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DVD A LA LOUPE


BATMAN : THE DARK KNIGHT RISES - ULTIMATE EDITION (2 BLU-RAY + DVD)

Lui écrire montana62

Batman : The dark knight rises - Ultimate Edition (2 Blu-ray + DVD) DVD sorti le 28/11/2012


Cliquez pour voir la jaquette en haute-définition

Editeur : Warner Home Vidéo
Distributeur :
Warner Home Vidéo

Date de sortie en salle : 25 juillet 2012

Nombre d'entrées : 4 382 032
Durée : 2 h 45 min

Achat du DVD : Comparer les prix avec le moteur

Nombre de visites :
3659


   

Le Film : 8/10

Résumé : Il y a huit ans, Batman a disparu dans la nuit : lui qui était un héros est alors devenu un fugitif. S'accusant de la mort du procureur-adjoint Harvey Dent, le Chevalier Noir a tout sacrifié au nom de ce que le commissaire Gordon et lui-même considéraient être une noble cause. Et leurs actions conjointes se sont avérées efficaces pour un temps puisque la criminalité a été éradiquée à Gotham City grâce à l'arsenal de lois répressif initié par Dent. Mais c'est un chat – aux intentions obscures – aussi rusé que voleur qui va tout bouleverser. À moins que ce ne soit l'arrivée à Gotham de Bane, terroriste masqué, qui compte bien arracher Bruce à l'exil qu'il s'est imposé. Pourtant, même si ce dernier est prêt à endosser de nouveau la cape et le casque du Chevalier Noir, Batman n'est peut-être plus de taille à affronter Bane… .
Fiche technique : Film américain réalisé par Christopher Nolan , producteur exécutif Kevin De La Noy, producteur Charles Roven, musique Hans Zimmer, montage Lee Smith, décors Nathan Crowley - Kevin Kavanaugh, costumes Lindy Hemming
Distribution : Christian Bale : Bruce Wayne, Gary Oldman : Commisaire Gordon, Tom Hardy : Bane, Joseph Gordon-Levitt : Blake, Anne Hathaway : Selina, Marion Cotillard : Miranda, Morgan Freeman : Fox, Michael Caine : Alfred, Matthew Modine : Foley, Alon Aboutboul : Dr Pavel, Ben Mendelsohn : Daggett, Burn Gorman : Stryver, Daniel Sunjata : Capitaine Jones.

Avis : Le seigneur des anneaux, la guerre des étoiles, voilà des triptyques majeurs qui ont fait date dans le 7ème art. Christopher Nolan avec ses 2 premiers épisodes amplement réussis était attendu au coin du bois et de Gotham pour réussir une conclusion fouillée et puissante permettant de se faire une place parmi les plus grands.
Alors le résultat est-il à la hauteur de nos espérances ?
Après avoir joué les martyrs par un sacrifice salutaire pour Gotham, Bruce Wayne n’est plus qu’une poupée cassée, vidée de tout intérêt par l'inaction et inconsolable après la mort de sa chère et tendre.
Seulement voilà, Gotham mégalopole de tous les excès arborant fièrement un capitalisme destructeur ne cesse d’engendrer des monstres à l’humeur aussi dévastatrice que démonstrative de nos peurs latentes. Si joker était le mal personnifié qui avait le don de faire faire le sale boulot par les autres, Bane ici symbolise le terrorisme sous tous ses aspects et surtout terriblement d’actualité.
Le sacrifice d’un des ses hommes de main dans le prologue n’est pas sans rappelé celui de pilotes amateurs un certain 11 septembre. Cette frousse qui ne semble plus quitter les USA suinte tout au long du métrage. Ce stade qui s’éventre ou le piratage boursier témoigne de la fragilité d’un monde moderne dépassé par sa technologie ou sa sécurité le rendant encore plus vulnérable face aux actes malveillants d’individus déterminés.
Batman martyr et icône indésirable hier, redevient le messie par procuration d’une police et d’élus incapables de faire face à ce terrorisme moderne et moralisateur. Après un décor planté au bulldozer parsemé de scènes fantastiquement apocalyptiques, Batman peut réendosser son armure cabossée afin de combattre non pas un robin des bois des temps modernes mais bel et bien un de ces monstres sanguinaires si chers à Bob Kane.
Certes le sort tragique de Heath ledger à remodifié en profondeur l’écriture initiale de ce volet final. Mais là où on aurait pu assister à une énième aventure du super-héros avec cette adaptation de Kngihtfall, Nolan réussit à imbriquer les pièces du puzzle pour asseoir sa trilogie. Il est évident que sans les repères de Batman begins et dark Knight, la lecture risque d’embrumer pas mal de spectateurs avec des questions sans réponses. L’œuvre est profondément noire comme la couleur si cher à notre héros, les sentiments sont bannis tout comme l’optimisme de notre futur.
Le déferlement d’images spectaculaires fait le spectacle avec un cahier des charges bien rempli. Toutefois cette mécanique hyper huilée laisse cependant un mais….
Avec ses 165 minutes, le prologue fantastique et sa première heure soutenue soulignent hélas quelques petites longueurs et erreurs scénaristiques dans sa seconde partie. La faute sans doute à des personnages moins fouillés pour certains et quelques rebondissements aux effets clinquants et parfois trop tocs. La certification iso pro-hollywoodienne marque un peu trop son empreinte et impose certaines scènes largement dispensables. Des baisers sans saveur, des eplorements desséchés, de l’héroïsme suranné, toute cette débauche d’énergie pour imposer des regrets sur la fin de cette trilogie s’avère inutile.
Et c’est sans doute cet écart de conduite, qui prive de superlatifs élogieux sans limite, cette trilogie qui n’en marquera pas moins les esprits.
Côté casting les deux belles surprises viennent de Joseph Gordon-Levitt déjà largement remarqué dans inception qui au fur et à mesure de l’intrigue pèse sur son déroulement. On apprécie également la plastique taillée au laser de la sublime Anne Hathaway qui illumine chacune de ses apparitions à l’écran et amène la seule véritable émotion au film.
Au rayon des valeurs sûres, Christian Bale reste un impeccable Batman tourmenté et torturé et Tom Hardy fait le boulot avec pourtant un méchant bridé par les apparences. Michael caine et Morgan Freeman assurent juste la continuité de la trilogie sans toutefois marquer les esprits et évitant de justesse l’étiquette guest stars.
Au rayon des déceptions, Gary Oldman n’amène rien à l’intrigue pourtant l’une des poutres maitresses du second volet. Matthew Modine est transparent et que dire de Marion Cotillard qui en dehors d’un copinage évident avec le réalisateur n’arrive pas à justifier de sa présence et surtout de sa prestance.
Deux éléments techniques apportent incontestablement une plus-value à l’œuvre finale. Le procédé IMAX (70mm), déjà utilisé sur le volet 2, donnant une profondeur de champ fantastique rendant inutile le procédé 3D. Il suffit lors du prologue de regarder la chute de la carcasse d’avion et des incroyables détails, malgré l’altitude de la scène, on pourrait presque compter le nombre de trèfles. On en vient presque à regretter le double procédé utilisé et sa focale 35mm trop réductrice de ce fait. Hans Zimmer amène également sa pierre à l’édifice, avec encore des partitions puissantes et déjà intemporelles.
Malgré un budget pharaonique estimé à 250 Millions de dollars, les recettes dépassent le milliard de dollars et propulse Nolan au rang des réalisateurs les plus rentables de l’histoire du cinéma. En France, la chauve souris réalise également un beau succès avec près de 4,5 millions d’entrées, attirant 50 % de spectateurs de plus que le second volet.
Au final, TDKR n’est donc pas le chef d’œuvre comic annoncé, bridé sans doute par trop d’attentes et un second opus ayant mis une barre inaccessible avec son envoutant et phénoménal joker. Mais cet ultime volet n’en constitue pas moins un divertissement de premier ordre qui parachève une trilogie de grand cru.


L'Image : 3/3

Détails techniques : Format variable 1.78 et 2.40 - Encodage MPEG4 AVC

Avis : Attention les yeux, dégusté sur vidéoprojecteur avec une image de 3,20 de diagonale, le film affiche, dès lors où on met le nez dehors, une précision chirurgicale grâce au procédé IMAX. Les plongées sur Gotham sont d’une incroyable précision et valorisent totalement la projection sur grand écran. Hélas, le double procédé (IMAX-35mm) pénalise quelque peu au début, car dès qu’on repasse en 2.40 pour les images en 35 mm on perd forcément en profondeur de champ, les bandes noires s’affichent et obligent à recaler l’image 1.78 afin qu’elle ne sorte pas de l’écran. Passé ce petit souci invisible sur LCD, on ne peut que se régaler de cet encodage AVC qui tient une moyenne de 30Mbps avec des pointes à 40. Un contraste royal, une compression invisible et cette définition qui permet une immersion totale dans les scènes d'action donnent ses lettres de noblesse au support.


Le Son : 2.5/3

Détails techniques : DTS-HD Master Audio 5.1 - Anglais, Dolby Digital (640 Kbps) - Français - Italien - Allemand - Espagnol - Thailandais, Anglais 5.1 Audio description
Sous-Titrage : Anglais, Français, Allemand, Italien, Espagnol, Danois, Finnois, Néerlandais, Norvégien, Islandais, Suédois, Thailandais, Chinois, Cantonais, Coréen, Indonésien. Pour malentendants Anglais, Italien, Allemand.

Avis : On peste encore une fois que Warner prive la VF d'un encodage en HD. On doit se contenter d'un DD à 640 Kbps certes tonique et puissant dans les basses avec un mixage précis, mais on perçoit tout de même sur certaines scènes un effondrement de dynamisme. La VO en HD est elle royale, affolant les compteurs avec des pointes à près de 6 Mbps. Les puristes ne pourront que s'indigner de se contenter de la VF, surtout avec ce doublage raté de Bane tout droit sorti des BD de télé et que dire de cette post-synchronisation de Marion Cotillard, on a plus l'impression qu'elle lit plutôt qu'elle joue. Mais on ne peut confondre l'artistique avec le technique et de ce dernier point de vue c'est vraiment une réussite.


L'Interactivité : 2/3

L'ergonomie des menus :
Le menu principal du disque propose la lecture, les chapitres, la version audio, les sous-titres et une seconde fenêtre qui s'adresse aux possesseurs de tablettes ou d'IPHONE. L'interface se fond dans les images du film, on peut changer à la volée la version audio et les sous-titres.
La seconde galette en dehors d'imposer uniquement l'anglais et les sous titres d'usage propose les 4 volets principaux


Les bonus :

Sur le 1er disque (seconde fenêtre) Nul doute que l'interactivité devait être ludique, mais Warner ne prend pas la peine de de s'intéresser à ceux qui ne disposent pas de tablettes ou d'Iphone, regrettable.

  • 2ème disque
  • Short feature : The batmobile 58'17
  • Ce sujet réalisé par Roko Belic fait la part belle aux fétichistes qui vouent une admiration sans limite à la batmobile. On remonte le temps pour traduire la mythologie des héros toujours en possession d'une monture hors du commun tel pégase. Cette analogie nous projette sur la batmobile qui a sans cesse évolué au fil des décennies et des délires visuels de ses concepteurs er des réalisateurs. On apprend bien sur une multitude de détails croustillants, ainsi cette Ford galaxy achetée 1$, 1ère des batmobiles qui illustreront toute la saga. Doté d'un budget de 15 000$, on assiste à sa transformation, customisation est le terme plus approprié. Mais derrière la technologie et le talent, on apprend avec humour que le turbo et son énorme pot faisant jaillir cette si célèbre flamme est en fait un pot de peinture de 19 litres. On redécouvre également quelques anecdotes d'Adam West. Quand Tim Burton reprend le projet, les maquettes et ses concepteurs traduisent un oubli plutôt gênant, il n'a pas été conçu d'entrée pour le pilote. Passé ce premier problème, ils découvrent que le cockpit trop petit coupe les oreilles du masque de notre héros. Si la voiture en impose pour son loock, elle marque également sa fragilité et c'est la gracieuse Kim Bassinger qui pointe un de ses autres défauts. En effet on la voit jeter furtivement ses chaussures avant de sortir pour une bonne raison : la peinture s'abime à la moindre éraflure. On parcourt ainsi les divers modèles jusqu'au tumbler, mi humvee-mi Lamborghini, on apprend que la maquette a été réalisée sans la moindre esquisse ni croquis mais directement à partir de morceaux de maquettes assemblées. Si le reportage se suit avec un certain intérêt, la seconde partie marque par ses redondances, il est vrai qu'avoir consacré presque 1 heure pour un tel sujet peut l'expliquer.
  • Behind The scenes : Ending the Knight se décompose en 3 volets
  • Production : The prologue :
  • High altitude hijacking (7'50) On voit les préparatifs de ce qui constitue sans doute l'une des plus grosses scènes du film. On découvre en fait que tout est presque réel en dehors de raccords numériques, pour ce qui est trop compliqué à faire. La combinaison est dans tous les cas une réussite visuelle totale
  • return to the batcave (3'37) Cette scène essentiellement présentée sous forme de reportage-photos démontre une partie du colossal budget. Entièrement construit, le décor est saisissant de réalisme avec ses fausses ardoises où l'on voit le soucis du détail des décorateurs. Un reportage un peu bâclé compte tenu de l'importance du site.
  • beneath to Gotham (2'34) Autre décor présenté, le repère de Bane, gigantesque décor à la démesure du film. On se retrouve dans un hangar de 250 mètres de long et de 50 de haut. Le lieu se veut plus industriel à l'image de Bane que celui organique de Batman. Encore une fois le sujet ultra rapide semble bâclé.
  • the bat (11'08) Enfin un sujet plus étoffé sur cet appareil volant, nouveau gadget de Batman. Une fois encore on découvre les prouesses techniques pour coller au maximum à la réalité. Et on comprend mieux le degré de réalisme désiré par son réalisateur. On a beau être en 2012, les génies de la débrouille font toujours recette, témoin ces techniciens qui s'évertuent à trouver le meilleur compromis du son pour cette Bat.
  • Batman vs Bane (6'06) C'est la scène de confrontation du film, la force brutale. On assiste plus à la mise en scène et le rendu que la chorégraphie du combat. Son traitement comme la scène du film, n'est pas le plus réussi.
  • armory accepted (3'18) Petit sujet sur l'explosion du toit qui donne accès au stock d'armement de Bruce Wayne, encore une combinaison d'effets réels avec quelques effets numériques.
  • gameday destruction (6'44) On rage un peu pour ce qui reste la scène choc du film à savoir cette pelouse qui s'effondre sous les pieds des joueurs. L'équipe parle bientôt plus des figurants que l'aspect technique de la scène. On découvre certes les trucages et les moyens employés, mais le traitement est vraiment trop superficiel par rapport au rendu de la scène, dommage.
  • demolishing the city street (4'15) Encore une scène mettant en avant les effets pyrotechniques; mais une fois de plus c'est trop rapide. On nous explique avoir mis une multitude d'objets pour rendre la scène très réaliste, mais on n'en voit même pas les effets.
  • the pit (3'01) Nouveau sujet sur les décors et ce bâoli de 20 mètres. Toujours très succinct.
  • the chant (5'19) l'occasion de voir Hans Zimmer et de la mise en place de ce chant libérateur dans ce bâoli. La partition formidable n'est malheureusement pas présentée.
  • the war on wall street (6'40) On apprend que ça faisait des lustres qu'Hollywood ne s'était pas offert autant de figurants pour une scène de combat. 1100 au total se sont prêtés au jeu de ce combat de la police contre le mal. Enfin le sujet est traité comme il se doit
  • race to the reactor (7'52) On participe à la scène finale et cette course poursuite avec le camion transportant le réacteur. Tout comme le sujet précédent, les explications sont précises appuyées par les images d'entrainements. On voit également la cascadeuse doublant Anne Hathaway avec la batpod.
  • Characters :
  • The journey of Bruce Wayne (8'53) Nolan fouille un peu le personnage et héros tourmenté par la mort de ses parents. Ca ne nous apprend pas vraiment grand chose de l'idée qu'on s'était faite déjà du personnage.
  • Gotham's reckoning (10'05) On passe au personnage de Bane avec l'acteur caméléon Tom Hardy qui a pris pour les besoins du film 15 kilos. L'acteur déjà connu pour sa performance dans Bronson et la violence qu'il en dégageait n'a aucun mal à rendre le personnage crédible. Le sujet va enfin jusqu'au bout et ne nous laisse pas sur notre faim.
  • A girl's Gotha eat (9'26) 3ème sujet concernant les principaux personnages, on retrouve la gracieuse Anne Hathaway. Le personnage est plus fouillé dans son apparence que dans sa psychologie.
  • Reflections :
  • Shadows & light in large format (5'37) l'IMAX nous est vanté sous toutes les coutures, et c'est fort légitime quand on voit le résultat à l'écran. Un beau et gros pied de nez au 3D gadget.
  • The end of the legende (9'04) 9 minutes pour entendre une équipe qui a été ravie de travailler ensemble sur un tel projet, c'est long et surtout vide d'intérêt.
  • Trailer archive
  • On retrouve 4 bandes annonces et une galerie d'affiches.
  • Le verdict est sans appel, c'est une petite déception sur l'ensemble des 3 heures proposées. Le déséquilibre est bien présent, plutôt que de consacrer 1 heure rien que pour les batmobiles, on aurait aimé des sujets plus fouillés. Certaines scènes très spectaculaires ne bénéficient que de quelques minutes de traitement. La partie musicale est également très sommairement abordée, on ne retrouve en fait que des mini injections sur certains sujets.
    Warner une fois de plus méprise quelque peu son auditoire, la maison mère ne prend même pas la peine de traduire les menus, un comble.

  • Les Visuels : 0.5/1



    La pochette / Le packaging

    Un boitier métal séduisant avec cette contre-plongée sur Gotham et le signe de batman en feu, témoin du chaos qu'attend la ville. A l'ouverture, les galettes sont sagement rangées, à gauche pour le DVD et les Blu-ray à droite. Au verso, la fiche manque un peu de visuel, coupée en deux avec sa première partie consacrée aux bonus, la seconde est envahie de textes légaux, on trouve quand même un encadré reprenant les éléments essentiels techniques. L'inconvénient comme la plupart des boitiers en métal, la fiche technique ne tient que grâce à ces collants cylindriques, à quand l'injection directe sur le boitier ?



    La sérigraphie

    Avec Warner, on ne se fait pas beaucoup d'illusions sur le soin apporté à cette partie qui ne les intéresse plus depuis des lustres. C'est donc un visuel identique pour les 3 galettes, avec pour seul signe distinctif le petit logo dvd qui permet d'identifier les supports. Pour distinguer le film des bonus, il faut presque sortir la loupe et regarder en bas sur les mentions légales. Le visuel repose sur l'emblème de Batman dans un confondant noir et blanc. Les logos sont très discrets, même chose pour les mentions légales. Pour une ultimate edition, on a déjà largement vu mieux.


    Note Finale : (16/20)

    Commentaires concernant cette critique

    - le 08/01/2013 à 12:32 par montana62 : la subjectivité permet toujours des débats intéressants, mais merci en tout cas pour tes encouragements
    - le 08/01/2013 à 12:12 par Noyrac : On peut ne pas être d'accord sur certaines remarques (ex : Anne Hathaway), il n'empêche que c'est du très, très, très beau travail. Félicitations!
    - le 08/01/2013 à 07:18 par montana62 : Merci au "maître des loupes"
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