DVD & Blu RayJeux de sociétéJeux VideoLes blogs
Tous DVD Blu-ray

Compte DVDpasCherien
login

 | Inscription | Mot de passe ?

DVD A LA LOUPE


STAR TREK : VOYAGER - SAISON 7 - RééDITION BELGE

Lui écrire DVDpasCher

Star Trek : Voyager - Saison 7 - Réédition belge DVD sorti le 15/03/2008


Cliquez pour voir la jaquette en haute-définition

Editeur : Paramount
Distributeur :
Paramount

0

Achat du DVD : Comparer les prix avec le moteur

Nombre de visites :
1099


   

Le Film : 8.5/10

Résumé : C’est la dernière ligne droite pour l’équipage di Voyager. Après 7 ans d’errance dans le quadrant delta, Janeway et son équipage doivent encore affronter les borgs sur leurs terrain ainsi que de nombreuses civilisations hostiles désirant mettre la main sur la précieuse technologie de la fédération. Lavage de cerveaux, Pon farr et autres incursions temporelles parsèment ces 26 épisodes avant l’hypothétique retour sur Terre.

Avis :  Attention, saison culte bien qu'ayant un goût de bâclé pour le fameux final d'1h30 que Paramount a une fâcheuse tendance à massacrer quand il s'agit de Star Trek.
TOS n'avait pas bénéficier d'une telle mesure dans les années 60, budget oblige mais résultant aussi d'une incompréhension grandissante du studio pour cette série étrange sortant de l'ordinaire (une troisième saison avait été mise sur les rails mais d'extrême justesse, alors un épisode double !). D'un autre côté, si on se positionne sur la quatrième vie de la saga (si on compte bien : 1ère vie avec TOS, 2ème vie avec la série animée, 3ème vie avortée avec Star Trek Phase II), 6 films de cinéma représentent en soi des funérailles de luxe sans compter bien évidemment sur la fameuse préquelle organisée par le papa de Lost et de M.I :III , J.J Abrahams au moment où je tape ces quelques lignes.
TNG avec " Toutes les bonnes choses… " pouvait se prévaloir elle aussi d'un final grandiose … à base de paradoxe temporels initiés par Q. On se retrouvait ainsi avec un Enterprise customisé capable de faire pâlir d'envie un croiseur klingon dernier cri, le tout également sur fond d'intrigue temporelles…
Star Trek Voyager, donc nous présente l'apothéose d'un voyage de retour de sept ans qui ne pouvait se solder que par trois issues possibles : la destruction du vaisseau en tant que tel (comme cela a été le cas dans de nombreux épisodes mettant en jeu une réalité parallèle avec clonage, mémoire effacée, dédoublement d'astronef et consort), l'impossible retour dans le quadrant alpha et une errance sans fin sur plusieurs générations (parallèle intéressant avec le vaisseau Klingon de l'épisode Prophétie qui ignorait la signature des fameux accords de Kithomer, ou bien encore avec un le futur alternatif décrit dans Fractionné avec un Itcheb et une Naomie adultes, moment particulier qui permet d'ailleurs de renouer avec le fameux épisode flashback qui existe dans toutes les séries contemporaines, permettant de mettre de côté un budget conséquent pour l'épisode suivant… à ceci près que Voyager révolutionne ici complètement le genre en proposant une incursion réelle des persos présents dans ces retour dans le passé au service d'un scénario diablement prenant et efficace) et bien sûr le retour triomphal sur Terre qui restera une douce arlésienne jusqu'à l'épisode final , 7 saisons semblant être un nombre fatidique à la vie des séries de StarFleet. De plus, la série aurait pu s'arrêter beaucoup plus vite avec un peu plus de chance pour l'équipe de Janeway car les occasions n'ont pas manqué depuis le début du show entre les avances de Q , les rencontres divers et variées avec la race du Pourvoyeur, les Okaampas , Kes en tête qui a permis un saut de 10 000 années lumières en cours de route avant de disparaître à nouveau dans la saison précédente sans coup de booster cette fois ci ou bien encore les tunnels de transdistorsion borgs (qui seront finalement utilisés)….
Cette 7ème et dernière salve d'épisodes reste donc réussi à plus d'un titre. Tous les personnages vont connaître leur ultime aventure, permettant d'approfondir encore plus certains aspects de leur personnalité, qu'il s'agisse de quête d'humanité pour Seven ou le Docteur, de sauver une race à part entière via la défense de ses droits à travers les hologrammes, rebondissements scénaristiques éminemment sympathiques depuis TNG (il suffit de se livrer à un rapide calcul pour se rendre compte du nombre d'épisodes mettant en scène les holodecks (plus nombreux encore que ceux sur les téléporteurs) pour le meilleur (Moriarty dans TNG dans un superbe double épisode commençant à aborder la liberté légitime des hologrammes, rejoint en cela par En chair et en Os ou Auteur Auteur ici , eux même écho du fameux épisode de TNG où Riker démonte l'existence de Data vis à vis des droits des androïdes ou bien encore du poignat épisode traitant de la paternité du dit Data…. Vous suivez toujours ?) comme pour le pire (l'épisode où Harry Kim tombe amoureux d'un hologramme, et dans un sens certains épisodes avec en vedette le Capitaine Proton (celui avec les envahisseurs de la dimension photonique, un peu lassant et surtout trop long).
On notera aussi la maturité d'autres personnages obtenus à la fin d'un long parcours initiatique pour B'ellana Tores qui refusait tout d'abord son héritage de Klingon avant de l'accepter totalement ici (puissant épisode à ce sujet que celui intitulé Lignée) ou Tom Paris qui s'accepte enfin pour ce qu'il est sans devoir sans cesse prouver sa valeur à tous (allant même jusqu'à refuser dans le final une expédition assez dangereuse sous prétexte d'être père et mari de surcroît). Neelix pour sa part bénéficie d'un final inattendu en rejoignant un groupe de talaxians sur la route du quadrant Alpha tout en étant investi du rôle d'ambassadeur permanent de Starfleet dans le quadrant Delta. Ce petit stratagème permet une haie d'honneur pour cet alien atypique qui, malgré son extravagance dans le monde très ordonnée et militaire de la fédération, a su être un parfait pendant de Guinan de TNG. L'évolution de Tuvok, bien amorcée dans les saisons précédentes stagne toutefois quelque peu dans ces épisodes pour mieux repartir avec le départ de Star Trek.
TOS n'avait pas bénéficier d'une telle mesure dans les années 60, budget oblige mais résultant aussi d'une incompréhension grandissante du studio pour cette série étrange sortant de l'ordinaire (une troisième saison avait été mise sur les rails mais d'extrême justesse, alors un épisode double !). D'un autre côté, si on se positionne sur la quatrième vie de la saga (si on compte bien : 1ère vie avec TOS, 2ème vie avec la série animée, 3ème vie avortée avec Star Trek Phase II), 6 films de cinéma représentent en soi des funérailles de luxe sans compter bien évidemment sur la fameuse préquelle organisée par le papa de Lost et de M.I :III , J.J Abrahams au moment où je tape ces quelques lignes.
TNG avec " Toutes les bonnes choses… " pouvait se prévaloir elle aussi d'un final grandiose … à base de paradoxe temporels initiés par Q. On se retrouvait ainsi avec un Enterprise customisé capable de faire pâlir d'envie un croiseur klingon dernier cri, le tout également sur fond d'intrigue temporelles…
Star Trek Voyager, donc nous présente l'apothéose d'un voyage de retour de sept ans qui ne pouvait se solder que par trois issues possibles : la destruction du vaisseau en tant que tel (comme cela a été le cas dans de nombreux épisodes mettant en jeu une réalité parallèle avec clonage, mémoire effacée, dédoublement d'astronef et consort), l'impossible retour dans le quadrant alpha et une errance sans fin sur plusieurs générations (parallèle intéressant avec le vaisseau Klingon de l'épisode Prophétie qui ignorait la signature des fameux accords de Kithomer, ou bien encore avec un le futur alternatif décrit dans Fractionné avec un Itcheb et une Naomie adultes, moment particulier qui permet d'ailleurs de renouer avec le fameux épisode flashback qui existe dans toutes les séries contemporaines, permettant de mettre de côté un budget conséquent pour l'épisode suivant… à ceci près que Voyager révolutionne ici complètement le genre en proposant une incursion réelle des persos présents dans ces retour dans le passé au service d'un scénario diablement prenant et efficace) et bien sûr le retour triomphal sur Terre qui restera une douce arlésienne jusqu'à l'épisode final , 7 saisons semblant être un nombre fatidique à la vie des séries de StarFleet. De plus, la série aurait pu s'arrêter beaucoup plus vite avec un peu plus de chance pour l'équipe de Janeway car les occasions n'ont pas manqué depuis le début du show entre les avances de Q , les rencontres divers et variées avec la race du Pourvoyeur, les Okaampas , Kes en tête qui a permis un saut de 10 000 années lumières en cours de route avant de disparaître à nouveau dans la saison précédente sans coup de booster cette fois ci ou bien encore les tunnels de transdistorsion borgs (qui seront finalement utilisés)….
Cette 7ème et dernière salve d'épisodes reste donc réussie à plus d'un titre. Tous les personnages vont connaître leur ultime aventure, permettant d'approfondir encore plus certains aspects de leur personnalité, qu'il s'agisse de quête d'humanité pour Seven ou le Docteur, de sauver une race à part entière via la défense de ses droits à travers les hologrammes, rebondissements scénaristiques éminemment sympathiques depuis TNG (il suffit de se livrer à un rapide calcul pour se rendre compte du nombre d'épisodes mettant en scène les holodecks (plus nombreux encore que ceux sur les téléporteurs) pour le meilleur (Moriarty dans TNG dans un superbe double épisode commençant à aborder la liberté légitime des hologrammes, rejoint en cela par En chair et en Os ou Auteur Auteur ici , eux même écho du fameux épisode de TNG où Riker démonte l'existence de Data vis à vis des droits des androïdes ou bien encore du poignant épisode traitant de la paternité du dit Data…. Vous suivez toujours ?) comme pour le pire (l'épisode où Harry Kim tombe amoureux d'un hologramme, et dans un sens certains épisodes avec en vedette le Capitaine Proton (celui avec les envahisseurs de la dimension photonique, un peu lassant et surtout trop long).
On notera aussi la maturité d'autres personnages obtenus à la fin d'un long parcours initiatique pour B'ellana Tores qui refusait tout d'abord son héritage de Klingon avant de l'accepter totalement ici (puissant épisode à ce sujet que celui intitulé Lignée) ou Tom Paris qui s'accepte enfin pour ce qu'il est sans devoir sans cesse prouver sa valeur à tous (allant même jusqu'à refuser dans le final une expédition assez dangereuse sous prétexte d'être père et mari de surcroît). Neelix pour sa part bénéficie d'un final inattendu en rejoignant un groupe de talaxians sur la route du quadrant Alpha tout en étant investi du rôle d'ambassadeur permanent de Starfleet dans le quadrant Delta. Ce petit stratagème permet une haie d'honneur pour cet alien atypique qui, malgré son extravagance dans le monde très ordonnée et militaire de la fédération, a su être un parfait pendant de Neelix justement (je laisse la surprise aux futurs visionneurs de galettes). Chacotay reste quelque peu effacé lui aussi, mais les scénaristes lui ont laissé un background affectif explosif sur la fin avec une relation naissante et imprévisible avec Seven.
Paradoxalement, Janeway reste la seule à ne pas changer de position. Déterminée, résolument optimiste quant à ses chances de ramener son équipage à bon port tout en restant un des parangons des valeurs de la fédération (cf l'excellent Le Vide ou bien encore Q2), il lui faudra être confronté à une vision d'elle même venant du futur pour qu'elle puisse réaliser ce qu'elle risque de devenir : une femme froide, cynique (amis du dr House, bonjour) et désabusée mais surtout résolument opportuniste. En bref, en totale opposition avec la Janeway historique. D'un autre côté , excepté les affreux uniformes du futur, cet amiral va permettre de clore la série tout en se payant le luxe d'effectuer un rappel des valeurs morales de StarFleet (qui quelque soit la situation ne sont jamais perdues) et surtout en offrant aux geeks (il faut être un geek pour regarder Star trek, car on ne peut raisonnablement pas se taper au bas mot 700 épisodes toutes séries confondues doublés d'une dizaine de films et même d'une série animée sans être véritablement mordu (ou malade, mais c'est un autre cas de figure) une deuxième mise à mort des Borg et de leur reine (qui voit ici revenir dans le rôle l'actrice ayant déjà officié sur First Contact) dans un armageddon apocalyptique de leur civilisation (et accessoirement de leur plan de conquête de la galaxie, fort audacieux s'il en est). Et une fois de plus, Voyager officie un virage à 180° par rapport à l'univers de Roddenberry. En effet, dans TNG, l'ennemi intime de l'Enterprise est Q et pourtant, à la fin de la série, Q sauve l'humanité en donnant de nombreux et précieux indices à Picard. Dans TOS, les ennemis sont légions mais des solutions pacifiques sont le plus souvent adoptées ou à défaut le statu-quo, à l'exemple de l'affrontement séculaire avec les Klingons qui se finit par le sacrifice d'un vaisseau de Starfleet pour défendre ces derniers, dixit Kithomer. Dans DS9 , les Bajorans finissent par se faire des alliés chez les Cardassiens et inversement et la guerre avec le Dominion se solde par une paix à priori durable.
Dans Voyager, la Nemesis reste les Borgs. Introduits par Q dans TNG, quasi absents dans DS9, menaçants d'assimiler l'humanité dans Enterprise et ayant marqué l'histoire avec l'assimilation de Picard et la bataille de Wolf 359 (qui conduit à une liaison directe avec le perso de Sisko, Star Trek étant comme Marvel, un univers dense avec des ramifications multiples inter/intra protagonistes, les actions menées dans certains épisodes pouvant paraître anodines et pourtant lourdes de sens 4 saisons plus tard), les Borgs vont devenir récurrents dès la saison 3 en remplacement des kazons (mélange falot de klingons et cardassiens), et vont être une source inépuisable d'explorations exponentielles de leur monde et de leurs capacités (le monde borg étant graphiquement et visuellement impressionnant). Suivant les aléas de la pérégrination du Voyager, les alliances vont se former, des affrontements vont se dérouler, des offres vont être lancées mais la menace et la rancœur de Starfleet et surtout de Janeway (emphatiquement renforcées par les liens l'unissant à Seven of Nine et Itcheb et ses compagnons) vont conduire à la destruction pure et simple de l'espèce via un coup final quasi fatal et qui devrait reléguer la menace Borg aux calendes vulcaines. L'apport de la technologie du futur reste un point déterminant, en totale trahison avec les deux directives premières (temporelles et non ingérence) proposant cependant un customisation radicale du Voyager (en écho à celle de L'Enterprise dans " All the good things…. ").
Nonobstant ces événement à la tonalité plus qu'épique, on relèvera malgré tout certains épisodes typiquement Star Trek luttant contre valeurs négatives telles que le terrorisme (La course) , la manipulation des esprits (Répression) , les soins et autres services bénéfiques de la société réservés aux plus fortunés (Soins intensifs), l'oppression (Corps et âmes), les conditions de détention abusives de prisonniers et la peine de mort (Repentance), le racisme (Le vide), l'endoctrinement (Main d'oeuvre), le droit de liberté bafoué des peuples (Les lois de la nature) …..
Un excellent cru de Star Trek en somme, idéal pour les néophytes qui voudraient se plonger dans cette série hors norme après un visionnage de First Contact. Faites chauffer les téléporteurs et en route pour de nouvelles aventures !


L'Image : 2/3

Détails techniques : Format Vidéo : 4/3 - Ratio : 1.33:1

Avis : On se rapproche de la qualité d'image des premiers transferts des films (le 1er opus de Wise ayant alors fait très très fort à l'époque) mais il s'agit sans conteste du meilleur transfert des 4 séries classique (TOS - TNG - DS9) : qualité des sfx avec des phasers magnifiques, des torpilles à photons parfaitement incrustées et des plans sur le Voyager , qui, biens qu'ils soient toujours les mêmes, sont à se damner. Côté fluidité, je soupçonne l'utilisation d'effets numériques vis à vis des navettes qui voguent dans l'espace avec la même aisance que celles vues au début d'Insurrection , Delta Flyer en prime. Et que dire des effets de couleurs et de contrastes propres à l'espace borg , tout en tonalités industrielles et en nébuleuses ? Quand au Docteur, cette dernière saison lui est particulièrement profitable, cf l'avant dernier épisode avec une liberté holographique jamais vue auparavant. Une qualité d'image qui ne pourra jamais être proposée par les télévisions conventionnelles, d'autant qu'avec le traitement réservé à Star Trek en France comparé à un Star Wars.

[ Voir le Top Image pour ce DVD ]


Le Son : 2/3

Détails techniques : Dolby Digital 5.1 en anglais et en allemand / Dolby Surround en Français, italien et Espagnol - Sous-titres : anglais pour malentendants, français, anglais, ...

Avis : Un son au top et en 5.1 …. en VO ! Mais le dolby s'en sort brillamment avec une atmosphère plus qu'enveloppante. Les dialogues sont extrêmement clairs sans pour autant être mis trop en avant, les bruits habituels de Starfleet ressortent bien et le geek en prend plein la tête pour son plus grand plaisir lors des nombreux affrontements spatiaux . Miam Miam Burp !


L'Interactivité : 1.5/3

L'ergonomie des menus :
Les menus débutent par une courte animation présentant le Voyager new look sur fond de nébuleuse. L’ensemble est fluide et correct. S’en suit l’écran principal avec 4 vues sur le dit vaisseau. Les sous titres et les chapitres sont accessibles à la volée durant la lecture et cela reste une bonne chose pour le confort des trekkies. L’interface graphique reprend les caractéristiques de la Fédération.
Agréable et permettant d’oublier l’horreur de DS9.


Les bonus :

: Les bonus sont nombreux, sans compter les cachés mais restent d'un intérêt limité. Ils présentent :

  • Bravant l’inconnu saison 7 : module revenant sur le final de la série. Intéressant mais sans plus
  • Le retour à la maison du Docteur – retour sur l’un des persos les plus innovants de la série
  • Episode final – retour sur l’arlésienne de la série, riche en anecdotes
  • Leçon de science avec André Boramis
  • Le making of de l’invasion Borg 4-D : extrêmement bien fait pour nous qui ne pouvons pas forcément aller aux States pour visiter l’attraction.
  • Dans les coulisses de la division scénographique du Voyager


  • [ Voir les Bonus Cachés pour ce DVD ]

    Les Visuels : 0/1



    La pochette / Le packaging

    Fourreau carton avec 4 boîtiers slims 2 dvd possédants tous la même jaquette avec résumés en flamand et en français. Pas de numérotation sur la tranche ,ce qui ne facilite pas la manipulation (à l'image d'un Babylon 5 par exemple). La jaquette est épurée et reprend les portraits de Tuvok et de Janeway



    La sérigraphie

    Les sérigs sont toutes identiques mais guère marquantes, noyées de plus par d'immondes logos.


    Note Finale : (14/20)

    Commentaires concernant cette critique

    - le 09/05/2008 à 20:10 par Ivenpast : Merci à Alexis d'avoir modifié le 1er texte - il s'agit de la version intégrale maintenant - N'hésitez pas à réagir surtout!
    - le 07/05/2008 à 12:21 par Ivenpast : Mes excuses à tous, mais je crois que le texte a été tronqué, ce qui rend le début incompréhensible. Alexis n'y est pour rien, j'ai du omettre d'envoyer une partie du texte. Je vais tâcher de corriger dans les jours à venir.
    - le 07/05/2008 à 12:16 par Ivenpast : Et oui, Dale ! la saison 4 est riche d'évènements, la 5 connaît une petite baisse de régime alors que la 6 reste ma meilleure de toutes! Quant à la la 7 (même si cela s'apparente à du gaspillage) je l'ai dévoré en 3 jours. Pour le réassort à moindre prix, Cdiscount est parfait à 30€ la saison toute série confondues (quand je pense aux 310€ claqués à l'époque pour les 3 premières saisons de tng....) Enfin voilà, Vger malgré un début quelconque a su trouver sa voie et s'en sortir . Continuez de réagir! Prochain loupe : l'espion qui m'aimait (déjà envoyé) et les autres star trek vont suivre petit à petit. @ ploush
    ...voir tous les commentaires...

    si vous souhaitez poster un commentaire : connectez-vous


    Achat du DVD :

    Retour à la fiche de l'éditeur de ce DVD

    Aller plus loin

    Nous contacter
    Signaler un bug
    Partenariat | Affiliation
    Souscrire aux fils RSS
    Facebook-Rejoignez nous

    DVDpasCher.net Tous droits réservés © 1998-2013