lui est propre, tâche difficile pour le transfuge involontaire qu’il représente, on citera aussi les fantasques guest stars que sont Lwaxanna (interprétée par Mme Roddenberry), Q (qui habitué à être Dieu se retrouve en fondateur dans Charmed sous le nom d’Odin, quitte à cumuler, autant le faire bien !) et les deux empereurs Klingons) ou négatif (rejoignez le comité anti Wesley Crusher , l’adresse est la même que celle des anti Jar Jar) et présente des scènes spatiales soignées à grand renfort de maquettes auxquelles on s’habitue.

Babylon 5 reprend tout ça , et en beaucoup mieux. Les SFX peuvent paraître désuets de nos jours face à des Star Wars sans âmes (et qu’on en me parle pas du troisième opus ! Anakin est joué par un débile, Dark Vador est un playmobil non articulé, le grand Moff est un affreux copié collé faisant passer Cushing pour un mort vivant à peine sorti de son bidon de formol, les enjeux sont ridicules et l’hécatombe des Jedis est très ou trop convenue. Idem pour l’affreuse transformation en Morgan le Brulé de l’empereur, la mort insultante de Christopher Lee qui réussi l’exploit d’être encore plus bête que sur son scooter des sables dans le second opus, l’accouchement de Padmé est con à en pleurer, dénué de toute magie, de toute poésie et Vador se mettant en colère et bousillant les installations médicales me fait encore taper sur la cuisse tellement c’est mal fait. On passera sur la présence absurde malgré une idée de départ originale, d’un général droïd maniant les sabres lasers comme des pâles d’hélicoptère… j’arrête là car je dois m’en tenir à Babylon 5 mais tout le monde comprendra que je déteste cette nouvelle trilogie et je me fiche complètement que cela déplaise!) mais on s’y fait remarquablement vite, vu la densité de l’histoire et des combats.

L’aspect le plus fort de ce chef d’œuvre tient aussi dans ses personnages. Chacun passant au départ pour ce qu’il n’est pas et se transformant tout au long des 30 rondelles atteignant des sommets dramatiques et inattendus. Le coffret 1 pose les bases sous le titre de Symboles et présages (le titre lui-même de chaque coffret , présenté comme une intro pour la saison 1, le développement pour les saisons 2,3 et 4 et enfin la conclusion pour l’ultime coffret n°5 démontre si besoin est l’intégrité et la construction ordonnée d’une saga dont il ne faut manquer aucun épisodes) et accroche le spectateur lambda en moins d’une dizaines d’épisodes.

C’est alors parti pour assimiler un monde nouveau constitué de minbarris, de narns, de centauri, d’humains, de pacmaras et de tant d’autres !
Les héros comme Sinclair sont soumis à rude épreuve pour assumer leur destin (retournement de situation incroyable pour lui qui ne nous sera dévoilé que deux saisons plus tard, c’est dire la consistance de la chose !), les adjuvants comme Garibaldi, Delenn, Lennier, Cotto, Franklin, Na’Toth prenent prennent peu à peu toute leur ampleur pour les saisons à venir.
La haine viscérale entre Londo et G’kar va représenter à elle seule l’un des fils directeurs majeurs en parallèle avec la présence d’un ennemi séculaire Les ombres. Enfin citons Bester qui apporte avec lui un autre morceau du puzzle avec le mystérieux corps Psy, véritable caste humaine honnie par les humains par peur de la différence et de la violation de leur vie via télépathie (on est loin de la tolérance de xavier dans les X Men)

Ces 22 épisodes parfois un peu lent, force est de l’admettre, sont indispensables pour comprendre la suite des évènements, surtout que certains points à peine abordés trouveront leur finalité dans la saison 5 et pas avant.

On notera au passage la présence d’une bonne partie du cast de Star Trek toutes séries confondues dans cette série : Koening en tête, acteur particulièrement doué pour doner le change dans le sadisme et la vilenie démontrant que Chekov n’est pas tout dans sa vie, mais aussi Majel Barret-Roddenberry qui interprète une pierre de plus dans le parcours chaotique de Lando, Dwight Shultz , mémorable Brocoli de La Nouvelle Génération ou encore le doubleur français de Riker qui se retrouve à prendre la parole d’un des persos majeurs de la saison 3et 4, Marcus . On peut aussi signaler dans un épisode le valet de la Famille Addams qui dans STTNG et DS9 jouait les larbins (décidemment) de Lwaxanna Troi.
De toutes façons, tous les interprètes sont justes et donnent corps au récit, qu’ils soient inconnus ou presque (la majeure partie du cast) ou qu’ils soient Guest Stars comme Michael York en Arthur, David Warner en quête du Graal (et qui jouera aussi un gradé terrien dans Star Trek 5), Robert Englund et bien d’autres !

Les 3 saisons suivantes (La venue des Ombres, Point de Non retour et Ni reddition, ni retraite) sont un modèle de ce que devrait être une série TV de son début à sa fin (une bonne partie de la saison 4 a du être remaniée pour intégrer en catastrophe les éléments clefs de la saison 5 pour cause de faillite de diffuseur), loin d’être le massacre malheureux d’X-files ou même de Buffy (qui ne valait le coup d’œil que pour ses trois premières saisons, l’initiative et Adam étant assez pénibles tout comme le coup de la sœur clonée et du ton parodique des 44 derniers épisodes) et restent captivantes nous montrant en vrac les véritables raisons de l’ingérence des Ombres et du mystère des Vorlons (les plus sadiques ne sont pas ceux que l’on croit) , la naissance et la fin d’une guerre entre Narns et Centauris (Peter Jurasik et Andreas Katsulas aurait du recevoir chacun suffisamment d’emmy awards pour construire une maison avec, tant leur jeu est dense et représentatif des races dont ils sont issus ! G’Kar qui a dix fois plus de maquillage sur la gueule et le corps que Darth Maul est mille fois plus expressif que n’importe quel bellâtre US d’aujourd’hui !) et le déroulement d’une guerre civile pour la Terre. Le tout remarquablement agencée et s’enchaînant sans fausse note, avec une fluidité vertigineuse quand on y repense.
Le corps psy prend de plus en plus d’importance mettant déjà en place la saison 5 et les personnages se révèlent tels qu’ils doivent être, (ah, Valen !)
A saison 5, la spirale infernale, se voit dotée d’un nouveau capitaine, jouée par une Cat échappée de Lois et Clark saison 1 (cette série est géniale, je vous le dis, elle est citée de la bouche même de Valen en plus !) et démontrant qu’elle peut faire autre chose que les belles plantes. Tristesse devant ces 6 dernières galettes puisqu’on sait que chaque épisode nous rapproche inéluctablement de la fin d’un conte grandiose sur la foi, l’héroïsme l’ambition et les rêves.

Oubliez les quiproquos familiaux de Star wars, laissez tomber les sempiternelles dissensions romulano-klingons de Star trek et le côté dépassé de Cosmos 1999 et jetez vous sans attendre sur la plus grande saga tv de science fiction de tous les temps (oui, m’dame, rien que ça !). En plus, le plaisir se retrouve prolongé par des tvfilms estampilés Babylon 5 qui seront eux aussi les derniers puisque Richard Biggs est mort en 2004 et Andreas Katsulas en 2006.


L'Image : 2/3

Détails techniques : Format Vidéo : 16/9 - Ratio : 1:77

Avis : L’image de la première saison est désastreuse. Excepté les passages en images de synthèse, toutes les scènes se déroulant sur la station accusent leur âge : griffures, tâches, pléthores de défaut de compression, sauts d’images… la liste est loin d’être exhaustive. On est à des kélicams du travail effectué sur Star Trek TOS. Pour les plus téméraires, il suffit de se taper les pas passages dans la salle du revendeur ressemblant à une grosse mante religieuse…
L’image de la seconde saison a cependant été nettoyée mais restent persistants les problèmes de compression : certaines scènes se déroulant de nuit ou dans des atmosphères brumeuses sont parfois irregardables. Les tâches et griffures ont cependant disparu.
L’image de la 3ème et 4ème saison s’approche nettement du transfert de Star trek la nouvelle génération (les premiers coffrets). Le tout gagne en fluidité, en luminosité et les contrastes sont enfin saturés convenablement. On commence à prendre son pied.
L’image de la cinquième saison est remarquable même si la perfection reste malgré tout inaccessible. Tous les défauts précédents ont été supprimés et on se retrouve face au travail effectué sur un Flash ou un Loïs et Clark du même éditeur. Du travail propre pour un confort de visionnage jusque là jamais atteint sur ce show.


Le Son : 2/3

Détails techniques : 5.1 dolby digital en anglais allemand - Dolby 2.0 en français – Sous titres : Anglais, Français, Allemand, ... (de manière générale sur les 5 saisons

Avis : L’ensemble des saisons offre une spatialisation réussie, surtout en VO, et les scènes de space opéra sont assez réussies. Les dialogues sont très clairs et sauve heureusement le désastre de l’image des premiers épisodes.
A noter cependant : un incompréhensible non-soustitrage des bonus de la saison 1 dans leur intégralité. Pour les autres saisons, Warner oblige, pas un seul commentaire sous titré. Proprement scandaleux.


L'Interactivité : 2.5/3

L'ergonomie des menus :
Pour chaque saison, le menu principal offre une vue sur une planète ou la station avec un fondu des portraits des personnages principaux (assez réussi) sur un fond musical issu de l’OST de la série. On peut ensuite accéder à la lecture des 4 épisodes présents sur la rondelle (ou 2 pour le 6ème disque) à la suite ou choisir de se passer la série épisodes par épisodes. L’accès aux bonus renvoie le plu souvent à une notice d’explication indiquant que ces derniers se trouvent sur la 6ème galette. Enfin, un accès est disponible pour les langues. Pour info, il est possible de changer de langues et de sous titres à la volée pendant la lecture


Les bonus :

Les bonus sont extrêmement nombreux, intégrale oblige. Par saison, nous avons donc :

Saison 1 :

  • Introduction de Straczynski (que je cherche toujours….)
  • commentaire audio de Straczynski pour l’épisode Chrysalide.
  • Les coulisses de Babylon 5
  • Retour à Babylon 5
  • L’univers de Babylon 5 avec visite de la station et dossiers d’information , du personnel et dossiers techniques.

  • Saison 2 :
  • Nouvelle introduction jusqu’à la venue des Ombres
  • Commentaire de l’épisode 3 par Bruce Boxleitner, Claudia Christian et Jerry Doyle.
  • Commentaires des épisodes 17 et 22 par Straczynski
  • Brefs avant propos des épisodes
  • 2 documentaires : Building Babylon : Anatomy of an episode et Dreams : Honors of Babylon
  • L’univers de Babylon 5 avec visite de la station et dossiers d’information , du personnel et dossiers techniques.


  • Saison 3 :
  • Commentaires audio de 3 épisodes clefs par Straczynski et les acteurs principaux Bruce Boxleitner, jerry Doyle , Richard Biggs et Ed Wasser.
  • Découvrez le fonctionnement interne de l’avenir avec les documentaires Behind the Mask, Creating the aliens of Babylon 5, Building a better Narn et Designing tomorrow : the look of Babylon 5
  • Brefs avant propos des épisodes
  • Babylon 5 avec visite de la station et dossiers d’information , du personnel et techniques.

    Saison 4 :
  • Introduction de la 4ème saison : Ni Reddition Ni Retraite
  • « Chute libre vers l’apothéose » : commentaires de Bruce Boxleitner, Jerry Doyle, Peter Jurassic et Patricia Tallman.
  • « La face cachée de l’ennemi »: Commentaires de Straczynski et du réalisateur Mike Vejar
  • « L’effondrement du mythe » : Commentaires de Straczynski
  • Brefs avant propos des épisodes
  • Sons célestes
  • L’univers de Babylon 5 avec visite de la station et dossiers d’information , du personnel et techniques.


  • Saison 5 :
  • Introduction à la spirale infernale
  • Commentaire sur Guerre et Ombre : la chute de Centauri 1er.
  • Making of : Digital Tomorrow
  • Scènes supplémentaires et bêtisier
  • Brefs avant propos des épisodes
  • L’univers de Babylon 5 avec visite de la station et dossiers d’information , du personnel et techniques.


  • L’ensemble des bonus proposé sur cette intégrale est regardable et fortement sympathique (laissons évidemment tomber la 1ère saison qui se révèlera inutile pour les non anglophones). Au fur et à mesure des rondelles, les interventions se font de plus en plus pointues et précises et on peut en apprendre beaucoup sur ce qui constitue l’univers de Babylon 5 : costumes, Sfx,, composition de la bande son…. Jusqu’à la 5ème saison qui se conclut, la gorge serrée en apothéose avec un faux making of conçu spécialement pour l’occasion.
    A tout cela, on peut évidemment ajouter les introductions qui se révèlent inégales en qualité. Celle de la saison 4 est à voir uniquement après visionnage des 22 épisodes sous peines d’énormes révélations.
    Les brefs avant propos des épisodes disponibles dès la saison 2 sont en fait les bandes annonces passées sur les chaînes américaines. L’enthousiasme de l’annonceur (avec son : « On the next in Babylon 5) est communicatif.


    Les Visuels : 0.5/1



    La pochette / Le packaging

    Un fourreau en carton souple pour chaque saison regroupant chacun 6 boitiers slims en plastique.



    La sérigraphie

    Saison 1 : pour la saison 1, les jaquettes reprennent un bandeau dans le ton de la charte graphique de Babylon 5 mettant en avant les personnages clefs de la rondelle concernée avec un résumé succinct des différents épisodes doublé des caractéristiques techniques. Les 6 dvd en boîtiers slims et d’une tonalité globalement orangée se rangent dans un fourreau présentant une illustration différent et reprenant le nom de ce chapitre 1er : symboles et présages.
    L’ensemble est cohérent même si les dos des dvd une fois mis les uns à côté des autres ne donnent pas grand-chose.

    Saisons 2-3-4-5 : Warner reprend les choses en main et offre à chaque saison sa propre nuance de couleur (rétrospéctivement : bleue, verte, violette et enfin jaune) ainsi qu’un dos slim présentant la station Babylon 5 découpée en 6 parties . En gros, une fois les 5 saisons côté à côte dans la dvdthèque, on repère aisément les dvd grâce à la station. De plus les jaquettes des boîtiers slims reprennent l’image principale du fourreau. Les résumés sont plus conséquents pour chaque épisode mais on perd les spécificités techniques.

    Seul petit bémol : le fourreau est en carton rigide mais équivalent à celui du fourreau des Editions collectors des Batman et non pas à celui de l’édition collector de Catwoman. L’ensemble, à force de manipulation à donc tendance à s’abîmer assez rapidement. .


    Note Finale : (17/20)

    Commentaires concernant cette critique

    - le 30/08/2008 à 12:11 par Ivenpast : Heureux que tu aies pris ton pied!!
    - le 30/08/2008 à 11:17 par jean-michel : Je viens de finir les cinq saisons et j'ai adoré! Surtout la dernière saison qui a des vrais épisodes de fin que je trouve exemplaire pars l'émotion dégagé !!
    - le 09/06/2008 à 12:20 par Ivenpast : n'hésites pas, si tu es fan de star trek, tu te trouveras tout un nouvel univers aussi (voir plus) riche avec Babylon 5
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