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DVD A LA LOUPE


GRAVITY - ULTIMATE éDITION (BLU-RAY 3D + BLU-RAY + DVD + DIGITAL ULTRA VIOLET)

Lui écrire montana62

Gravity - Ultimate édition (Blu-ray 3D + Blu-ray + DVD + Digital Ultra Violet) DVD sorti le 26/02/2014


Cliquez pour voir la jaquette en haute-définition

Editeur : Warner Home Vidéo
Distributeur :
Warner Home Vidéo

Date de sortie en salle: 23 octobre 2013
Nombre d'entrées : 4 094 466 env.

Durée du film : 1 h 30mn 58s

Achat du DVD : Comparer les prix avec le moteur

Nombre de visites :
350


   

Le Film : 7/10

Résumé : Pour sa première expédition à bord d'une navette spatiale, le docteur Ryan Stone, brillante experte en ingénierie médicale, accompagne l'astronaute chevronné Matt Kowalsky. Mais alors qu'il s'agit apparemment d'une banale sortie dans l'espace, une catastrophe se produit. Lorsque la navette est pulvérisée, Stone et Kowalsky se retrouvent totalement seuls, livrés à eux-mêmes dans l'univers. Le silence assourdissant autour d'eux leur indique qu'ils ont perdu tout contact avec la Terre - et la moindre chance d'être sauvés. Peu à peu, ils cèdent à la panique, d'autant plus qu'à chaque respiration, ils consomment un peu plus les quelques réserves d'oxygène qu'il leur reste. Mais c'est peut-être en s'enfonçant plus loin encore dans l'immensité terrifiante de l'espace qu'ils trouveront le moyen de rentrer sur Terre...

Avis : Une navette détruite dans les premières minutes et une réserve d’oxygène ne permettant pas d’y passer la journée, comment occuper l’espace-temps avec un pitch aussi simpliste ? En fait 2 éléments vont largement contribuer à l’immersion dans ce projet : la 3D et la durée du film.

Moins de 90 minutes constitue aujourd’hui un petit événement, tant la durée moyenne dépasse largement les deux heures. En condensant le récit à durée réelle, l’effet permet de maintenir un rythme et un suspens très soutenu. En incorporant l’ingrédient 3D, l’immersion est totale, le spectateur a tout simplement revêtu le scaphandre et se trouve propulsé à des centaines de kilomètres d’altitude.

Deux

Le chiffre 2 semble être vitale pour l’œuvre. Après les 2 ingrédients, on distingue 2 environnements hostiles. L’espace bien sur avec ses débris destructeurs et les stations spatiales qui se révèlent piégeuses à souhait. Il y a les 2 personnages Stone et Kowalski et la narration clairement découpée en 2 parties pour le Dr stone : quitter cette mère meurtrie afin que la femme renaisse.

L’espace n’a jamais semblé aussi beau et l’humain aussi fragile. Malgré les connaissances et notre technologie avancée, l’homme n’est rien face aux éléments naturels. Pire, il paie cash tous ses excès ! Cette peur viscérale qui ne nous quitte jamais durant la projection résulte d’un mélange entre beauté et impuissance des éléments qui vous renvoient à votre seule arme disponible : la volonté. Le vide spatial dans son immensité procure une sensation extrême de claustrophobie. Le silence et la solitude accentue un peu plus ce face à face avec soi même.

Sans cesse le réalisateur jongle entre le pur divertissement et les métaphores. Nous sommes en plein survival mais aussi renaissance, et en dehors des images extraordinaires de l’espace, l’abnégation humaine vient se mêler à la philosophie de la vie et son parcours chaotique.

Ce thriller spatial a les atouts pour se convaincre qu’on n’est pas si mal les 2 pieds sur terre et qu‘il serait peut-être temps de savourer la vie tout en sauvegardant ce patrimoine naturel. Il ne faut pas chercher de comparaison avec 2001 l’odyssée de l’espace. La philosophie ou la métaphysique ne sont pas les moteurs essentiels de gravity même s’ils « pèsent » parfois sur l’intrigue. Cela reste avant tout un divertissement qui a pour vocation de vous propulser dans les limites du réalisme.

Si Cuaron pousse au maximum le levier technologique, il ne laisse pas pour autant l’humain de côté en se préoccupant de son avenir. Dans son formidable « fils de l’homme » la folie industrielle avait rendu la population stérile et le réalisateur démontrait la fragilité de notre espèce face à nos propres actes. Ici, le combat de la survie est plus personnel, plus intérieur même si cela résulte aussi des conséquences des actes de l’homme.

Si la narration garde une bonne fluidité, la seule ombre au tableau vient de ces symboliques grossières qui parsèment l’œuvre épousant trop la cause hollywoodienne. Envoyer dans l’espace une dépressive ayant si peu de gout à la vie, on se dit qu’elle n’aurait jamais pu réussir les tests d’entrée pour une telle mission.

Il reste le casting, à l’origine un véritable casse-tête, l’utilisation massive d’images de synthèse n’a pas facilité la tache des acteurs. Un tel déploiement d’effets visuels relègue forcément les acteurs au second plan. Si George Clooney semble cabotiner, Sandra Bullock semble très… professionnelle dans sa peur. La perception de la composition est loin d’être évidente, sans interaction et face à des situations virtuelles, il n’y a pas de miracle. Si on veut jauger l’interprétation, il faut se ruer sur les bonus pour en comprendre toute la difficulté.

Derrière un avis majoritairement positif de la presse, les spectateurs ont suivi en masse. Le film est un immense succès commercial mais également récompensé par la profession. 10 nominations aux oscars dont 7 remportés, réalisation, photographie, montage, montage sonore, effets visuels, musique et mixage sonore. 4 millions de français se sont rués vers les salles obscures et les recettes ont été multipliées par 7 sur l’investissement.

Même si son hymne à la vie repose parfois sur des symboliques grossières, Gravity reste une œuvre visuellement splendide et à la mise en scène plus élaborée que la moyenne du genre. Sans atteindre la notion de chef d’œuvre, ce film mérite largement un 2ème visionnage, effectivement le chiffre 2 est bien présent…


L'Image : 3/3

Détails techniques : Image MPEG4 - AVC - Format 16/9 2.40

Avis : Nous avons à faire sans doute à l'une si ce n'est la meilleure copie de l'année 2013 en matière de 3D. La fluidité des effets invisibles en ce qui concerne les visages dans les casques en est la meilleure preuve. La profondeur est tout simplement somptueuse, flotter dans l'espace dans ces conditions est un pur régal ! Les contrastes sont en béton, des noirs profonds, il faut pénétrer à l'intérieur des stations pour vérifier la parfaite saturation des couleurs et surtout la multitude de détails d'une précision diabolique. Pour cette 3D native, l'avantage est donné à la profondeur mais les jaillissements utilisés avec parcimonie vous feront plus d'une fois fermer les yeux lors des passages de projectiles. Il a fallu plusieurs années pour que le projet aboutisse et au vu de la multitude des effets parfaitement intégrés, on comprend un peu mieux les récompenses dont l'oscar concernant les effets visuels. U


Le Son : 3/3

Détails techniques : : Français, Anglais DTS-HD Master Audio 5.1 - Allemand, Italien, Espagnol DD 448 Kbps - Anglais Audiodescription
Sous-titres : Français, Anglais, Allemand, Italien, Espagnol, Néerlandais, Danois, Finnois, Norvégien, Suédois, Islandais. Là encore les 3 oscars raflés (montage sonore, musique, mixage sonore) attestent de la qualité qui nous attend. De plus Warner nous offre une piste HD en VF avec un encodage égal à la VO, suffisamment rare pour le préciser. On ne parlera pas de puissance mais plutôt de précision. Voulant coller à la réalité, le silence de l’espace ne prévient pas des dangers et c’est là que la BO nous sert de guide. Sans cesse la musique et les effets nous enveloppent, l’immersion est totale et fait jeu égal avec le visuel. La VO marque naturellement un petit avantage au niveau du mixage mais la VF n’a vraiment pas à rougir du rendu final.<

Avis : Là encore les 3 oscars raflés (montage sonore, musique, mixage sonore) attestent de la qualité qui nous attend. De plus Warner nous offre une piste HD en VF avec un encodage égal à la VO, suffisamment rare pour le préciser. On ne parlera pas de puissance mais plutôt de précision. Voulant coller à la réalité, le silence de l’espace ne prévient pas des dangers et c’est là que la BO nous sert de guide. Sans cesse la musique et les effets nous enveloppent, l’immersion est totale et fait jeu égal avec le visuel. La VO marque naturellement un petit avantage au niveau du mixage mais la VF n’a vraiment pas à rougir du rendu final.


L'Interactivité : 3/3

L'ergonomie des menus :
Le menu propose Démarrer le film, Chapitres (10), Langues et Bonus


Les bonus :

Pour le menu, on retrouve plusieurs extraits du film avec la possibilité de modifier la langue ou les sous-titres.

  • Pour les versions Blu-ray le disque 3D est rempli à 31,5 Go alors que le 2D accuse la saturation avec 45 Go, normal quand on voit le nombre de bonus figurant dessus. Pour la version DVD, il faut se contenter concernant les bonus du sujet "Point de collision" et du court métrage. Pour la partie son, un bien maigre DD encodé à 384 Kbps
  • On démarre avec les coulisses du film Gravity : Contrôle de mission (1h46mn36s) compartimenté en 9 reportages

  • - Tout commence par l'histoire (16'21) : On démarre avec le script, complètement fondé sur la renaissance du personnage. Le réalisateur appuie son argumentaire sur les multiples métaphores qui jonchent le film. Il est à noter qu'il n'y a eu aucune retouche du script.

  • - Premiers défis : Plans larges et apesanteur (10'12) : Cuaron envoie son projet à Chivo le directeur de la photographie pensant que le film serait rapide à réaliser, mais les problèmes d'apesanteur pour les acteurs a très vite remis les pieds sur terre au réalisateur. On sait qu’il est friand de plans-séquences, et c'est de là que découle toute la difficulté technique. Le "Vomit Comet", en fait un avion qui monte très haut en altitude pour replonger afin de recréer l'impesanteur ne dispose que de 20 secondes, temps tout à fait incompatible avec des plans-séquences. A noter qu'on suit un cours rapide mais intéressant sur les notions de gravité. La physique ayant des limites cinématographiques, c'est donc vers les images de synthèse que l'équipe va se diriger. Déjà près de 30 minutes de reportages et on ne voit pas la montre tourner.

  • - Prévisualiser gravity (11'38) : On plonge un peu plus dans la technique du film utilisée. Beaucoup d'essais sont faits, les câbles trop inconfortables pour les acteurs, la motion capture mais au final Tim Webber avait donné la bonne solution avec les images de synthèse en ne prenant que les visages des personnages et en y mettant tout le reste par ordinateur. On découvre que la prévisualisation complète a duré 10 mois, on comprend mieux la durée du projet total 4 an 1/2. Le sujet baigne dans la technique et les astuces utilisées, comme ces robots-caméras et le cube de lumière. Encore un reportage très intéressant qui permet une complète immersion dans les difficultés du tournage.

  • - les couleurs de l'espace (10'41) : Consacré à l'énorme travail de l'éclairage, on découvre avec surprise malgré toute la technologie utilisée qu'un bon vieux globe avec une ficelle et quelques adhésifs allait servir de point central comme repère. L'éclairage a demandé 4 mois de travail. La synchronisation est vraiment chirurgicale, les essais sont fait tout d'abord avec des robots, puis des cascadeurs et enfin les acteurs. En dehors de la somme d'informations que l'on reçoit, on se délecte à écouter les résumés du tournage sans la moindre compassion et surtout promotion d'usage.

  • - Apesanteur( 7'48) : le sujet complète en fait "Premiers défis" et tous les moyens utilisée pour donner l'illusion de l'apesanteur. Le travail par câble a demandé évidemment une condition physique optimale de l’actrice, l’occasion de découvrir également le travail obscur des marionnettistes qui donnent parfaitement l’illusion.

  • - Technologie spatiale (13’02) : Place aux décors et plateaux et la modélisation de tous les objets, on apprend par exemple qu’il y avait 2 000 objets reproduits dans l’ISS. Petit détour également pour les costumes, avec ces petites combinaisons internes limitant volontairement certains mouvements pour augmenter le réalisme.

  • - Sandra et George un couple dans l’espace (9’37) : Derrière toute cette technologie, il est toujours difficile pour les acteurs de trouver leur place. Sandra Bullock portant le film sur les épaules compte tenu du rôle, le conditionnement était spécifique pour la mettre dans les conditions les plus proches du personnage. George clooney est arrivé en cours de tournage et a été l’élément salutaire pour donner une bouffée de fraicheur et décontracter un peu plus l’équipe. La fin du reportage se termine par un bain général, l’annonce de la fin du tournage et une certaine tristesse de se quitter après un tel projet.

  • - Animation finale (15’01) : Nouvelle plongée dans la technique, une fois encore il est question de synchronisation des visages des acteurs aux images de synthèse. Au rayon des chiffres, on apprend que la navette représente 25 millions de polygones, que 2,2 millions de mots ont été utilisé pour les commentaires des révisions de plans. 3 millions d’étoiles ont été créées pour donner plus de consistance à l’espace et 10 voir 15 heures étaient nécessaires pour créer une simple image sur ordinateur une fois tous les plans regroupés. Afin de se faire une petite idée de la complexité des plans, une productrice résume que si l’équipe avait disposé d’un seul processeur, il aurait fallu remonter 5 000 ans - JC pour disposer du temps nécessaire à la fabrication totale du film. En fait ils disposaient d’une mémoire de 500 téraoctets. Pour souligner l’exigence extrême du réalisateur, alors que le film est quasiment bouclé, un technicien fait la remarque que ce film est tellement abouti qu’il peut se regarder dans de nombreuses positions... la chose qu’il ne fallait pas dire au réalisateur. En effet ce dernier retourne l’écran et se dit qu’il a fait une énorme erreur et qu’il aurait du en fait tourner à l’envers. Cette petite phrase coutera à l’équipe de refaire les premières minutes du film et surtout rallonger de 3 mois le travail.

  • - Silence absolu (12’13) : Pour clôturer ce remarquable making-of riche en détails techniques et d’images, on suit la post-production et le travail du montage sonore. On découvre un musicien plutôt atypique avec un de ses instruments « l’harmonica de verre ». Comme tous les reportages, les protagonistes ne lésinent pas sur les détails et semblent suivre la directive générale qui est de mettre à la porte toute notion de marketing ou de complaisance.

  • Un making-of d’école dont beaucoup devraient suivre l’exemple, ce type de bonus devrait réconcilier bon nombre de spectateurs qui les occultent.

  • Amerrissage - découpages techniques (36’48) présente 5 modules

  • - Derrière la visière (6'50) : On rentre un peu plus dans la technique où on découvre que même la buée sur le casque est un effet numérique. C'est du pain béni pour tous ceux qui désirent s'enfoncer dans les moindres détails. Sous forme de clin d'œil, le réalisateur nous avoue même un secret. Il s'est amusé à reconstituer le caméraman et le preneur de son furtivement sur le reflet du casque de George Clooney, c'est très furtif mais complètement fun.

  • - Incendie dans la station spatiale internationale (5'42) : C'est l'une des scènes les plus spectaculaires et au dire de l'équipe des effets spéciaux, la plus dure à réaliser. Dans tous les cas, on suit la torture qu'à du endurer Sandra Bullock suspendue au bout de ces câbles.

  • - La renaissance du Dr Stone (7'54) : Une nouvelle scène essentielle aux yeux du Cuaron est décortiquée. Encore une fois ce qui semble être simple à l'écran révèle la formidable somme de détails et de temps qu'il a fallu consacrer pour obtenir une telle fluidité à l'écran. Tout l'intérêt dans ces bonus réside à découvrir le boulot incroyable réalisé par l'équipe technique, ce boulot fastidieux et passionnant mais qui ne bénéficie pas de la même lumière que pour les acteurs.

  • - Le son de l'action dans l'espace (7'55) : Le sujet se concentre sur le gros boulot de Steven Price, boulot consistant à jouer sur les silences de l'espace tout en amenant auditivement la dramatique. Il est à noter qu'une prochaine sortie du film devrait se faire justement sans la partie musicale pour vivre encore un peu plus de l'intérieur cette aventure spatiale.

  • - Amerrissage (8'24) : Scindée en 2 parties, la 1ère partie relate l'arrivée de la capsule puis de nouveau cette fameuse renaissance. Toujours soucieux du détail, un élément semble antinomique avec le réalisme. (Attention spolier) En effet comment expliquer que le Dr Stone arrive à s'extirper de sa capsule en retirant sa lourde combinaison avec une certaine facilité au fond de l'eau et que cette dernière a toutes les peines du monde à se tenir debout sur la plage ? L'accentuation de la symbolique de naissance ou renaissance à la vie justifie sans doute ce choix.

  • Ces découpages techniques ont l'avantage d'éviter la redondance avec le making-of, permettant de plonger encore un peu plus dans cette entreprise qui justifie un tel temps de réalisation.

  • Point de collision : La course à un espace sans débris raconté par Ed Harris (22'28) : Un reportage très intéressant mais aussi inquiétant sur l'espace poubelle suite à l'intervention de l'homme. Les avancées technologiques passent par l'espace, mais il est plus que temps de songer à la reconversion de ces milliers de débris qui pèsent sur la sécurité spatiale. Les enjeux et les dangers sont clairement notifiés. La balle est dans le camp de l'homme, cerner le problème est une chose, y remédier est une toute autre histoire.

  • Aningaaq (10'11) : Ce court métrage se situant au groeland est en fait le point de vue du pêcheur qui rentre en contact dans le film avec Stone. 2 endroits isolés, l'espace et ce continent pour un choc de culture et de technologie où l'intérêt n'est pas le même. Stone se raccroche à ce qui lui reste encore de vie et apprécie chaque seconde de ce "contact". Du point de vue de l'esquimau, la scène est plutôt cocasse, la barrière des langues jouant sur le nom des personnages et ce qui est un SOS pour l'un est tout simplement un prénom pour l'autre.


  • On dispose en tout de près de 3 heures de reportage qu'on suit avec un intérêt constant. Il y avait longtemps que Warner ne nous avait pas gâté autant.


    Les Visuels : 0.5/1



    La pochette / Le packaging

    On dispose d’un étui cartonné un peu trop fragile reproduisant avec fidélité sur le recto l’affiche du film. Sur le verso, Warner fait l’effort de diminuer un inutile générique et ses mentions légales. Le synopsis et la partie bonus est bien lisible, la partie technique est un peu plus discrète et demande d'avoir une bonne vue sans loupe. A l’intérieur on retrouve 2 visuels l’un reprenant le recto et l’autre centré sur notre héroïne. Sur la partie centrale une vue spatiale de Stone couvrant les 2 parties. On dispose pour ce coffret ultimate 4 supports : le 3D, 2D, DVD et le support numérique d’Ultra Violet. On doit reconnaitre un légitime effort de packaging sans toutefois atteindre la perfection.



    La sérigraphie

    Cela reste un des gros points faibles de Warner qui occulte héla trop souvent cet aspect cher au collectionneur. La sérigraphie se limite donc à un fond noir, on distingue facilement le type de support avec des logos biens regroupés. Dommage, car avec un peu d’effort et compte tenu de la qualité technique et des bonus présents, c’était un sans faute.


    Note Finale : (16.5/20)

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