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DVD A LA LOUPE


MASSACRE à LA TRONçONNEUSE (2003) - COFFRET COLLECTOR TF1 / 2 DVD

Lui écrire Pinehad

Massacre à la tronçonneuse (2003) - Coffret collector TF1 / 2 DVD DVD sorti le 07/10/2004


Cliquez pour voir la jaquette en haute-définition

Editeur : Seven7 / Metropolitan Filmexport
Distributeur :
TF1 Vidéo

Date de sortie en salle : 21 janvier 2004
Nombre d'entrées : 220 000 env.

Durée du film : 1 h 45 min.

Achat du DVD : Comparer les prix avec le moteur

Nombre de visites :
2688


   

Le Film : 9/10

Résumé : En 1973, lors d'une perquisition à la ferme de Thomas Hewitt, ancien employé de l'abattoir de Travis County, au Texas, la police découvrait les restes de 33 êtres humains. Cette effroyable trouvaille mit en émoi la population locale. Arborant les grotesques masques de chair de ses victimes et brandissant une tronçonneuse, le tueur fut macabrement surnommé Leatherface. Les autorités locales abattirent un homme portant un masque de cuir, mettant ainsi fin à l'affaire, mais au cours des années suivantes, plusieurs personnes accusèrent la police d'avoir bâclé l'enquête et d'avoir tué un innocent en toute connaissance de cause. Pour la première fois, la seule victime ayant survécu au massacre brise le silence et raconte ce qui est vraiment arrivé cette nuit-là, sur une route déserte du Texas, à cinq personnes qui sans le savoir, roulaient vers leur pire cauchemar...

Avis : Lorsque, en 1974, sort sur les écran le film « Massacre à la tronçonneuse », le réalisateur Tobe Hooper était loin de se douter qu’il allait traumatiser toute une génération de spectateurs, rien que par la seule force de suggestion.
Très largement rentable (le film n’avait coûté que 250 000 dollars), les producteurs se hâtèrent d’exploiter au maximum le filon et 3 autres séquelles vinrent le jour.
Elles se caractérisèrent par d’énormes échecs commerciaux et, de ce fait, l’on croyait la série définitivement enterrée, surtout étant donné la piètre qualité du dernier opus (figurant parmi les 100 plus mauvais films jamais tournés sur le site internet Imdb).

Malgré tout, suite au succès colossal remporté par la trilogie « Le seigneur des anneaux », la New Line Cinéma rachète les droit d’exploitation de la série pour produire un remake, qui ne s’annonçait pas sous les meilleurs auspices….
Rien de plus périlleux et risqué que de refaire un film jamais inégalé en matière d’horreur, surtout quand l’on sait que cette reprise sera mise en scène par un réalisateur venu du clip (pour les Spice Girl notamment) et financé par Michael Bay (auteurs des nullissimes « Armaggeddon » et « Pearl Harbor »). De surcroît, les personnages principaux s’annoncent dans la plus grande veine des slashers vide de sens, à en juger par la disparition de l’handicapé Franklin.

Contre toute attente, ce remake Hollywoodien est une très bonne surprise. Même si, comme dans le film original, l’histoire peine un peu à s’installer durant la première demi-heure (malgré l’apparition suicide d’une jeune femme mystérieuse origianle), le scénario tient agréablement la route.
Le plus surprenant étant que Marcus Nispel (le réalisateur) reprend très peu de points de l’œuvre de 1974 pour conter une histoire un peu différente.

Les personnages ont totalement changé d’identité (nom, prénom), mais les plus grands changements ont été attribué à la famille de Leatherface. Le grand père mort-vivant parle et parait dynamique, le frère cuisinier est devenu sheriff et surtout, la présence de parents, de grands-parents et de frères, sœurs et même d’enfant, sans que cela ne nuise à l’histoire pour autant.

Les péripéties s’enchaînent à un rythme très soutenu et, malgré quelques scènes gores sanglantes, celles-ci sont très discrètes tout le long du métrage mais n’empêche pas le film de progresser intelligemment.

Sans égaler son prédécesseur, la mise en scène est très dynamique (effets de caméra vif) et emprunte certains plans au premier métrage. De plus, la photographie est une vraie réussite, assurant de grands (et séduisants) contrastes. Rien d’étonnant puisque cette fonction a été occupée par Daniel Pearl qui avait déjà démontré tout son talent dans le domaine sur l’ancienne version.

Une suite est d’ores et déjà en préparation, ce premier remake ayant ramassé 73 millions de dollars au box-office américain pour seulement 3 investit


L'Image : 3/3

Détails techniques : Format Vidéo : 16/9 - Ratio : 1.85 :1

Avis : Impeccable, l’image possède une très bonne définition. Les contrastes sont merveilleux, pas d’artefacts et le format cinéma est respecté. Aucun grain de visible, colométrie parfaite et séduisante. On distingue très bien la diversité des locaux et l’approche que la photographie en donne est simplement magique. Incroyable.


Le Son : 3/3

Détails techniques : Anglais Dolby Digital 5.1 EX - Français Dolby Digital 5.1 EX - Français DTS 5.1 (mi-débit) - Sous-titres : Français

Avis : New Line nous offre des pistes sonores dynamique à souhait. Les bruitages et la bande-son sont agressifs et spectaculaires, sans pour autant effacer la clarté des dialogues, retranscrit avec respect et conscience envers l’œuvre. Le plus spectaculaire étant lorsque la tronçonneuse se met en marche, véritable tonitruance pour les canaux et les oreilles. Spectaculaire.


L'Interactivité : 2.5/3

L'ergonomie des menus :
Interactivité en 16/9 sonorisé, exactement en concordance avec l’esprit du film. Les bonus sont répartis sur les 2 disques et entièrement sous-titré en français.


Les bonus :

Disque 1 :

  • 3 commentaires audio divisés en 3 parties (l’histoire, la production et la réalisation) où interviennent plus de 17 personnes, entre l’équipe technique et artistique. Les propos les plus intéressants sont tenus par Marcus Nispel et Michael Bay. On navique entres anecdotes et difficultés du tournage. Passionnant dans l’ensemble.

  • Disque 2 :

  • Making-of du film, très éloquent puisqu’il dure 76 minutes. On pourrait regretter trop d’interviews et pas assez d’images du tournage mais, suites aux commentaires présents dans le premier disque, la fabrication du film n’aura plus de secret pour vous.
  • Scènes (dé)coupées. D’un durée de 23 minutes, on découvre le début et la fin alternative du film ainsi que la version uncut (et donc plus gore) de la mort d’un des protagonistes
  • Galeries de dessins. Divisées en 2 sections comportant les croquis concernant les décors de la maison et, pour la seconde, les diffréents masques créer pour Leatherface.
  • 3 auditions : Jessica Biel, Eric Balfour et Erica Leerhsen. Courtes et pas indispensables.
  • « Ed Gein, le goule du Wiscousin ». En a peine 25 minutes, ce documentaire retrace de façon précise le parcours social et macabre de Eddy Gein, qui inspira le film.
  • Matériel promotionnel : regroupant spot TV, trailer officielle et bande-annonce d’autres productions New Line (dont « Leatherface : Massacre à la tronçonneuse III » et « Resident Evil : Apocalypse »)

  • Les Visuels : 1/1



    La pochette / Le packaging

    Très joli packaging, où ressort Leatherface sur un fond rouge sang. De belles couleurs sont utilisées ici et les photographies au recto de la jaquette ont été bien sélectionnées. A l’intérieur du boîtier a été glisser 8 photos collectors représentant diverses pièces à conviction sur l’enquête.

    [ Voir le Top Packaging pour ce DVD ]



    La sérigraphie

    Sans photos, jouant sur les tons orange, elles sont efficace et demeurent agréable à regarder.


    Note Finale : (18.5/20)

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