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DVD A LA LOUPE


KILL BILL VOL. 1 / KILL BILL VOL. 2 - COFFRET COLLECTOR / 4 DVD

Lui écrire Hotkiller

Kill Bill Vol. 1 / Kill Bill Vol. 2 - Coffret collector / 4 DVD DVD sorti le 25/11/2004


Cliquez pour voir la jaquette en haute-définition

Editeur : TF1 Vidéo
Distributeur :
TF1 Vidéo

Pour Kill Bill Vol. 2 :
Date de sortie en salle : 17 Mai 2004
Nombre d'entrées : 1 401 000 env.

Durée du film : 2 h 15min
Site Web du DVD : Cliquer ici
Acteurs: Uma Thurman

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Nombre de visites :
4223


   

Le Film : 9.5/10

Résumé "Kill Bill : Volume 1" : Après 4 ans de coma, une jeune femme qui avait été laissée pour morte lors de sa cérémonie de mariage, entreprend une longue et minutieuse quête afin de se venger d'une bande de tueurs internationaux dont elle fut membre auparavant. 5 personnes à retrouver, 5 personnes à tuer....leur chef : Bill.

Avis : On ne présente plus Quentin Tarantino tant le talent et l'imagination de ce réalisateur sont immenses. Ne dit-on pas ainsi le 4ème film de Tarentino plutôt que Kill Bill Vol 1 un peu à la manière de Fellini en son temps ? Donc, que vaut ce 4ème film de Tarentino ? Il semblerait que ce dernier ait encore repoussé plus loin les limites de son talent : Reservoir Dogs, Pulp Fiction, Jackie Brown étaient déjà des chefs d'oeuvre de films noirs. Kill Bill l'est tout autant à ceci près que Tarentino a su y rajouter de façon plus prononcée ses références personnelles au cinéma asiatique. Kill Bil est donc un polar, un western, un film de kung-fu... bref un film multi-facettes, multi-genre. Mais Tarentino va plus loin, parce que non seulement il s'inspire des meilleurs pour chacun de ces genres mais qui plus est, y apporte une touche personnelle qui transforme Kill Bil Vol. 1 en film hommage. Citons ainsi le passage à l'hôpital avec Elle Driver (interprétée par Darryl Hannah) monté comme un film d'Hitchcock/De Palma (dans les images et dans la musique), le passage en manga racontant l'histoire d'O-Ren-Ishii (géniale trouvaille puisqu'il raconte l'enfance violente d'une jeune sino-américano japonaise), le combat final, véritable hommage à tout le cinéma hong-kongais, sans oublier l'excellent film français de François Truffaut, "La mariée était en noir", pour le"quel Tarentino ne saurait renier la parenté...bref, autant de références, autant de morceaux de cinéma qui mis ensemble donnent un cocktail dédié au pur plaisir du spectateur.

Mais le talent de Tarentino ne s'arrête pas là : son scénario qui somme toute, tient sur un ticket de bus nous tient en haleine pendant quasiment 2 heures. Certainement parce que son montage est tout bonnement génial : à la manière de Pulp Fiction, les chapitres du film ne se suivent pas dans un ordre chronologique qui aurait donné une histoire linéaire. Flashbacks, coupures, ruptures de rythme et de tons donnent un montage destructuré du film rendant le mélange des genres, paradoxalement plus fluide. Le seul reproche peut être à faire, mais c'est un simple avis personnel concerne une scène du début du film où l'on voit la Mariée rayer le nom de Vernita Green sur sa liste de personnes à éliminer. Le plan nous permet également de voir que le nom de O-Ren-Ishii est déjà rayé alors que celle-ci ne mourra qu'à la fin du film. Un peu dommage car le spectateur sait déjà ce qui va se passer dans l'heure et demie de film qui reste.
Quentin Tarentino est donc véritablement un grand réalisateur, mais tout cela ne serait rien si par-dessus il ne savait pas raconter une histoire : la thématique de la vengeance a maintes et maintes fois été portée à l'écran. Mais le 4ème film de Tarentino donne au genre un coup de balai phénoménal. D'une part dans la profondeur des personnages : chacun d'entre eux a sa propre histoire, chacun d'eux est détaillé et le rôle de chacun est parfaitement expliqué quant à ses rapports avec la Mariée qui reste le personnage central de l'histoire. Cette même Mariée dont on ne connaît pas le nom. Certes son ancien nom de tueuse à gages était Black Mamba mais son véritable état civil reste inconnu du spectateur et ne sera révélé que dans le Kill Bill Vol. 2. Alors elle est tour à tour "Arlene Machiavelli" pour les flics du Texas, "Jane X" pour l'infirmier pervers, "la guerrière aux cheveux d'or" pour l'homme d'Okinawa et les seules fois où son nom est prononcé, la bande son est intelligemment "bippée" comme si la prononciation de ce nom serait une des clés de l'histoire.

La musique de Kill Bill Vol. 1, comme dans tous les autres films de Tarentino, fait partie intégrante de l'histoire. Comme à l'accoutumée, les morceaux choisis par le réalisateur peuvent parfois surprendre (musique du "Frelon Vert" par ex.), mais ils servent véritablement l'image, se mettent au service du scénario, le mettent en valeur. Citons ainsi la belle et douce musique du passage où la Mariée découvre l'exposition de sabres d'Hattori Henzo : comme un chant lyrique la musique renforce cette inmpression de découverte d'un sanctuaire par la Mariée : elle est dans le Temple, la Cathédrale, les images et la musique semblant en totale harmonie. Citons également la musique façon Morricone également belle et douce qui se met en contraste avec les images manga d'une grande violence décrivant la mort des parents d'O-Ren-Ishii : la mise en valeur du scénario provient alors de cette opposition radicale de ce que le spectateur voit et de ce qui l'entend. Citons enfin la musique du combat final entre O-Ren-Ishii et la Mariée : le choix de Don't Let me Be Misunderstood rend le combat encore plus jubilatoire et la trouvaille provient du décalage entre une musique très ryhtmée et les gestes des combattantes peu nombreux mais d'une précision mortelle. Là aussi le choix du réalisateur révèle son immense talent artistique.

Quelques mots pour finir sur le jeu des acteurs : actrice fétiche et emblêmatique de Tarentino, Uma Thurman signe ici une véritable performance : en effet, son personnage est double : il y a toute une partie intellectuelle et toute une partie purement physique. Ces deux traits du personnage sont parfaitement interprétés. Pour les autres le talent est également présent, mais plus fort encore est certainement le choix du casting par Tarantino. Il fallait oser rappeler un acteur comme David Carradine (perdu dans le cinéma de seconde zone depuis son rôle de Kwaï Chang Caine dans la série Kung-Fu) pour interpréter Bill. Il fallait oser pour mettre un bandeau sur l'oeil de Darryl Hannah, cassant ainsi son image de poupée blonde et gentillette dont elle n'a jamais véritablement pu se défaire depuis le Splash de Ron Howard. A ce titre rappelons que les deux plus grands rôles de cette actrice talentueuse restent "Pris" dans Blade Runner et donc "Elle Driver" dans Kill Bill Vol. 1, Ridley Scott et Tarentino ayant compris que ce visage d'ange était parfait pour interpréter des rôles de tueurs froids et sanguinaires. Belle performance également de Lucy Liu qui depuis Payback est parfaite dans les rôles de dominatrice impitoyable. Enfin, Kill Bill ne serait rien sans les autres personnages dits secondaires mais qui portent véritablement le scénario : l'homme d'Okinawa, Gogo Yubari... sont autant de personnages parfaitement interprétés et qui pour Tarantino sont l'aboutissement de rêves de gosses qui par exemple avait toujours voulu tourner avec Sonny Chiba depuis qu'il l'avait découvert sur une chaîne japonaise du cable dans les années 70.

Kill Bill Vol.1 est donc un grand, très grand film : avec peu de choses sur le papier, Tarentino signe un film techniquement très abouti (le mouvement de la SteadyCam dans le restaurant japonais est un véritable plan de folie), subtilement monté et magnifiquement interprété. A voir, à revoir encore et encore, sans modération.


Résumé "Kill Bill : Volume 2" : La Mariée continue sa quête de vengeance : après Vernita Green et O-Ren-Ishii, ils ne sont plus que deux sur sa liste avant la confrontation ultime et la matérialisation de toute sa haine : Bill.

Avis : Second volet de cette vengeance initiée dans Kill Bill Vol. 1, ce film de Quentin Tarantino se situe dans la lignée du premier opus à la fois de par le talent de son auteur que de par la surprise que constitue le visionnage de ce film. En effet le réalisateur a eu l'intelligence de ne pas vouloir calquer son intrigue et sa façon de la raconter sur le modèle précédent. Exit donc les combats d'arts martiaux pourtant si visuels, exit les effusions de sang et le saucissonnage en règle des "méchants de service". Mais Kill Bill Vol.2 n'en est pas moins un film violent et noir à souhait. Le discours de Tarentino a changé, il se veut plus intimiste, il donne plus de profondeur à son récit tout en livrant de-ci de-là les détails clés de tout ce qui peut justifier la rage de son héroïne.

La maîtrise de la caméra et de la narration par contre n'ont pas changé : c'est un vrai régal. Comme pour Kill Bill Vol. 1 ou Pulp Fiction le montage du film n'est pas chronologique. Le réalisateur s'autorise plusieurs flashbacks en marge de l'histoire de vengeance. Ainsi en est-il de la cérémonie de mariage en pellicule noir et blanc dès le début du film. Histoire de recadrer son propos Tarentino nous propose une très belle scène explicitant la nature des rapports entre la Mariée et Bill. Scène douce et amicale mais qui laisse planer le doute, comme si un sombre nuage tâchait le soleil du ciel texan, symbolique des intentions de Bill à l'égard de celle qu'il va bientôt perdre. Même la Mariée lui pose alors cette angoissante question : "Are you gonna be nice ?" ("Tu vas êtree sage ?"). L'impact de la folie meurtrière qui va s'en suivre n'en est que plus grand aux yeux du spectateur permettant du même coup à Tarantino de légitimer le combat de son héroïne et les massacres perpétrés dans Kill Bil Vol. 1.
Autre scène de flashback importante, celle nous montrant le cheminement tant physique que spirituel de la Mariée lorsque celle-ci rejoint le vieux maître Paï Mei pour être initiée aux techniques de combat. Cette scène est capitale pour la compréhension du film parce qu'en préambule elle nous montre l'origine de la particularité de la relation La Mariée/Bill. Ainsi, selon Bill, c'est l'étape par laquelle chacune de ses employées doit naturellement passer. L'étape qui permettra de passer d'élève à disciple et, dans le cas qui nous intéresse, à celui de future épouse. Sorte de chemin initiatique, il se transformera parfois en chemin de croix pour notre Mariée revancharde et là encore Tarantino légitime la violence dont elle fera preuve par la suite.
C'est en cela que l'on peut dire que Kill Bill Vol. 2 est un film noir, très noir, tout simplement parce que son personnage principal se détache de son environnement, "survole" le monde qui l'entoure, à la recherche d'un absolu, la vengeance servant simplement de moteur à l'accomplissement de soi.

Mais Kill Bill Vol. 2 c'est aussi un film jouissif, inventif et distrayant s'inscrivant en continuité de l'épisode précédent pour donner à l'oeuvre dans sa globalité le look d'un gigantesque jeu video de 4 heures. Comment ne pas faire le parrallèle avec les jeux de plateau que nous avons tous connus au café du coin type "Wonderboy" ou "Sonic". La Mariée élimine ses ennemis au fur et à mesure pour arriver jusqu'au boss final, vous savez, celui qui vous fera procéder au "next stage". Sauf qu'avec Tarantino, les étapes bonus ou les épreuves sont parfaitement amenées et riches en rebondissements. Ainsi Tarentino qui avait bien ménagé son effet nous livre-t-il enfin le vrai nom de "Jane X", transformant une Mariée sanguinaire en Beatrix Kiddo à la recherche de sa fille. Trait de génie du père Quentin, car en révélant à la fois le nom et la fibre maternelle de son personnage, il la rend humaine, mortelle et beaucoup plus concrête que dans le premier épisode. Et tout naturellement Beatrix emporte le capital sympathie du spectateur. Sympathie d'autant plus accrue que les épreuves qui l'attendent sont nombreuses et intenses. Citons ainsi la fameuse scène ou Beatrix se retrouve pieds et mains liés dans un cercueil, "six feet under" : la camera de Tarantino et le parfait montage rendent cette scène terrible et oppressante au possible. Le tout est orchestré savamment avec une bande son qui mixe à la fois les hurlements étouffés de l'héroïne et le bruit des pelletées de terre qui vont recouvrir petit à petit le cercueil. Citons enfin et surtout le combat de Beatrix avec son éternelle rivale et ancienne égérie de Bill : Elle Driver. Tarentino cède pour notre plus grand bonheur à ses anciens démons et met en boîte un combat entre deux guerrières d'une technicité époustouflante. A la manière du combat avec Vernita Green qui se déroulait dans une cuisine, ce dernier se situe dans un univers clos, une caravane : le confinement du lieu accentue la tension dramatique de cet affrontement et Beatrix renfile sa robe de Mariée froide et vengeresse : il n'y a plus de place pour la demi-mesure, la mère de famille redevient la tueuse obstinée et froide.

Le décor est alors planté pour "The" affrontement final, le pourquoi du titre des deux films : la rencontre avec Bill. Intelligemment Tarentino prend son spectateur à contre-pied celui-ci étant bien incapable de deviner à l'avance l'issue de cette rencontre. Passé les moments de tendresse d'une mère qui retouve enfin sa fille, le réalisateur prend (trop?) le temps de détailler l'intensité des rapports unissant ces deux personnages. Et c'est tant mieux car il ménage son suspense et ce qui nous intéresse finalement n'est pas de savoir qui des deux vaincra l'autre mais surtout quelle sera la voie de l'heroïne à la personnalité duale, sorte de Dr Jekyll & Hyde : Beatrix ou la Mariée ?

Quelques mots enfin sur les deux films envisagés dans leur globalité : on a parfois reproché à Kill Bill Vol.2 d'être moins débridé et moins visuel que le premier opus : moins de combats plus de dialogues. Certes, mais si l'on raisonne comme une seule et même oeuvre, Kill Bill devient alors un film riche : riche du point de vue du montage, riche du point de vue de la technique cinématographique, riche du point de vue de la narration avec pourtant au départ un scénario ultra classique et minimaliste. Transformer le banal en quelque chose de nouveau et unique est peut-être synonyme de grande réusite. Pas de doute là-dessus, "l'oeuvre" Kill Bill en est une.


L'Image : 3/3

Détails techniques : Format video : 16/9 - Ratio : 2.35:1

Avis : Les deux films proposent un télécinéma véritablement splendide. Fidèle à la reproduction en salles, l'image présente des couleurs lumineuses et des contrastes très marqués. Le grain est présent sur certains plans, mais juste ce qu'il faut. Aucune trace sur les masters utilisés pour la confection des 2 films : les copies utilisées sont tout simplement remarquables.


Le Son : 3/3

Détails techniques : DTS en français et en anglais (mi-débit) - DD 5.1 en français et en anglais - Sous-titres : français

Avis : DTS VO ou VF, voilà au moins deux DVD qui laissent le libre choix au spectateur. Les deux films présentent une bande son uniforme. La qualité que nous avions pu trouver sur l'édition du mois de juin 2004 du Vol.1 est également au rendez-vous pour le vol. 2. Dans le cadre de cette loupe seules les VO ont été regardées : la piste DTS est légèrement supérieure à la 5.1 classique présentant à la fois un son légèrement plus précis et un mixage dialogue/musique plus harmonieux et enveloppant. Le caisson de basse n'est pas oublié et, sans s'allumer trop souvent, le fait toujours à point nommé. Bref, une bande son qui déménage sur le Vol. 1 et qui sait rendre la pertinence des athmosphères dans le Vol. 2. Rien à redire. A noter qu'il existe également un sous-titrage à l'attention des sourds et malentendants.


L'Interactivité : 1.5/3

L'ergonomie des menus :
L'ergonomie des menus : Les 2 DVD sont introduits par la musique du "Frelon vert" durant le rappel des messages légaux.
Pour le Vol. 1 la couleur dominante est le jaune. Changement de ton pour le Vol. 2 qui mélange de façon harmonieuse le rouge et le noir. Menus présentés en format 16/9 et fond sonore en 5.1. Belles animations sur les menus des 2 films (combat en ombre chinoise pour le 1, coeur qui bat pour le 2). Les transitions pour les deux films sont très soignées et les chapitres sont présentés de façon identique : il suffit de sélectionner l'une des vignettes à gauche, celle-ci apparaît au centre de l'écran, avec un titre et les dialogues de la scène sonorisent la présentation. Le tout est bien fait, bien présenté et d'une ergonomie dès plus simples.


Les bonus :

Pour ne pas altérer la qualité de l'image et du son les bonus ont été regroupés sur un second DVD pour les 2 films.

Kill Bill Vol. 1 :

  • Making of : 20 mn en 4/3 peu intéressantes (sorte de featurette commerciale un peu rallongée). Seule anecdote intéressante, l'histoire de la sélection du groupe rock'n'roll 5,6,7,8's. Très moyen au final
  • Le concert des 5,6,7,8's : 4 mn de chanson rock'n'roll tournées comme un clip : inintéressant.
  • Bandes annonces : celle de KB Vol.1 et KB Vol.2
  • Galerie de photos : 20 photos de tournage à faire défiler sans fonds sonore.


  • Kill Bill Vol. 2 :

  • Le groupe Shingon en concert (11mn, 4/3) : le groupe de Robert Rodriguez en concert dans un bar qui reprend le thème musical de Desperado. Ininteressant même si Tarentino est présent.
  • Scène inédite : une scène importante où l'on voit Bill se défaire de plusieurs adversaires (sabre ou mains nues) superbement mis en scène et détail important, cette scène nous fait comprendre la "cristallisation" amoureuse de La Mariée à l'égard de Bil...
  • Making of (25mn - 4/3) : reportage sur le tournage du film avec des interviews des acteurs. Dommage c'est un peu court.
  • Galerie de photos : 20 photos de tournage à faire défiler sans fonds sonore.

  • A noter sur les bonus des 2 films, le même bonus caché qui présente la fabrication des menus des DVD

    Il est vraiment dommage que les bonus de ces 2 films n'aient pas été plus soignés. Bonus peu intéressants, d'une pertinence très moyenne (à part la scène indédite du Vol. 2), les raisons marketing et commerciales ont encore une fois été plus fortes que les raisons artistiques.....no comment !



    [ Voir les Bonus Cachés pour ce DVD ]

    Les Visuels : 1/1



    La pochette / Le packaging

    Ce box regroupant les deux films est certainement l'un des plus gros de la zone 2. De forme rectangulaire, les couleurs très tranchées sont soignées et présentent une belle qualité de fabrication. Le contenu est très riche avec des photos, un ouvrage d'une centaine de pages richement illustré, les CD des 2 BO des films...Un coffret hors norme, pour une oeuvre qui ne l'est pas moins. Joli hommage.

    [ Voir le Top Packaging pour ce DVD ]



    La sérigraphie

    TF1 n'a pas repris les serigraphies du vol.1 pour cette édition : les 4 films présentés dans le digipack sont alignés pour former une tâche de sang sur fond noir. Simple mais efficace. Le tout donne un aspect sobre au digipack qui lui est plutôt fourni en images. On notera que les CD des BO sont également sérigraphiés.


    Note Finale : (18/20)

    Commentaires concernant cette critique

    - le 01/12/2004 à 10:47 par McFLy : Ravis pas le film, je dirais les 2 films, la coupure esntre les 2 etants interessantes, mais par contre TRES decus par le coffret sur son fond, il aurait fallut plus de making of,etc ... quand a la forme, c est vrai qu il est bÔ ce coffret, masi le bout de mousse a l interieur ca fait cheap ;-(
    - le 30/11/2004 à 18:40 par Akasha : Waow, ça c'est une loupe ..! Bravo Hotkiller, je rejoins l'avis de dam51...
    - le 30/11/2004 à 09:01 par dam51 : Chapeau bas Hotkiller! Une critique pertinente, détaillée, passionnante et passionnée. Continue encore et encore à nous transmettre ta passion du cinéma...
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