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DVD A LA LOUPE


TRANSFORMERS : L'âGE DE L'EXTINCTION (BLU-RAY 3D + BLU-RAY + DVD)

Lui écrire montana62

Transformers : L'âge de l'extinction (Blu-ray 3D + Blu-ray + DVD) DVD sorti le 26/11/2014


Cliquez pour voir la jaquette en haute-définition

Editeur : Paramount
Distributeur :


Date de sortie en salle : 16 juillet 2014
Nombre d'entrées : 2 343 189 env.
Durée du film : 2 h 46 min

Achat du DVD : Comparer les prix avec le moteur

Nombre de visites :
447


   

Le Film : 3/10

Résumé : Quatre ans après les événements mouvementés de "Transformers : La Face cachée de la Lune", un groupe de puissants scientifiques cherche à repousser, via des Transformers, les limites de la technologie.Au même moment, un père de famille texan, Cade Yeager, découvre un vieux camion qui n’est autre qu’Optimus Prime. Cette découverte va lui attirer les foudres d’un certain Savoy, dont le but est d’éliminer les Transformers. Pendant ce temps, le combat entre les Autobots et les Décepticons refait surface…

Avis : Michael Bay le débaucheur d’effets numériques, le « Jack-Poteur » du box office, le castrateur de scénario, le blanchisseur de casting remet le couvert pour sa franchise métallique. Après avoir convaincu Shia Labeouf de brûler ses derniers robots par dépit et jeter son portable dès que le mot Bay apparait, le réalisateur « ose » démarrer une nouvelle trilogie.

Plus de plus égal moins...

Après avoir revisité l’extinction des dinosaures, le réalisateur, faute d’avoir retrouvé Shia Labeouf, reprend le compère de « No pain No gain » comme personnage humain central. Un ingénieur-bricoleur-loser comme Bay les aime, père de famille veuf mais musclé, pauvre mais riche de la dernière playmate du Texas pour fille. La première heure s’évertue à enfoncer au bulldozer les galères que ce texan traverse. Michael Bay élevé à la traditionnelle du bon bourrin américain au drapeau étoilé ne loupe pas le moindre cliché. Ok, on a bien cerné les gentils, il reste à présenter les méchants de service. Et pour le coup, les méchants sont vraiment pas gentils. Non seulement ils détruisent les autobots, mais en plus ils menacent les gentils humains. La première heure laborieuse à présenter les protagonistes, il reste nos fameux alliés métalliques qui l’ont mauvaise vu le peu de considération à leur égard. Les véhicules accusent une vétusté avancée, ce manque d’entretien est en parfait accord avec la frilosité ambiante de ce prologue interminable.

La seconde heure sonne comme le réveil des autobots. Finie la rouille et tôle froissée, oubliée la trahison des humains, retrouvé l’altruisme des ces bonnes vieilles boîtes de conserve. Les humains étant soit débiles ou mauvais, la robotique prend le relais pour s’occuper des affaires courantes, c'est-à-dire la destruction programmée de notre planète. Place ainsi au déferlement pyrotechnique et images de synthèse, ici l’unique but est d’en mettre plein la vue jusqu’à saturation. La saturation étant très vite atteinte, le processus suivant s’enclenche, l’indigestion.

Avec effroi en regardant pour la dixième fois sa montre, on s’aperçoit qu’il reste encore 40 minutes ! 40 minutes d’ennui supplémentaire à supporter ces interminables ralentis, ces pitoyables dialogues, ces navrants personnages et cette redondance écœurante d’effets spéciaux.

Comme un défi, le réalisateur semble nous dire dans sa bouillie filmographique, vous croyez que je ne peux pas faire pire pour le suivant ? Avec un incroyable soulagement, on voit apparaitre les premières lignes du générique. L’unique neurone ayant échappée à ce génocide du 7ème art réussit, par un geste salutaire, à nous faire appuyer sur arrêt et à stopper la centrifugeuse. Ouf, le calme revenu, l’heure est au bilan. Pas la peine d’y passer une heure de plus, le constat est édifiant et surtout accablant. En dehors d’effets somptueux mais vite lassants faute de consistance scénaristique, il n’y a rien à sauver dans ce métrage.

On peut légitiment couper 1 heure sans que rien ne vienne nuire à l’œuvre. L’apport de nouveaux personnages mécaniques est aussi utile qu’un arrosage en plein ouragan. Le nouveau casting brille par sa transparence mais surtout par sa constante médiocrité. Mark Wahlberg se contente de montrer ses biceps, oubliant que ses adversaires font 10 fois sa taille et sa force. Nicola Peltz joue la dauphine de la dauphine de Megan Fox. Il est certain que la prochaine, sans une nudité fortement prononcée, il vaudra mieux un bon robot-ménage pour attirer notre attention. Le reste du casting est à l’image du film, futile, clinquant, sans caractère et abrutissant.

La franchise Transformers se révèle être une vitrine technologique de 1er ordre mais avilissante pour la profession d’acteurs. Losers, potiche et bas de plafond règnent en maître. Il est temps que Michael Bay prenne ses responsabilités et bannisse tout humain de cette série sans partage pour la robotique. A s’évertuer à en mettre plein la vue, en dehors de 1 ou 2 tentatives, le film réussit même à faire l’impasse sur l’humour. Michael Bay franchit un nouveau palier dans son délire psychédélique et ses orgies transformiesques. Tournant volontairement le dos aux fondamentaux du cinéma, la règle du qui peu le plus peut encore plus donne ainsi tout son sens et soulage les cinéphiles popcorniens. Pour les estomacs plus fragiles, la notion de vite vu – vite consommé fait plutôt place à interminable et indigeste.

Au vu du box office, la mauvaise nouvelle est que ça n’est pas près de s’arrêter. Si on peut être horrifié du budget de 210 millions de dollars, que dire du milliard amassé en recettes ? En France si les chiffres sont sensiblement plus bas que le numéro 3, néanmoins on note que 2,3 millions de spectateurs ont pris un billet pour cette ballade en centrifugeuse.

Cet âge de l’extinction s’avère bien réel pour l’intérêt de ce numéro 4. Si les amorphes decepticons avaient la bonne idée d’emmener loin de nos bases la franchise transformers, je promets d’investir dans une bonne burette pour les ragaillardir. En attendant faites comme Shia LaBeouf, évitez le film !


L'Image : 3/3

Détails techniques : Format 1.85 et 2.40 pour le 3D -2.40 pour la version 2D - MPEG 4 AVC - disque 3D 45,60Go - 2D 44,90 et la version bonus 45,99 Go

Avis : Avec un tel budget, les attentes étaient fortes et de ce point de vue, la réussite est au rendez-vous. Tout comme The dark knight, l’œuvre bénéficie d’une atypique double casquette quant à sa définition. On retrouve sur la version 3D un double format (1.85 et 2.40), la version 2D restant sur le 2.40. Pour le 1.85, l’IMAX nous en met plein la vue et réussit même à nous faire oublier les filtres avec cette palette colorimétrique somptueuse. Les contrastes sont également soignés et bénéficient d’une solidité toute aussi puissante que ces robots. Pour la 3D, avantage sans conteste à la profondeur qu’on peut estimer abyssale, que ce soit dans ses arrières plans panoramiques ou plongées dans les vaisseaux. Les jaillissements sont moins nombreux mais restent percutants. Plus d’une fois un vaisseau ou un robot s’invitent de 2 bons mètres dans notre salon. La scène d’introduction avec ce petit dinosaure est un véritable top démo. Vu la médiocrité du film, la 3D permet de s’égarer dans les soucis du détail pour apprécier pleinement le procédé, mais on ne pourra pas parler de plus-value hélas vu le contexte. A noter que pour la version 2D, les images de synthèse sont trop visibles au départ. Cette copie 3D constitue l’un des top démo de l’année 2014, peut-être même le meilleur.


Le Son : 2/3

Détails techniques : Anglais Dolby Atmos, True HD 7.1 et piste audio-descriptive - Français, Espagnol, Italien, Allemand 5.1 DD encodé à 640 Kbps
Sous-Titres : Danois, Allemand, Anglais, Espagnol, Français, Italien, Néerlandais, Norvégien, Finnois, Suédois, Anglais pour les malentendants.

Avis : La VO propose pour la version 3D le Dolby Atmos (à condition d’avoir la matériel adéquat) et un 7.1 True HD pour la 2D. C’est un véritable feu d’artifice en précision et en puissance, mieux vaut opter pour cette version. Car pour la VF, Le son est loin d’être à la hauteur de l’image avec cette navrante piste Dolby digital bridée à 640 Kbps. Le mixage accuse des pertes importantes dans le dynamisme et isole souvent le doublage en frontal au point d’avoir la désagréable sensation de disposer d’un 2.0. Même Warner avec un encodage égal arrive à sortir une copie mieux ficelée même si elle reste bridée. En 2014 et à un tel tarif, cela est tout simplement inacceptable.


L'Interactivité : 2.5/3

L'ergonomie des menus :
Le menu pour le film propose Lecture - Réglages - Accès aux scènes (19 chapitres) -


Les bonus :

En guise de hors d'oeuvre avant le gros morceau des bonus, on nous propose :

  • Bay en action (10'45) : Un prologue qui va droit au but à l'image du réalisateur qui nous explique que pour lui, les réunions l'ennuient et ce qui l'intéresse c'est l'action. Très rapidement, il nous parle de la 1ère caméra IMAX 3D, de cette caméra robotique autrichienne ou la phantom flex caméra numérique ultra rapide. Tout est dans l'illusion, le but étant de donner un maximum d'informations au spectateur afin qu'il perde ses repères sur la réalité des scènes. A l'image du film, ces 10 premières minutes enchainent les successions de plans à un rythme vertigineux, pas de soucis bay et actions restent indissociables.

  • Pour le morceau royal, le making-of, L’évolution dans l’extinction est découpé en 8 reportages (2h02mn50s)

  • - Génération 2 (15’53) : Jouant toujours dans la surenchère, pour relancer la franchise, les producteurs voient dans cette mine d’or l’occasion d’injecter de nouveaux personnages. Cela nous permet au passage de découvrir les « doublures » comme Hound doublé par John Goodman ou Drift le samourai par Ken Watanabe. Une fois le tour des nouveaux robots fait, la pré-production s’attache à nous tarir d’éloges la star humaine principale : Mark Wahlberg. A l’image du film, on nous inonde de complaisance à son égard jusqu’à l’indigestion. Le reste du casting se déroule de la même manière, le moins que l’on puisse dire est que la simplicité est un mot banni d’avance sur les bonus que l’on va suivre. Pour le 1er sujet du making of, on peut saluer la revue en détail de tous les personnages, robots comme humain, mais on doit malheureusement subir ce flot de complaisance largement dispensable. Intérêt 0 - Promo 1

  • - A tombeau ouvert (13’29) : Ce sujet se consacre aux véhicules et transformations subies. Benjamin Edelberg nous présente le Western Star (Optimus Prime) où seules les portes restent d’origine. le soucis du détail est démontré notamment au travers des peintures effectuées sur ce camion. La chevrolet Camaro Super Sport (Bumblebee) suit le même lifting, on voit ainsi défiler toutes les voitures de rêve comme les bugatti, lamborghini, pagani ou corvette utilisées dans le film. Considérées pour certaines comme des oeuvres d’art, vu le tarif de celles-ci, on est bien obligé de l’admettre. On termine par quelques cours d’apprentissage à la conduite sportive, les amoureux des belles carénées seront aux anges. Intérêt 1 - Promo 0

  • - Petite ville, gros film (11'22) : Ce reportage joue un peu trop la promo du film, en dehors du boulot des artificiers sur la façade d'une ferme, on a pas grand chose à se mettre sous la dent. Un peu de brosse à reluire pour mark Wahlberg ici, un peu d'explosion par là, on a bien compris que la pyrotechnie domine le film. Intérêt 0 - Promo 1

  • - Protocole fantome active (28'45) : Véritable vitrine du film dans sa démesure, on parcourt les différents états et décors voués à cette franchise. Le boulot force l'admiration d'un point de vue technique, c'est indéniable, et on comprend où est passé une grosse partie du budget pharaonique. La pyrotechnie dévoile une bonne partie de l'envers du décor, dommage que le sujet soit dénué d'intérêt dans sa partie commentaire beaucoup trop élogieuse et promotionnelle. Intérêt 1 - Promo 1

  • - Le dernier combat (11'03) : Encore une fois toute la démesure est démontrée avec la volonté du réalisateur de reproduire Hong-Kong dans la ville de Détroit. On reste admiratif des soucis du détail comme cette usine fabriquant des nouilles de 15 mètres qui sont en réalité des bandes de caoutchouc. Pour le reste, une nouvelle couche d'explosions en tout genre, toujours aussi impressionnant dans sa logistique mais toujours aussi vide pour les commentaires. Intérêt 1 - Promo 1

  • - République populaire (12'54) : Ce sujet en profite pour nous faire voyager un peu, à Hong-Kong et surtout en chine, notamment sur la fameuse grande muraille. On laisse enfin les explosions de côté pour profiter du paysage et de ses autochtones qui sont ravis d'être la terre d'accueil pour cette franchise qui semble les passionner. Autant Hong-Kong fourmille de vie et demande un timing ultra serré entre chaque plan où rien ne peut arrêter l'activité. Autant ce splendide parc naturel en chine demande toute l'attention des techniciens pour le préserver des méfaits du modernisme. Iintérêt 1 - Promo 0

  • - L’avénement des dinobots (6'10) : Petit reportage consacré comme son titre l'indique sur les dinobots. On apprend que tous les fans de la 1ere heure de la franchise désiraient avant tout voir pour la suite ces fameux robots préhistoriques. Intérêt 1 - Promo 0

  • - La touche finale (23'10) : Après avoir reçu un maximum d'images à travers de nombreux pays, il reste le plus important pour donner un peu d'ordre à tout ça : le montage ! Après avoir fait connaissance avec l'équipe des monteurs, 5 au total excusez du peu, on se retrouve ni plus ni moins dans la résidence du réalisateur. Là au travers de la visio-conférence on assiste aux échanges en live de Michael Bay avec la prestigieuse équipe d'ILM. On découvre ainsi la post-production moderne sur les effets qui peuvent être remaniés selon la volonté du réalisateur en temps réel et par écran interposé : bienvenue dans le 21ème siècle ! On enchaine sur les doublages et la bande originale pour terminer sur la promo, la vraie, avec concert et tapis rouge de rigueur. Sans doute le sujet le plus intéressant du making-of. Intérêt 1 - Promo 1

  • Ces 2 heures de making-of montrent parfaitement toute l'énergie déployée par le réalisateur et son équipe. Peu avare en image, on voyage sur tous les plateaux où on subit autant que l'équipe technique les multiples explosions et cascades. D'un point de vue visuel, on ne peut qu'apprécier tout cette débauche d'informations envoyées. Hélas on peut reprocher un aspect beaucoup trop promotionnel sur certains sujets et surtout des commentaires vides à l'image de Nicola Peltz qui rempli parfaitement son rôle de bimbo.

  • Juste un film énorme de plus (10'03) : Avec l'arrivée de Maman-Michael Bay on se dit que le reportage va partir sur la dérision. En fait, on nous propose comme digestif, un bon cassoulet après la pizza. De nouveau on revoit les mêmes images que le making-of, on "découvre" parfois un Michael Bay pas toujours aussi gentil qu'il veut bien le paraître. Mais au final, le sujet ne présente rien de nouveau que ce qu'on a déjà vu.

  • Une touche de design (15'24) : Nous touchons de plein fouet ici le merchandising. Nous nous retrouvons chez Hasbro, l'usine qui produit ces chers transformers. L'occasion de mêler l'utile à l'agréable et surtout de se rappeler que l'Amérique fait avant tout dans le buisiness. Intérêt 0 - Promo 1000 !

  • T.J. Miller - Hippie fermier (19'43) : un sujet qui joue dans la dérision avec le personnage de lucas qui décide de remercier les principaux personnages du film y compris le réalisateur. Au bout de 7 minutes, franchement on s'ennuie et on ne voit pas vraiment l'intérêt d'un tel bonus, surtout que les protagonistes donnent aussi l'impression de s'ennuyer fermement.

  • On termine enfin par 4 bandes annonces en VO non sous-titrées.


  • Ces 3 heures de bonus ont le mérite d'exister avec comme point central un making-of richement fourni en images même si cela frise parfois l'indigestion... comme le film. Les commentaires reflètent parfaitement la richesse des dialogues de l'oeuvre, futiles et creux. Mais ne faisons pas trop la fine bouche, suffisamment de productions "oublient" la case bonus et il est légitime de rendre hommage à cet effort louable. De là à dire qu'on s'intéresse plus aux bonus qu'au film, le pas serait facile à franchir. Au final des bonus survitaminés qui devraient rassasier notre faim de pop-corn, quant au cerveau....


    Les Visuels : 0/1



    La pochette / Le packaging

    En toute logique Optimus Prime a les honneurs de l'affiche se débarrassant des humains ingrats et acteurs futiles qui jonchent le métrage. Au verso, la superposition des images s'équilibre plutôt bien avec le synopsis. On peut regretter les mentions techniques beaucoup moins visibles que le générique. Mais que dire de cette vignette code-barre qui vient se planter au beau milieu des visuels et détruit du coup tout le boulot. En ouvrant le boitier amaray bleu traditionnellement hideux et indigne d'un tel support, on retrouve sous les 4 galettes, le visuel d'un dinobot plutôt agréable. Mais l'ensemble manque cruellement d'attrait pour un produit à un tel prix.



    La sérigraphie

    Paramount continue son combat à distance avec Warner pour déterminer qui fera le packaging le moins apprécié des collectionneurs. Une fois de plus la firme marque des points avec ces 4 galettes d'un vide abyssal en terme d'imagination pour la sérigraphie, se contentant de planter une multitude de logos pour faire du remplissage. Navrant....


    Note Finale : (10.5/20)

    Commentaires concernant cette critique

    - le 06/01/2015 à 12:53 par kenshiro : Le placement produit existe depuis plus de 20 ans effectivement mais la ce sont des pubs intégrées dans le film. Déjà que le film est très BOF alors en plus il faut se taper des pubs...
    - le 04/01/2015 à 10:45 par montana62 : Le placement produit est une pratique de plus en plus courante, "Mad Men" est un exemple flagrant
    - le 02/01/2015 à 12:25 par kenshiro : un lien pour ceux qui veulent plus d'infos http://www.adsandtrends.com/transformers-4-placement-produit/
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