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HARRY POTTER ET LES RELIQUES DE LA MORT : PARTIE 1 (BLU-RAY + DVD) - EDITION ULTIMATE

Lui écrire montana62

Harry Potter et les reliques de la mort : Partie 1 (Blu-ray + DVD) - Edition Ultimate DVD sorti le 08/04/2011


Cliquez pour voir la jaquette en haute-définition

Editeur : Warner Home Vidéo
Distributeur :
Warner Home Vidéo

Date de sortie en salle : 24 novembre 2010

Nombre d'entrées : 5 922 309
Durée : 2 h 26 min

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Nombre de visites :
3002


   

Le Film : 6/10

Résumé : Décidé à détruire Voldemort et perdu sans Albus Dumbledore, Harry Potter ne retourne pas à Poudlard pour sa septième et dernière année. Accompagné de ses deux meilleurs amis Ron et Hermione, le jeune sorcier va devoir parcourir le monde à la recherche des sept précieux Horcruxes qui permettront de réunir l'âme damnée de Celui-dont-on-ne-doit-pas-prononcer-le-nom pour la détruire à jamais. Ce n'est pas sans compter sur les Mangemorts, infâmes sbires du Seigneur des Ténèbres, toujours à leurs trousses. D'autant que le pouvoir de celui-ci est grandissant lorsqu'il met la main sur le Ministère de la Magie...
Fiche technique : Film Britannique et Américain réalisé : David Yates, Scénario : Steve Kloves, Direction artistique : Andrew Ackland-Snow, Décors : Stuart Craig, Costumes : Jany Temine, Photographie : Eduardo Serra, Montage : Mark Day, Musique : Alexandre Desplat, Production : David Heyman, David Barron et J. K. Rowling
Distribution : Daniel Radcliffe : Harry Potter, Emma Watson : Hermione Granger, Rupert Grint : Ron Weasley, Ralph Fiennes : Voldemort, Helena Bonham-Carter : Bellatrix Lestrange, Jason Isaacs : Lucius Malefoy, Tom Felton : Drago Malfoy, Bill Nighy : Rufus Scrimgeour, Rhys Idans : Xenophilius Lovegood, Clémence Poésy : Fleur Delacour

Avis : Ces reliques de la mort sonnent la dernière ligne droite de ce roman marathon de J. K. Rowling. Découpé en 2 parties pour permettre aux dires de la production un meilleur développement et bien sur répondre aux attentes des fans, c'est à David Yates déjà aux commandes des 2 précédents épisodes qu'il revient le droit de terminer cette saga.
Le prologue effrayant à souhait, donne d'emblée le ton sur lequel nous allons suivre pour la septième fois les aventures et le final de cet apprenti-sorcier d'Harry. Voldemort désireux de ne pas ternir son image du seigneur des ténèbres nous offre en hors d 'œuvre et en pâture à son serpent Nagini le professeur Charity Burbage, même Drago Malefoy a du mal à cacher son dégoût. Cette mise en bouche lugubre reflète la volonté de noircir et de muscler un récit qui ne s'adresse plus tout à fait qu'aux enfants. Dans cette ambiance lourde et sombre, le polynectar permet de détendre quelque peu l'atmosphère avec cette multiplication d'Harry et ce déshabillage cocasse en soutien-gorge, conservons bien ce clin d'œil en tête, c'est le seul moment de dérision du film.
Ce dédoublement pour tromper l'ennemi amène la scène la plus spectaculaire, spectaculaire mais pas entièrement réussie. Cette chevauchée dans les nuages n'amènent pas l'effet escompté, trop brouillon et peu lisible, la redescente sur terre amène au final beaucoup plus d'adrénaline et de réussite dans le visuel. Nous sommes dans le chapitre final et des personnages qui ont traversé les nombreuses aventures d'Harry disparaissent, c'est le lot de tout épilogue des grandes sagas. La quête des Horscruxes après un début prometteur va malheureusement plonger l'intrigue dans un univers post-apocalyptique peu exaltant, on frise même par moment le semi-coma, le fait de consulter sa montre dès la première demi-heure n‘était pas bon signe, le pic d‘ennui intervenant à la 80ème minute. Les conflits internes de nos 3 jeunes héros ont bien du mal à soulever l'enthousiasme, on se surprend même à trouver un flagrant clonage à l’œuvre de Tolkien avec cet horscruxe porté tour à tour par nos jeunes sorciers pour répartir son influence néfaste. Bon gré mal gré, on suit les turpitudes que font subir les mangemorts ou les rafleurs à la petite équipée et il faut attendre la 115ème minute pour découvrir enfin la signification de l’insigne des reliques.
Deux mots dominent donc les débats de cette demi-conclusion, noirceur et longueur. Car si l’intrigue s’est étoffée en devenant plus adulte, les scènes qui s’étirent tel un élastique à la limite de la rupture perdent énormément en intensité, en intérêt et en émotion. Cette scène avec l‘elfe Dobby illustre parfaitement les propos, à trop vouloir coller à l‘adaptation on obtient parfois la dilution du résultat escompté. Compte-tenu de la densité du récit, à l’image du seigneur des anneaux, il aurait été préférable de faire une version longue pour les érudits et « consommable » pour les non-initiés. Le choix reconduit de la direction du projet peut interpeller, on en vient même à regretter le mexicain Alfonso Cuaron qui avait su redonner une belle énergie à la série.
Cette demi-déception pour cette demi-conclusion accuse également un gros déséquilibre dans son casting. Si la bouille enfantine de Daniel Radcliffe et ses lunettes légendaires suffisaient à attirer toute la sympathie des spectateurs lors des premiers épisodes, sa mutation morphologique naturelle l’a malheureusement rendu plus lisse au fil des épisodes, voir insipide. Il faut dire que du côté obscur, les Ralph Fiennes, Alan Rickman et Jason Isaacs ont des arguments beaucoup plus consistants à opposer. Seule Emma Watson tient le choc des années en amenant une certaine maturité et une émotion naturelle, des 3 jeunes héros, il serait étonnant de ne pas la revoir dans des rôles plus consistants.
Derrière cette saga adulée par les jeunes adolescents, se cache une franchise aux chiffres hallucinants, 72 millions d’exemplaires vendus dans le monde la première semaine pour les reliques rien que dans sa version originale. Pour les 7 films, on compte plus de 51 millions de spectateurs français et ont engrangé près de 6,5 milliards de dollars dans le monde. Cependant en disséquant quelques peu ces chiffres on s’aperçoit d’une constante baisse d’intérêt et d’entrées dans notre hexagone puisque le premier avait obtenu près de 9,5 millions d’entrées alors que les reliques n’a même pas atteint les 6 millions. Pour des raisons de temps (et de rentabilité ?), le film n‘a pas pu être proposé avec la sacro-sainte mode du 3D, il est d‘ores et déjà annoncé pour l‘épisode final
On note quelques changements notables dans l’équipe technique, puisque c’est Alexandre Desplat qui se met à la baguette du projet en remplaçant Nicholas Hooper alors que John Williams avait fait savoir qu’il était prêt à revenir. Eduardo Serra remplace également comme directeur de la photographie Bruno Delbonnel. Ce septième épisode s’est vu nominé 2 fois pour les précieux oscars « Meilleurs décors et meilleurs effets visuels ».
Ce triangle, symbole des reliques de la mort est loin d’atteindre par ses 3 segments qui le composent, acteur-récit-action, les sommets escomptés. Si Voldemort mène aux points dans cet avant dernier round, gageons que sans réelle combativité et surtout de rythme imprimé, l’épilogue ne préfigure un K-O technique.


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L'Image : 3/3

Détails techniques : Format : 2.40 - 16/9 non compatible 4/3

Avis : Avec une telle ambiance, on est franchement bluffé du résultat. Le contraste en béton assure un confort de tous les instants avec une époustouflante précision, autant dire que la gestion des noirs est royale s’offrant le luxe de balayer d’un revers de pellicule tout artéfact ou bruit vidéo (sur vidéoprojecteur). Le grain très léger n’amène aucune gêne, la palette colorimétrique joue énormément avec les ambiances conservant comme depuis quelques épisodes ses dominantes bleues. La définition offre des contours nets et précis sans être chirurgicaux, on remarque même 1 ou 2 plans assez flous, la profondeur bien présente conclut une copie de haute volée digne de la HD


Le Son : 2.5/3

Détails techniques : DTS-HD 5.1 Master Audio - Anglais, DD 5.1 640Kbps - Français, Italien, Allemand, Néerlandais et Flamand
Sous-Titrage : Anglais, Français, Italien, Allemand, Néerlandais, Slovène, Hébreu, Croate.

Avis : Une fois de plus Warner bride sa version française avec un « médiocre » DD à 640Kbps n’offrant que la HD à la version originale. En regardant de plus près les chiffres du disque avec ses 41,92Go occupés, on se dit qu’il y avait la place pour une VF en HD, mais entre pouvoir et vouloir se dessine comme souvent la volonté de l’éditeur de se préoccuper uniquement de ses intérêts à ceux de ses clients. Cette version française présente dans l’ensemble un dynamisme de bonne tenue et un mixage assez précis, le doublage est correct, les effets sont parfois flatteurs mais l’ensemble ne supporte à aucun moment la comparaison avec la formidable VO et des débits qui assument une moyenne de 3,6 Mbps pour flirter à la cime des 5,4Mbps.
La version SD propose un DD 5.1 à 384Kbps pour les 2 versions VO - VF


L'Interactivité : 2/3

L'ergonomie des menus :
Le menu principal du disque propose l’envoi du film, Langues qui permet de sélectionner les langues et les sous-titres, le choix de la version audio, des sous-titres, Chapitres au nombre de 30, Bonus et enfin uBD-Live. L’interface se fond dans les images du film, il est possible de changer à la volée la version audio et les sous-titres


Les bonus :

Le premier disque propose un morceau royal pour démarrer ces bonus avec le Mode Interactivité avancée (2'47'56).

  • Jason Isaacs sert de guide pour commencer cette "loupe" pendant le film, on découvre une scène non retenue qui représente la rédemption de Dudley pour Harry. Stuart Craig, le décorateur, cite pour le manoir des Malefoy des références prises dans le film Citizen Kane, on voit des successions de plans pour étayer sa thèse et les travaux, c'est très instructif et bien plus intéressant que le système PinP car l'image est bien plus importante et les personnages influent directement sur l'information. Nick Dudman, le superviseur Maquillage, prend le relais sur le long maquillage effectué sur Ralph Fiennes, composé de gélatine sur son front parce que l'acteur ne voulait pas raser ses sourcils, il revient également sur le nez numérique marqué par les points pour servir de repères, on voit une fois encore des successions de plans pour voir la progression de son apparence physique. On jette un coup d'oeil sur l'horloge, 10 minutes se sont déjà passées et 4 personnages sont déjà intervenus. C'est très vivant et nettement plus passionnant que le film. Jason Isaacs revient sur son humiliation lorsque Voldemort lui prend sa baguette, puis c'est Nick Dudman qui enchaine sur la sorcière Charity Burbage qui est en grande partie un mannequin, l'effet est stupéfiant de réalisme. L'acteur Tom Felton apparait ensuite en encadré , sa présence consistant à lire des passages du livre pour une meilleure compréhension. Voilà un petit aperçu de cette formidable interactivité qui nous attend, taillé sur mesure pour le Blu-ray, si l'envie était de prendre un raccourci pour ce making-of chirurgical on peut toujours passer directement au point focus (19'21) qui se découpe en 6 modules

  • - Les derniers jours de Privet Drive (2'36) un rapide retour sur la famille d'accueil de Harry, les premiers personnages a quitté l'aventure.
  • - La moto d'Hagrid (4'01) Retour sur les cascades et montages numériques effectués avec le side-car, Daniel Radcliffe juge ses 3 mètres véritablement effectués comme étant les plus passionnant de sa vie, dont acte.
  • - Les tentes magiques (2'18) On revient sur un des éléments de décors.
  • - Des mangemorts attaquent un café (2'51) On découvre tout l'entrainement des cascadeurs pour cette scène en apparence peu spectaculaire. On découvre que Daniel Radcliffe et Emma Watson sont doublés pour la coordination des gestes, visiblement la production ne voulait prendre aucun risque.
  • - La création de Dobby et Kreattur (3'48) Le sujet traite des elfes et de leur évolution dans les films, au début ce n'était que des balles de tennis et pour cet épisode il y avait de vrais doublures.
  • - Le retour de Gripsec (3'45) Warwick Davis revient sur son personnage ou plutôt ses personnages dans les différents épisodes, nous suivons notamment l'évolution très impressionnante de son maquillage.

  • Pour le second Disque on retrouve 2 menus Langues et Bonus
  • 3 sujets composent ces bonus :
  • tout d'abord Les coulisses du film découpé en 5 modules
  • - Les 7 Harry (5'29) On suit les 95 prises de Daniel Radcliffe qui fait un copier-coller des attitudes de ses amis. Ses explications frisent plutôt la promotion et même agacent à la longue. Plus simplement Emma norton, productrice des effets visuels parle du système Mova qui est un système de capture faciale. La conclusion et l'attitude de Daniel Radcliffe frise le narcissisme
  • - Rétrospective de 10 ans de Harry Potter (13'38) On suit une partie des acteurs sur un green pour une confrontation amicale et ennuyeuse. Un sujet sensé parlé de l‘évolution lors de ces 10 années mais en fait on a droit à quelques anecdotes d‘une banalité confondante.
  • - Dan, Rupert et Emma en compétition (2'45) Encore un sujet complètement superficiel sur une prise dans la forêt où nos 3 jeunes héros s‘offrent le challenge d‘être le plus rapide, consternant
  • - Godric's Hollow / le combat entre Harry et Nagini (6'00) Il est question de beau cèdre, de beau plateau, de belles tombes, de beaux décors on nage dans une complaisance frisant l‘overdose. Il faut attendre la 3ème minute pour parler enfin du serpent. Un technicien des effets spéciaux nous précise qu‘il a regardé des vidéos de serpent pour l‘aider, c‘est vrai que cela peut-être utile. On retrouve Emma Norton qui remet une couche dans le discours stérile, «  C‘est la première fois que Nagini attaque et il est vraiment dangereux... » Ce cher Daniel Radcliffe enfonce le clou avec un humour dont il a le secret «Je me suis mis aux cascades, j’ai foncé partout, je mérite vraiment mon salaire... » 
  • - Le lac gelé (4'10) Enfin on nous décortique une scène dans les règles de l’art, Daniel Radcliffe en fait juste 2 tonnes pour une fois mais le vocabulaire employé par l‘équipe est tout simplement hallucinant dans sa complaisance

  • Au final ces coulisses du film dégoulinent de promotion et n’amènent quasiment aucune information digne d’intérêt tant les protagonistes s’obsèdent à flatter l’égo du voisin.

  • Nous retrouvons ensuite 8 Scènes coupées (10'54)

  • - Le terrier (0'41) Nous suivons une courte scène entre Ron et son père sans intérêt
  • - La maison des Dursley (0'52) Nous découvrons lors du départ de Pétunia, la tante d‘Harry, un secret révélé par cette dernière
  • - Dudley et Harry (2'05) Jolie scène qu‘on a déjà pu découvrir dans l‘interactivité sur les sentiments de Dudley vis-à-vis de Harry, une scène qui mérite le coup d’oeil
  • - La maison des Granger (0'27) scène furtive de Yaxley sans intérêt
  • - Les ascenseurs du ministère de la magie (1'51) L‘occasion pour Ron sous une autre apparence de rencontrer son père, scène cocasse où Harry profite pour les avertir
  • - La tente (1'38) L‘occasion de retrouver nos 3 héros débattant de l‘horscruxe, scène inutile pour l’intrigue mais qui vaut le détour malgré tout
  • - Poursuite dans la forêt (1'28) On pourrait résumer par « Jeux de mains - Jeux de vilains, cette anecdotique chasse au lapin débouche sur une confrontation mettant à l‘épreuve l‘amitié entre Harry et Ron, scène qui pouvait trouver sa place dans l‘intrigue.
  • - montage - Ron et Hermione font des ricochets (1'52) Scène inutile sur des ricochets de pierre dans l‘eau

  • Bande annonce et spot clôturent ce deuxième disque
  • - Les secrets de la bande originale (3’51) Le reportage revient sur la bande originale et la participation du compositeur Alexandre Desplat. On ne voit pas trop ce que cela vient faire dans le titre du sujet, cela s‘apparente plutôt aux coulisses du film.
  • Enfin Découvrez le parc d’attraction d’Harry Potter (6’25) est une pure promotion de la planche à billet que constitue la franchise Harry Potter, les fans apprécieront par curiosité, les autres dont je fais partie pourront s‘interroger sur la viabilité d‘un tel projet à moyenne échéance quand on connait la volatilité des modes actuelles. Rendez-vous est pris dans 5 ans

  • Ce second disque qui atteint péniblement 1 heure et entièrement dédié aux bonus est plutôt entièrement dédié à la promotion de la franchise, c’est une grosse déception, du moins pour les fans dont je ne fais pas partie. Heureusement que l’interactivité du premier disque sauve les meubles et la maison car le ronflant titre de « Ultimate Edition » sonnait comme une arnaque.

  • La version SD ne présente aucun bonus

  • Les Visuels : 0.5/1



    La pochette / Le packaging

    Tout comme Inception, Warner prend un main plaisir à dépareiller son packaging en adoptant ici le format SD, certains collectionneurs risquent de pester. L’étui présente un visuel assez esthétique, même si j’ai une préférence pour l’affiche originale. On retrouve évidemment nos 3 compères dans un ordre de grandeur scénaristique, le titre présente un beau relief. Le verso déçoit par son côté sommaire, pas la moindre photo, le découpage des informations n’est pas franchement lisible et flatte une fois de plus le support plutôt que le produit. En ouvrant le boitier, on découvre un petit livret sur Harry Potter, malheureusement ce n’est qu’une vitrine des produits dérivés de la franchise. On dispose toujours du code pour l’inutile copie digitale, surtout qu’on dispose d’une version SD, au lieu de s’évertuer à ce soi-disant effort commercial, il serait bien plus intéressant de faire un effort sur la présentation du packaging, un steelbook par exemple au lieu de ce banal boitier plastique.



    La sérigraphie

    La sérigraphie se passe bizarrement des 2 compagnons de route de Harry, modifiant par la même occasion l'arrière plan de la jaquette. On retrouve le face à face avec Voldemort par disque interposé, la définition gardant ses dominantes bleues. La définition est excellente dans l'ensemble


    Note Finale : (14/20)

    Commentaires concernant cette critique

    - le 25/05/2011 à 12:39 par jay200 : Merci ! Très bonne critique à la fois technique et cinémathographique.

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