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DVD A LA LOUPE


SMALLVILLE : SAISON 1 - PARTIE 1

Lui écrire Ivenpast

Smallville : Saison 1 - Partie 1 DVD sorti le 26/11/2003


Cliquez pour voir la jaquette en haute-définition

Editeur : Warner Home Vidéo
Distributeur :
Warner Home Vidéo

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Nombre de visites :
3142


   

Le Film : 7.5/10

Résumé :  Pas facile d'affronter les problèmes de l'adolescence lorsqu'on est équipé de supers pouvoirs qui vous handicapent et deviennent une différence bien difficile à assumer aux yeux des autres. Plusieurs années apres son arrivée sur Terre, Clark Kent rêverait d'être un garçon ordinaire. ses facultés hors du commun lui font gagner l'amitié de Lex luthor, mais l'empêchent d'approcher la belle lana Lane à cause du collier de kryptonite qu'elle porte au cou. Smallville retrace sous forme inédite et passionnante l'adolescence d'un mythe , celui de Superman.

Avis : Pour information, la loupe concerne la saison 1 dans son intégralité, même si les visuels de jaquette sont pris sur le coffret saison 1 part 1. Des lots existaient sur le net à l’époque regroupant en un seul achat les deux parties de la saison. Ceci étant dit, en avant !

Nonobstant de nombreuses critiques interminables, je me permets d’ennuyer de nouveau tout le monde avec mes élucubrations sur un thème particulier que représente à lui seul Smallville (Littéralement la petite ville, ou bourg perdu ou bien encore trou du c.. du monde. Néanmoins, il s’en passe des choses dans cette bonne vieille province à moins de 20 bornes de Metropolis et dont la distance est parsemée de champs et de routes désespérément longues et ennuyeuses Surprenant d’ailleurs qu’il n’y ait pas eu un crossover Smallville – Jeepers Creepers ! La viande kryptonienne s’est peut être révélée trop dure à son goût ?) )

Bref, pour tout fan de Superman qui se respecte, Smallville reste une drôle d’expérience. Cette série reste atypique et nous présente un Clark Kent qui n’a pas encore connu l’expérience des pyjamas parties entre bons potes. Et pourtant, des copains, il en a :

→ Pete Ross (blanc dans la bande dessinée Superboy et découvrant les pouvoirs de Clark par hasard, noir dans le show TV et personnellement le perso que je supporte le moins car ne comprenant pas trop son utilité si ce n’est « Je suis un alien et alors ? J’ai des amis aussi ! » Au passage, notons que le caractère WASP cher au monde des comics (historiquement parlant, à part La panthère noire, Blade (exhumé pour raison financière avec plus ou moins de brio, la palme revenant à Trinity, et Luke Cage, les eighties ne se targuent pas d’avoir beaucoup de représentants de cette communauté, ce qui est regrettable car on évince du même coup nombre de bons scénaris . J’ai encore en mémoire un TOP BD avec Daredevil qui tournait autour de la menace nucléaire avec un bad guy black pas piqué des hannetons (Et que Matt Cordell ne me rebalance pas que je suis raciste sur la seule raison que j’utilise le terme black et qu’en plus il désigne un méchant. Vu le nombre de représentants du côté obscur de la force qui sont blancs ne serait ce que dans Spiderman….)

→ Chloé Sullivan (excellent pendant de Loïs Lane, on se demande quand elle va découvrir que Clark lui cache quelque chose. Je ne peux alors m’empêcher de citer le syndrome Sudden « Hero » Death. Avez-vous remarqué qu’à chaque fois, dans une série tv avec un héros au grand cœur qui veut pas qu’on sache qui il est réellement pour protéger sa famille (en fait, je crois plutôt que c’est pour pouvoir se taper un plateau tv tranquille sans que le téléphone sonne pour aller chercher un chat dans un arbre), quand le dit héros est découvert par les méchants, ces derniers connaissent des crasses pas croyables ? Petite analyse vite fait. Dans le Zorro des studios Disney, Guy Williams est découvert je ne sais combien de fois. Et il est aussitôt sauvé par un rocher, une falaise, un coup d’épée malheureux, un cheval fou, une jalousie entre comparses… (Véridique) qui protège son secret. Pour les héros de comics, on a droit à l’amnésie, au voyage dans le temps, au suicide ou au meurtre, à l’illusion d’optique et à tous leurs dérivés (tous passés dans Smallville, en plus du séjour en hôpital psychiatrique). Et je ne compte pas les fois où le héros est surpris pendant qu’il se change où qu’il joue avec ses pouvoirs (Karen Page pour Daredevil, Peter Parker qui avoue tout à tout le monde à cause d’une vilaine grippe et Superman ! Une effigie philatélique et une ville comme Hollywood en tampon et tout le mode sait tout !) → Les parents Kent (logiquement tous deux vivants au début puisque nous sommes dans la jeunesse de Clark. Et de toute façons, même quand Jonathan meurt, il revient dire un truc tous les trois épisodes. Travail de deuil facile en somme. Christopher Reeves avait quand même une autre allure à l’enterrement de son père dans le film de Donner)

→ Le père Luthor et son rejeton qui justifient à eux seuls de regarder cette série tant ils sont alambiqués et furieusement barrés entre pardon, coups tordus et rémissions (ils passent un tiers de leurs temps à se tuer, un autre tiers à se pardonner et le dernier tiers à se mettre des bâtons dans les roues)…

→ Arrive ensuite Lois Lane, échappée d’un mélange de Charmed, Texas Ranger, Malibu et Beverly Hills (elle sait nager, se battre, être cruche et a même joué les sorcières, j’invente rien !) et qui bousille littéralement le personnage en arrivant trop tôt et en étant pas crédible pur un sou (et celle de Returns ne me semble guère carbonisé la pellicule par son charisme).

→ Krypto, qui apparaît fugacement dans la série pas des moyens détournés, reste plus convaincant (mais vu que dans le soap, on eu droit à Flash et consort , à quand l’apparition du chat de celui-ci et des autres amis du canidé issus du dessin animé éponyme ?)

Pour en revenir à Smallville en général, la première saison possède le défaut inhérent à toutes les séries de ce genre (ou de la WB) : un épisode pour un méchant qu’il faut se faire d’une manière chaque fois différente afin de grandir et de voir que les monstres c’est les autres (alors que rétrospectivement, il se serait crashé sur la lune, tout le monde aurait eu la paix et personne n’aurait été contaminé par les météorites. Bonne idée de départ dans laquelle les scénaristes parfois en mal d’inspiration se fourvoient pas le suite puisque dans tous les autres univers de Superman, le seul dommage collatéral de la kryptonite sur les humains concerne Lex qui y perd une main. Dans Smallville, via une ressucée inutile de Fast and Furious, la caillasse de l’espace est même utilisée comme super carburant !!!)


L'Image : 3/3

Détails techniques : Format Vidéo : 4/3 - Ratio : 1.33:1

Avis : A série récente, compression d'excellence. Les couleurs paraissent d'ailleurs beaucoup plus chaudes que lors de leur diffusion sur m6. Le tout est maîtrisé, les scènes d'action se suivent sans saccades et les sfx sont parfaitement intégrés. Que demander de plus?


Le Son : 2/3

Détails techniques : Dolby surround 2.0 en français, anglais - Sous-titres : français, anglais, néerlandais, danois, suédois, arabe et hébreu

Avis : Le son est de très bonne facture. Passé l'affreux générique de Zuméo, on se régale à entendre les effets de la super vitesse et consort. Les dialogues sont très bien retranscrits que cela soit en vf ou en vo. Le background par contre devint vite répétitif.


L'Interactivité : 1/3

L'ergonomie des menus :
Le menu principal s’ouvre sur une assez belle animaion proposant un retour sur la pluie de météorites, le tout sur la bande son du générique. Cela donne un aspect énergique à l’ensemble. S’e suit un menu fixe , toujours sur le même titre musical, avec différentes alternations d’images. La navigation est claire et les sous meus restent néanmoins muets et fixe sur image tirée de l’épisode. Idem pour les différents chapitrages qui se résument aussi à des vignettes fixes. Les chapitres, langues et sous titres sont sélectionnables à la volée durant la lecture.


Les bonus :

Les bonus sont présents mais en doses minuscules. De plus, on apprend rien de passionnant. Dans le détail, on aura :

  • Disque 1 - Commentaire audio de l’épisode pilote par Alfred Gough, Miles Millar et David Nutter. Déjà présent sur le disque du pilote, ce commentaire est sûrement très interessant, mais non sous titré… comme d’habitude chez l’éditeur.
  • Disque 1 - Commentaire audio de l’épisode « Métamorphose » par Alfred Gough et Miles Millar … avec le même défaut.
  • Disque 6 - Scènes supprimées de l’épisode pilote et de l’épisode 2 … toujours présentes sur l’ancienne édition et dont la coupe reste compréhensible…
  • Disque 6 - Montage du story board de l’épisode pilote. Le recyclage continue et l’aspect gadget du module lassera les plus patients
  • Disque 6 - Visite interactive Smallville. Resucées encore de l’épisode pilote et d’un ennui profond tant les informations distillées sont artificielles.
  • Disque 6 - Spot TV. Le bonus le plus court mais le plus agréable.

  • Les Visuels : 1/1



    La pochette / Le packaging

    Le visuel français est correct. Il se déplie en plsuieurs volets, chacun ayant u résumé détallé et en mage de l’épisode proposé sur la rondelle correspondante mais on se demande encore pourquoi le coffret 2 reprend la copie conforme de son petit frère. Cela donne un effet bizarre dans la vidéothèque. Les sérigraphies sont magnifiques.



    La sérigraphie

    La Warner conserve sa ligne directrice : un disque coupé en deux avec d'un côté le titre de la dite galette, de l'autre une image d'un ou plusieurs personnages. Le gros problème, c'est de ne pas en avoir profité pour caser toutes les mentions légales du côté titre car les acteurs se retrouvent oblitérés du blason des frères Warner et des différents logos relatifs aux dvd. Hic supplémentaire et impardonnable, surtout quand on a pris soin d'imprimer le rond central, c'est d'avoir casé de manière aussi voyante le cadre "autorisé à la vente ou à la location". Un travail qui aurait donc pu être superbe mais qui reste pour le coup juste convenable. Sinon, dispo classque : dvd 1 dédié à Clark, dvd 2 dédié à Lana, dvd 3 dédié à Lex, dvd 4 dédié à Chloé, dvd 5 selon la tendance du moment (ici Pete Ross) et dvd 6 aux parents Kent.. Pour finir , le couleur dominante reprend celle du coffret , le marron avec le logo titre en surimpression.

    [ Voir le Top Sérigraphie pour ce DVD ]


    Note Finale : (14.5/20)

    Commentaires concernant cette critique

    - le 10/11/2012 à 05:39 par Ivenpast : alexis, une fois encore quand tu veux pour remettre mon nom sur MES critiques....

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