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DVD A LA LOUPE


KING KONG (1933) - EDITION COLLECTOR / 2 DVD

Lui écrire Hotkiller

King Kong (1933) - Edition collector / 2 DVD DVD sorti le 02/11/2005


Cliquez pour voir la jaquette en haute-définition

Editeur : Editions Montparnasse
Distributeur :
MGM

Année de sortie en salle : 1933

Durée du film : 1h 35 min


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Nombre de visites :
2194


   

Le Film : 10/10

Résumé : Un cinéaste amateur de films sensationnels recrute une jeune comédienne pour tourner un film dans une île perdue. Arrivés sur Skull Island, la jeune femme, capturée par une tribu indigène est offerte en sacrifice au monstre le plus effroyable de la forêt : un gorille gigantesque baptisé Kong...

Avis : Que dire de ce film à inscrire au panthéon des chefs d'oeuvre de l'art cinématographique ? Qu'il fut créé et monté pour impressionner et terroriser son spectateur comme jamais auparavant ? Qu'il fut un film précurseur, en avance sur son temps au delà de toute attente ? Qu'il fut le premier film à jeter les bases d'un nouveau genre ? Qu'il fut en quelque sorte le "grand-père" de tout ce qui de près ou de loin allait par la suite être baptisé "film d'aventures" ? Peut-être que King-Kong est certaineemnt un peu de tout celà, impressionnant patchwork d'un art ascendant (les premiers films parlants étaient apparus quelques années auparavant) et aboutissement de la maîtrise des effets spéciaux d'une époque. Mais King-Kong fut aussi et surtout l'histoire d'une aventure, celle de deux hommes, Merian C. Cooper et Ernest B. Schoedsak (à la fois eux-mêmes aventuriers et réalisateurs de documentaires) qui, avec un film budgété à l'époque à 1.761.000 dollars (une somme quand on pense que l'Amérique était en pleine "Depression") permirent à la RKO d'éviter la banqueroute. La passion commune de ces deux hommes pour la nature, les continents sauvages mais aussi la chasse nous avait offert en 1932 "The most dangerous game" (en français "Les chasses du Comte Zaroff"), film assez effrayant en soi où un comte retiré dans une île s'adonnait au sport le plus motivant qui soit : la chasse....à l'homme ! Nul doute que Cooper et Schoedsak garderont certains éléments de ce film (une île retirée, la jungle mystérieuse...) pour créer ce qui deviendra un an plus tard, le chef d'oeuvre de leur vie : King-Kong.

King-Kong, dont le succès ne s'est jamais démenti jusqu'à aujourd'hui (il est une référence pour des personnes comme Joe Dante, Ray Harryhausen ou bien sur Peter Jackson) est un film multi-facettes. En effet, il est d'abord et avant tout un "film de monstres". Il s'agissait en 1933 de la toute première incursion du cinéma "moderne" dans ce genre de films (hormis "Le Monde Perdu", film muet de 1925), genre qui connaîtra son apogée dans les années 50 (l'ère de l'atome y est certainement pour quelque chose) avec des apparitions d'insectes fous furieux, de monstres gigantesques se livrant entre eux à des combats titanesques, ou pire, s'en prenant à l'humanité, avec presque toujours en arrière-plan la dénonciation des errements et des dérives du progrès scientifique moderne. King-Kong ne dispose pas d'un tel discours moralisateur, tout du moins dans sa première partie, car le parti pris des co-réalisateurs est avant tout de purement et simplement effrayer leurs spectateurs. Il est aisé d'imaginer le choc que fut ce film lorsque ces derniers découvrirent pour la première fois à l'écran un monstre colossal hurlant et mangeant des êtres humains, broyant des constructions édifiées par l'Homme, disloquant et piétinant des corps. Mais, pour insufler une telle terreur, il ne suffisait pas de se contenter de quelques plans sur le monstre. Là où King-Kong se fait diablement novateur pour l'époque c'est dans sa gestion simple et parfaite du suspense : après 30 minutes de film qui furent qualifiées par certains de "navrantes" (il est vrai que ce ne sont pas les meilleures du métrage), la scène de révélation du gorille géant est un modèle parfait de montée en puissance de la tension dramatique de l'histoire. A partir du moment où l'heroïne Ann Darrow est enlevée par la tribu locale pour être offerte en sacrifice, la tension nerveuse, savamment orchestrée ne lache plus le spectateur : maltraitée, attachée, elle est offerte à la Peur, à l'Horreur absolue qui terrorise la tribu. Les grondements se font soudain plus sourds, les arbres bougent, craquent et s'affalent, les membres de la tribu se réfugient sur le mur d'enceinte quand soudain Ann Darrow pousse un hurlement encore gravé dans nos mémoires et en un magique instant, alors que les spectateurs du Chinese Theatre d'Hollywood, du Radio City Hall ou du Roxy de New-York (avec chacun plus de 6.000 places) bondissaient sur leur siège ce soir du 24 mars 1933, King-Kong passait alors du statut de simple promenade exotique à celui de film d'horreur, cette scène devenant l'une des plus mythiques de toute l'histoire du Cinéma.

Dès lors que le personnage central nous est présentés, Cooper et Schoedsak ont à coeur de ne plus relâcher l'attention tout autant que la tension de leur spectateur. Pour celà la poursuite éperdue du reste de l'équipage est prétexte à mettre en valeur leur imagination débridée : dinosaure aquatique, brontosaure carnivore (sic !) jusqu'à la fameuse scène du tronc d'arbre (Kong fait pivoter sur lui-même un énorme tronc d'arbre couché au-dessus d'un ravin et sur lequel est bloquée une partie de l'équipage) qui procure assez d'effroi si l'on imagine le sort de ces hommes précipités tels de ridicules brindilles dans un ravin sans fond parsemé de lianes. Cette scène servit d'ailleurs à l'origine de prélude pour une scène horrifique où les survivants de la chute dans le ravin se voyaient assaillis et dévorés par diverses bestioles démesurées (araignée, crabes), mais il semblerait que Cooper ait décidé de la couper lors du montage définitif, cette scène ayant eu un effet des plus désastreux (sensation de dégoût jusqu'au vomissement) lors de sa première visualisation par une audience. A l'heure actuelle il ne reste plus qu'une photo de cette scène représentant une araignée, photo qui servit notamment à Peter Jackson qui, en fan inconditionnel, entrepris à partir de ce bout d'image de reconstituer minutieusement, tant avec les matériels qu'avec les techniques de l'époque ce que cette séquence, définitivement perdue, aurait pu être (un bonus exclusif que vous pouvez retrouver sur l'édition Z1 du film - vo non stf).
Tandis que Kong nous apparaît depuis le début du film comme un monstre gigantesque et sanguinaire, le scénario se décide alors petit à petit à humaniser la Bête, notamment lors de la fameuse scène du combat avec le T-Rex. Comment effectivement ne pas s'identifier à Kong lorsqu'il défend Ann Darrow contre l'attaque du grand dinosaure ? Pour la première fois, dans l'esprit du spectateur germe l'idée que peut-être notre "grand velu" ne serait pas animé des pires intentions à l'égard de la jolie blonde. Pour autant, Cooper et Schoedsak ne délaissent pas le côté horrifique de leur film lors de ce combat (avec les gros plans de fin sur la gueule dégoulinante de sang du T-Rex) pour le conclure non sans un certain humour tandis que Kong s'amuse avec la mâchoire démantibulée de son ennemi.

Cette scène sert donc d'introduction à une seconde facette du film maintes et maintes fois commentée : King-Kong serait une version modernisée de la merveilleuse histoire de Jeanne Leprince de Beaumont : la Belle et la Bête. Sans doute, mais à l'inverse des deux remakes de 1976 et de 2005 l'aspect romance impossible de cette histoire est assez peu développé dans le King-Kong de 1933. En effet, dans le conte original, la Bête, laide, mais très éprise, à force de bonté saura gagner le coeur de la Belle qui rompra ainsi le charme. Dans le King-Kong de 1933 l'éventualité d'une réciprocité des sentiments n'est jamais suggérée, Ann Darrow passant plus de temps à hurler à la vision de la Bête qu'à essayer de la comprendre. De ce rapport amoureux bancal, le scénario en tire une sorte de poésie naïve notamment dans la scène censurée à l'époque de "l'éffeuillage" des vêtements d'Ann Darrow par le grand singe (que Guillermin reprendra à son propre compte en 1976 en faisant passer Jessica Lange sous une cascade d'eau). Outre l'érotisme à peine caché de cette scène, celle-ci est importante, car elle est la première qui inspire de la compassion au spectateur : la délicatesse et la curiosité de King-Kong s'opposent aux hurlements presque déplacés de l'héroïne, la tendresse du géant contrastant fortement avec la panique exacerbée d'Ann Darrow. Cette scène est également importante car elle fixe définitivement le caractère du personnage de Kong : il n'est et ne sera pas le "villain" (au sens DC comics du terme) du film. Il n'est pas la Bête sanguinaire que son aspect physique inspire. Tout au contraire et rejoignant en celà un thème éculé au cinéma depuis lors ("la beauté n'existe que dans l'oeil de celui qui la regarde" ou "il n'y a de vrai beauté que celle qui est intérieure") le rôle du "bad guy" va incomber au producteur du film Carl Denham qui voit en la possibilité de capturer le gorille géant une opportunité de faire fortune en ramenant le singe à New-York.
La capture de King-Kong est précédée d'une scène absolument dantesque : Jake Driscoll qui a réussi à la faveur d'un combat entre Kong et un ptérodactyle à libérer Ann Darrow se réfugie dans le village des indigènes derrière le mur d'enceinte. C'est alors que se pose l'une des plus angoissantes questions dans toute l'histoire du 7ème art jamais vraiment résolue à ce jour : pourquoi les indigènes ont-ils construit un mur aussi haut en pierre pour se protéger et en même temps fabriqué une foutue porte en bois encore plus haute que Kong lui-même ? Le film ne nous apporte heureusement pas de réponse et cette erreur de scénario (parmi tant d'autres) participe activement au charme suranné du métrage. Qu'importe, ivre de rage, King-Kong anéantit le village, piétine ou dévore certains de ses habitants avant de chuter au sol, vaincu par un puissant anesthésique. C'est l'heure du final pour notre grand singe, qui, ramené à New-York (le scénario ne nous dira jamais comment) est exposé au regard avide des new-yorkais sous le sobriquet de 8ème merveille du monde.

Cette troisième et dernière partie du film est peut-être la plus moralisatrice : en effet, l'incarnation de la Nature à l'état brut se trouve directement confrontée à la civilisation, au merchandising et au commerce. Sans forcément intellectualiser le film à outrance (King-Kong est et demeure avant tout un film de divertissement), il est intéressant de percevoir le message des deux réalisateurs pour qui, à priori, la Nature est par essence même incompatible avec la très matérialiste notion de profit. Dès lors, il ne pouvait y avoir d'autre fin que celle de la Tragédie, tragédie organisée méthodiquement par le scénario en reprenant les deux facettes du film décrites précédemment : l'horreur d'abord parce que bien évidemment voir Kong déambuler dans New-York, stopper un métro... ajoute une dimension émotionelle beaucoup plus forte (parce que concrête et familière à l'oeil du spectateur) que le simple fait de le voir vaincre un animal préhistorique dans une jungle inconnue. La poésie également, parce que Kong est à la recherche de sa Belle et que son sacrifice final est le prix à payer pour un Amour irraisonné et impossible. "C'est la Belle qui a tué la Bête" déclare Carl Denham au pied de la dépouille de Kong. Pas sûr...

Pour pleinement conclure cette approche de King-Kong (merci déjà à ceux qui auront tenu jusque là !), nul doute que le succès international du film tient en grande partie à l'extaordinaire réussite de ses effets spéciaux. Aux commandes, un certain Willis O'Brien qui mit au point la technique du "stop-motion picture" et permit à King-Kong de prendre vie. Rongé par une démarche à la fois technique et artistique, il est véritablement l'artisan qui donne au grand singe ses traits de caractères, au point que les quelques gros plans de son visage (réalisés de façon traditionnelle) sont au final moins expressifs que l'animation image par image. Enfin, il serait également injuste de ne pas rendre hommage à la composition musicale de Max Steiner : il créé une partition enveloppante et rythmée en totale adéquation avec les images du film : selon les spécialistes ce fut d'ailleurs la première bande originale dédiée à un film, tout ce qui avait pu être fait auparavant ne servant que de fond sonore à des images animées.

Voilà, King-Kong est un peu tout celà à la fois, se trouvant au confluent de multiples talents, mais aussi à l'origine du cinéma d'horreur moderne. C'est un film "patrimonial", chargé d'Histoire et d'anecdotes (le hurlement d'Ann Darrow, repris d'ailleurs dans la suite "Le fils de Kong" fut réalisé à partir d'un rugissement de tigre et d'un aboiement de chien, le tout mixé à l'envers; la porte dans le mur d'enceinte trouve son explication dans le fait que ce mur provenait d'un autre film de la RKO, "Le roi des Rois" et qu'il représentait la muraille de Jérusalem...qui malheureusement était percée d'un trou béant...) qui, malgré un succès démesuré outre-atlantique (le film fut rentabilisé en quelques jours) subit les affres de la censure française tandis que les critiques de l'époque le qualifiaient de "conte puéril". Bien sur le film n'est pas exempt de défauts : on pourrait gloser sans fin sur la présentation stéréotypée limite raciste de la tribu indigène de Skull Island ; on pourrait arguer éternellement de l'aspect macho, voire mysogine de certains dialogues. Mais au-delà de tout ça, il n'en demeure pas moins que plus de 70 ans plus tard le charme agit toujours et que s'il y avait une leçon à retenir, celle-ci se trouve peut-être dans les dix dernières minutes du film : de manière ironique, ce que la nature humaine a achevé de plus grand et ce que la Nature tout court a également achevé de plus grand devaient se rencontrer et King-Kong se hisse au sommet de l'Empire State Building ; la technologie moderne aura raison de lui mais son ultime hurlement rageur fera longtemps écho aux dérives d'un monde civilisé régi par un mammifère qui aurait de moins en moins tendance à le rester.

PS : un grand merci à IKKAR pour les informations qu'il a pu me communiquer dans le cadre de la rédaction de ce DVD à la loupe.;-)


L'Image : 2.5/3

Détails techniques : Format video : 4/3 - Ratio : 1.33:1

Avis : L'image de ce DVD a été incontestablement très bien nettoyée. On remarquera peu de tâches ou de scories tout le long du métrage. Mais malheureusement, lisser une image, en gommer le grain pour en enlever les plus grands défauts a l'incontestable inconvénient de rendre l'image beaucoup plus plate, enlevant un peu de profondeur de contraste et rendant les arrière-plans un peu flous. Néanmoins le travail de restauration est là et pour ma part, je n'avais jamais vu ce film avec une telle qualité.


Le Son : 2/3

Détails techniques : Dolby Digital 5.1 en français et en anglais - Dolby Digital 2.0 (dual mono) en français et en anglais - Sous-titres : français

Avis : Le remixage des vieux films n'est pas ma tasse de thé, préférant de loin un bon vieux mono bien nettoyé. Dans le cas présent le remixage en VO n'apporte pas grand chose (les arrières s'allument rarement) et au contraire m'a paru plus aïgu que le mono d'origine d'où une légère tendance à saturer (scènes new-yorkaises notamment). Pour la VF (attention le film en VF est situé sur le second DVD baptisé "compléments"), le décalage entre les deux versions est encore pire avec des effets accentués par rapport à la VO véritablement superflus. Vous m'avez compris : le film s'apprécie vraiment en mono d'origine et là-dessus pas de soucis la bande sonore est très propre. Il est à noter que les sous-titres peuvent être supprimés.


L'Interactivité : 2.5/3

L'ergonomie des menus :
La présentation du film est assez triste : l'écran est dominé par des couleurs rouge et noire. Pas de transition entre les menus et le chapitrage est présenté sous forme de vignettes fixes. On se croirait revenu à quelques années en arrière d'un point de vue édition de dvd.


Les bonus :

Cette édition collector est présentée sur deux galettes. Sur le DVD n°1 :

  • Le fils de Kong : c'est l'incontestable bonus de cette édition française puisque les Editions Montparnasse nous propose la suite de King-Kong qui, surfant sur le succès du premier film, fut tournée un an plus tard en 1934. Même binôme (Schoedsak à la réalisation et Cooper à la production), même scénariste, mêmes comédiens (pour les personnages de Carl Denham et Englehorn, le capitaine du bateau) et toujours O'Brien aux effets spéciaux. Malheureusement ce film n'a pas du tout la même verve que son aîné. L'action met beaucoup de temps à démarrer et le résultat donne un film à la fois médiocre et mièvre : médiocre parce que l'intrigue est assez tenue tandis que les combats d'animaux sont moins élaborés que dans le précédent opus; mièvre parce que l'animation de Baby Kong (le singe mesure 3,50m) le fait plus ressembler à un héros de cartoon qu'au fils du roi de Skull Island. Bref, c'est un film largement dispensable mais il est toujours intéressant de constater que déjà à cette époque Hollywood avait du mal à fabriquer des sequels qui tiennent la route. La qualité d'image est très bonne (meilleure que celle de King-Kong) et le son est un dual mono en VOST uniquement.


  • Sur le disque n°2 :
  • King-Kong en VF : cette version française est une version amputée de 10 minutes (85mn contre 95mn pour le film présenté en VO)
  • Entretien avec Joe Dante : une vingtaine de minutes en compagnie de Joe Dante (le réalisateur notamment de Gremlins) qui nous décrit son amour du film, mais aussi bon nombre d'anecdotes.
  • Entretien avec Ray Harryhausen : le "Dieu" des effets spéciaux qui nous fit rêver avec sa bataille de squelettes dans Jason et les Argonautes revient sur la façon dont King-Kong l'a beaucoup influencé dans sa façon de travailler et sa carrière en général.
  • Une fable cinématographique : d'une voix un peu monocorde à la Patrick Brion, une professeur de cinéma dresse une critique intéressante du film pendant 20 minutes.
  • Avant/après la restauration : un peu plus de 3 minutes montrant les différences avant/après sur des scènes identiques. On appréciera ainsi encore plus la qualité du travail effectué, tant il est vrai que les masters originaux étaient sévèrement abîmés.
  • Bande annonce : bande annonce américaine du film sous-titrée en français.


  • Incontestablement les Editions Montparnasse nous livrent un DVD à la hauteur de ce monument qu'est King-Kong. La qualité de la restauration est indéniable et l'on regrettera peut-être la brieveté des bonus au regard de ce que ce film a apporté au cinéma moderne. Néanmoins, l'appellation de collector n'est pas usurpée.


    Les Visuels : 1/1



    La pochette / Le packaging

    Il s'agit d'un très beau digipack en trois volets figurant au recto des images d'affiches du film en noir et blanc ainsi qu'une photo d'Ann Darrow et de Jake Driscoll tandis que l'intérieur blanc cassé est décoré avec des dessins de la Bête. On trouvera à l'intérieur dans un rabat un très joli livret cartonné d'une vingtaine de pages reprenant des affiches mais surtout des dessins de production absolument magnifiques.

    [ Voir le Top Packaging pour ce DVD ]



    La sérigraphie

    Les serigraphies reprennent les dessins du fond du digipack avec une très belle qualité de définition, des logos et des mentions légales relativement discrets. Seul point négatif : le rond central de la galette comportant le film en VO est placé au niveau du visage de Kong ce qui gâche un peu le rendu général.

    [ Voir le Top Sérigraphie pour ce DVD ]


    Note Finale : (18/20)

    Commentaires concernant cette critique

    - le 24/01/2006 à 14:11 par Niko06 : Ça alors c'est incroyable ces commentaires!!! Maintenant si l'imdb dit qu'un film mérite 8/10 nous on doit s'y accorder?? Laissez-moi rire... où est l'intérêt de donner son avis dans ce cas? À machin qui dit qu'on doit se conformer aux sondages, je réponds que corinne touzet a été élue plus belle femme du monde lors d'un sondage TF1... bel exemple non? Une critique doit refléter son sentiment devant une oeuvre, son sentiment personnel!!! @hotkiller, même si je ne suis pas toujours de ton avis sur tel ou tel film (normal, non?) je te reconnais néanmoins la qualité de nous faire partager tes émotions et ta connaissance, si certains se sentent si malins ils n'ont qu'à faire une critique eux-mêmes... mais c'est tellement plus facile de cracher sur le boulot des autres. Bref, hotkiller merci, machin ça doit pas être facile de vivre ta vie et king kong t'es un dieu tu mérite bien 10/10!!!
    - le 23/01/2006 à 17:01 par Alexis : Eh les gars on se calme. Un débat Ok mais ne pas laisser avoir chacun ses opinions pas ok. Bref on reste poli (on s'en fou de qui a commencé : on croirait entredre les histoires que me raconte ma femme le soir après sa journée de classe en CP) et merci de continuer à poster des avis divergeants. Néanmoins chaque "loupeur" est libre de sa note artistique. Il n'y a pas de bareme et tout l'intéret est d'avoir des critiques bien argumenté qui sont le reflet de la note. A lire l'avis artistique et l'ensemble des arguments : c'est logique d'avoir au final à 10/10. Heureusement que tout le monde ne donne pas la meme note qu'IMDB... Toujours est il qu'il y a 2 critiques sur ce film et 2 fois un 10/10 pour l'avis artistique. Amis du 7/10 pour ce film : merci de poster vos critiques.
    - le 23/01/2006 à 09:52 par chu : Eh ben... Perso, j'ai rien de plus à dire sur cette magnifique critique que ce que j'en ai déjà dit. Je tiens juste à souligner ma différence de perception artistique avec hotkiller (pour une fois...). Alors bon. De là à partir en vrille... Que ceux qui ont un avis différent fassent une critique du film. Non ?
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