DVD & Blu RayJeux de sociétéJeux VideoLes blogs
Tous DVD Blu-ray

Compte DVDpasCherien
login

 | Inscription | Mot de passe ?

DVD A LA LOUPE


BATTLE ROYALE + BATTLE ROYALE 2 - EDITION 2005

Lui écrire ninnin4

Battle royale + Battle royale 2 - Edition 2005 DVD sorti le 02/11/2005


Cliquez pour voir la jaquette en haute-définition

Editeur : Fravidis
Distributeur :
Fravidis


Achat du DVD : Comparer les prix avec le moteur

Nombre de visites :
1257


   

Le Film : 9.5/10

Résumé : Alors que le pays frôle le chaos, le gouvernement japonais lance une nouvelle loi: chaque année, une classe est envoyée sur une île déserte. La règle est simple, au bout des trois jours une seule personne doit rester vivante.

Avis : En ces temps de folie furieuse de la violence juvénile à l’école comme dans les zones difficiles, en ces temps de terrorisme et d’idéologie néfaste pour l’avenir de l’humanité, en ces temps de télévision catho-merdique où les émissions de TV pseudo réalité finissent de lessiver le cerveau de bien d’autres que les ménagères de plus de 50 ans auxquelles elles étaient soit disant destinées, il est difficile de ne pas voir en « Battle Royale » un chef d’œuvre de lucidité sur les dérives putrides de notre monde en déclin et les moyens de plus en plus extrêmes et démagogiques que certains hommes politiques essayent de mettre en place pour karcheriser la racaille.

Il est clair que ce film a fait figure de précurseur à sa sortie en 1999 et c’est ce qui peut être expliquerait son insuccès public mais réussite critique et cinéphilique dés ses premières heures. L’Europe ne connaissait pas encore les « Loft Story » ou « Star Academy » pour les plus soft, ni les « koh Lantah » pour les plus hard. Le jeunisme au cinéma faisait (et fait encore) bonne figure et est un passage obligé pour toute réussite publico crétine. Mais nous fut dégoupillé en pleine gueule la bombe « Battle royale » bijou d’anarchisme et hurlant son antisocialité au monde entier.
Ce film explore tout d’abord la cellule familiale basique et décrit dans le même temps son éclatement : un des parents absent, le chômage, la dépression, l’abandon et le suicide, le libre arbitre laissé aux jeunes et la toute puissance que la société leur laisse en les protégeant et en leur trouvant des excuses psycho sociologique à leurs dérives physiques et idéologiques. Est démontré aussi devant nos yeux notre incommunicabilité même entre nos proches entraînant ainsi une incompréhension intergénérationnelle. Mais il ne bloque pas ceci à cet état de fait et la déclaration d’amour d’un père à sa fille à la fin du film est là pour nous montrer que tout est possible même si c’est des fois trop tard. Foule de rapports humains se télescopent ici comme pour mieux argumenter la véracité de son propos. Le réalisateur montre aux yeux de tous que chacun, quelque soit l’âge est responsable de ses actes, que chacun de nos petits jeux mesquins à l’adolescence par exemple (brimades, insultes, bagarres) illustre notre vrai état d’âme et que ceux-ci peuvent littéralement exploser dans des situations dramatiques, ici imposer par un ‘jeu’ funeste et macabre. Les dernières informations nationales sont là pour illustrer son propos : une enseignante poignardée par un élève de première, pire encore, une autre assaillie de coup de poing par un de sixième !!!!! Les évènements de novembre illustre aussi fort bien ceci et que dire du procès d’Outreau où la parole des enfants a été entendue comme sainte et a entraîner le malheur de plusieurs familles !? Je pense que ce brillant réalisateur a voulu montrer à son public que dans quelques situation qu’on soit, la vie reste un combat de tous les jours et que le retour à des valeurs anciennes (le respect notamment) est indispensable pour acquérir une certaine sagesse et profiter ainsi des expériences de nos aïeux.
L’illustration de cette jeunesse défaillante est je trouve des plus réussies et des plus visionnaires aussi. L’insouciance de la politique a contribué à l’enlèvement de ces jeunes et à leur mise en place sur cette île où ils devront se massacrer entre eux jusqu’au dernier. Le metteur en scène essaye de dresser un portrait d’eux le plus impartial possible en dévoilant bien sûr leur côté obscur et tout ce qu’ils sont capables de faire pour arriver à leurs fins mais aussi tout ce qui fait leur beauté et leur force : leur amour immodéré et parfois irréfléchi, l’entraide dont il font preuve dans certains cas et leur force vitale qui est le garant de l’avenir du monde si elle est suffisamment canalisée. La version longue est d’ailleurs là pour amplifier ceci car en rajoutant de nombreuses scènes de la vie quotidienne, elle permet un surcroît paradoxal d’humanité face à cette hyper violence. Fukasaku évite les clichés en instaurant des personnages diversifiés et qui ne répondent pas forcément à leur image. Ainsi, les plus teigneux ne sont pas forcément ceux qui le montrent le plus dans la ‘vraie vie’ et montre que chacun est capable du pire pour sauver sa peau.
Enfin, ce film est une attaque contre notre monde télévisuel et comme dans « Gladiator » notre soif de jeux les plus violents possibles rappelant ainsi la Rome décadente. S’il est vrai que cette critique des masses média n’apparaît qu’en scène d’introduction avec l’affolement journalistique qui entoure le retour victorieux de la seule survivante du dernier BR, j’ai quand même eu le sentiment d’assister à un Loft Story hard et trash, avec cette façon d’éliminer les plus faible où ceux qui gênent tout en ayant un côté voyeur comme seule la télé réalité a su le faire. Tout le film n’en est pas moins filmé comme un jeu video auquel nous aimons tant nous adonner. Le côté survival, le décompte des morts, l’organisation même du jeu où toutes les possibilités scénaristiques sont exploitées….tout concours à donner cette impression.

Il paraît tout aussi important de parler de a forme du film tant elle est aussi extrême que le fond. Il est impressionnant de voir comment un vieux monsieur, figure légendaire du cinéma asiatique des années 60-70, largement inspirateur de Tarantino lui-même qui ira jusqu’à lui piquer une des héroïnes de BR pour son Kill Bill, a su conserver une énergie créatrice et une nervosité de l’action. Je ne me vanterai pas de connaître sa filmographie vu que mes connaissances ne se limitent qu’à l’existence de nom de film récemment édité chez WildSide. En tout cas, c’est tout simplement grandiose. D’une part, il ne nous épargne rien sur le plan viscéral : sang qui gicle, meurtres, tortures variées, membres arrachées, têtes décapitées, explosion à coup de grenades ou de barres de fer….le tout sans aucune censure. Refus total d’aseptisation !!!!! La maîtrise de la caméra est tout simplement bluffante et sais se renouveler tout au long du film : angles soignés, cadrages judicieux, montage nerveux sans briser la linéarité de ce qui se passe à l’écran…on frise le brio absolu digne d’un Kubrick ! Je ne vous citerai en exemple que les scènes de gunfights, époustouflantes qui, pour vous donner un ordre d’idée seraient un mélange explosif du style John Woo et de celui de Tsui Hark (quand il le fait bien…sur « Time and Tide » par exemple). A ce titre, la scène finale au milieu des flammes font preuve du génie pur.
On regrettera peut être une structure en flash back propre à ce Director’s cut qui a tendance à casser un peu le rythme en milieu de visionnage mais qui paradoxalement augmente la structure dramatique car les personnages s’en trouvent plus étoffés, ces rappels du temps passé les montrant dans leur vie quotidienne, au milieu de leurs forces et de leurs faiblesses.
Les décors (quasiment tous naturels) sont grandioses et donnent un côté fantastique sans toutefois l’être vraiment, beaucoup d’éléments scénaristiques nous rappellent que cette tragédie pourrait très bien se dérouler à l’heure où j’écris ces lignes. Les acteurs se révèlent aussi très bon. Bien qu’apparemment tous des novices en la matières, ils sont su donner corps à leurs personnages et je ne parlerai pas de l’immense, le génialissime, l’unique Takeshi Kitano qui sous son masque impassible réussit en l’espace d’un simple regard à vous émouvoir et d’un coup à devenir un monstre inquiétant, un bourreau impitoyable et sans cœur.
Le mot de la fin sera pour la musique, largement composée de morceaux de classique et qui transcende l’image par sa superbe et l’émotion qu’elle dégage.

Ce film n’est donc pas à mettre entre toutes les mains (les yeux devrais-je plutôt dire). Il certes excellemment réalisé et est un pur film d’action mais les idées qu’il véhicule ne seront pas au goût de tout le monde et surtout l’intransigeance de réalisateur vis-à-vis de la violence et du scénario pourront rebuter plus d’une âme sensible qui passeront alors à côté d’un très grand film que je rangerai, si vous me le permettez, aux côtés d’ « Orange Mécanique », « Old Boy » ou encore « Irréversible ». Pour ma part, je retiendrai comme morale que les moyens répressifs les plus extrêmes ne sont pas là pour éradiquer le mal mais au contraire l’éliminer. Mais là, ça se discute alors n’hésitez pas à laisser votre commentaire.


Résumé : Deux ans se sont écoulés depuis "Battle Royale", un jeu de la mort organisé par le gouvernement japonais pour mater une jeunesse de plus en plus turbulente. Aujourd'hui, la situation est plus grave encore car un groupe terroriste constitué de mineurs, les Wild Seven, multiplie les attentats. Une seule solution : Battle Royale II.

Avis :  »Battle Royale II » est une suite directe du premier opus. Pour ce direct to video (du moins chez nous en France), il était facile de sombrer dans la surenchère en se servant des éléments qui firent le succès du film précédemment critiqué. Pourtant, le réalisateur a su éviter bien des écueils innérants à ce genre de production en y insufflant une vision nouvelle et d’autres problèmes de société tout aussi majeurs que la violence juvénile.

Ce nouveau phénomène de société est tout ce qu’il y a de plus actuel et la (formidable) scène d’introduction fait directement référence au symbole de cette nouvelle lutte armée : le terrorisme et l’attaque du World Trade Center ! C’est de l’attaque terroriste perpétrée par les deux survivants du précédent Battle royale que va découler un scénario totalement barge tout en étant réaliste, futuriste tout en restant incroyablement ancré dans le présent, cyberpunk tout en illustrant de façon crédible la jeunesse désoeuvré (pauvre ou riche) qui vit dans nos lycées. Cette attaque, horrible, cela va sans dire, sera le point de départ pour un nouveau ‘jeu’ de Battle royale avec des règles modifiées tout en en gardant l’esprit originel et dont le but final est l’éradication des meneurs du groupe des Wild Seven. La force du scénario sur ce point là sera de nous faire croire qu’on recommence la même expérience alors que le script s’orientera vers tout autre chose même si des éléments communs subsistent tel que l’élimination, des combats armés, les colliers de surveillances, les zones à éviter, etc… Ici, le but est quand même beaucoup moins vain même si les moyens mis en œuvre et la finalité (on utilise de force les ‘parasites sociaux’ qui nous encombrent pour tuer son ennemi) restent tout aussi horribles.
Ce que j’ai surtout adoré dans ce film, c’est l’attaque directe de l’interventionnisme américain, à l’origine, selon le réalisateur (et moi-même par la même occasion, histoire d’être un peu égocentrique) de cette vague de guérilla à travers le monde. Les éléments présents dans le film sont on ne peut plus clairs : énoncé des plus de vingt pays qui ont subi une intervention plus ou moins directe des USA et où depuis des attentats ont lieu régulièrement, décision de l’état découlant directement d’une menace de bombardement des Etats-Unis (‘nous devon combattre pour la liberté avec cette nation amie’), plaidoyer d’un japonais sur l’humiliation que subit son pays par les States depuis la fin de la guerre, etc…
Plusieurs éléments sont là pour rappeler que notre monde contemporain et plongé dans un univers militaire toujours plus marqué. Ici, plusieurs scènes rappellent « Il faut sauver le Soldat Ryan » et d’autres ces jeux vidéos hyper réalistes avec parachutages de caisses de munitions qu’il faut retrouver et dont certaines peuvent renfermées quelques surprises. Mais en contradiction, il y a aussi une magnification des ces terroristes qui sont capables, eux, de se sacrifier alors que ces militaires contre qui ils se battent ne le font que comme des ‘robots’. C’est un cri d’amour pour tous les peuples en résistance, inégaux dans leurs chances de vaincre, sans espoir mais avec une volonté tellement plus grande…. Il n’y a qu’à voir la beauté des images de l’Afghanistan, ce peuple souriant malgré toutes les exactions commises par les soldats américains et la volonté qu’on lit même dans les yeux des enfants de vouloir survivre et de rebâtir quelque chose. Enfin, je considère ce film comme une ode à l’enfance innocente qui ne l’est jamais (‘C’est dans la vie qu’il y a la réponse’) et le refus total de ghettoïsation des enfants à problèmes

Parlons maintenant de la mise en scène. Celle-ci oscille toujours entra douceur et violence encore plus exacerbée et plus directe de la part des militaires. On notera quand même que celle-ci moins réussie que dans le premier opus. Les scènes de paniques, nettement moins convaincantes en sont un très bel exemple. Et même les scènes qui devaient illustraient les moments tendres, sont des scènes de sport hyper violents à l’école prouvant ainsi que celle-ci est quotidienne.
Cette mise en scène est peut être moins soignée aussi car l’utilisation de la caméra à l’épaule est plus importante et dans des moments cruciaux (débarquement sur l’île). Il ne faut pas oublier non plus que le réalisateur, Kinji Fukasaku est décédé pendant le tournage et que c’est son fils Kenta qui a repris les rennes de la mise en scène. Quoiqu’il en soit, il ne faut pads blâmer non plus un ensemble fort honorable. Il y a bien quelques longueurs en milieu de métrage mais je peux vous assurer que vous en aurez pour vos yeux. Les jeunes acteurs sont tous aussi formidables et celui du ‘maître ce cérémonie’, sans toutefois égaler Takeshi Kitano car plus caricatural vous procurera quelques frissons dans le dos. Un dernier petit mot sur la musique : elle est toujours aussi géniale dans sa beauté et son anachronisme avec ce qui e passe à l’écran.


Sans toutefois égaler le premier « Battle Royale », cette suite, sortie directement en video malgré le succès critique du précédent, n’en démérite pas moins. En évitant les écueils que rencontrent habituellement les séquelles, Fukasaku nous offre un nouveau visage de la barbarie moderne en la présence du terrorisme. Plus politique alors que le premier était plus psychologique et social, ce film s’attaque ouvertement à la ‘démocratie américaine’ et sa volonté de gouverner le monde. On regrettera que cette œuvre, un petit moins aboutie formellement (la faute au décès du metteur en scène sur le tournage ??) n’aille des fois pas jusqu’à enfoncer le clou dans sa dénonciation des dérives qu’elle tente de faire comprendre. Il n’en demeure pas moins une œuvre spectaculairement violente et originale qui veut délivrer le message suivant : Eradiquer la violence par la violence ne fait qu’engendrer la violence….Avis à nos chers politiques !


L'Image : 2.5/3

Détails techniques : Format Video : 16/9 – Ratio : 1.85 :1

Avis : Pour le premier film : nette amélioration de la qualité de la compression par rapport à la précédente édition. En effet, le fait d’avoir bazardé les bonus sur une deuxième galette a libéré de la place. Néanmoins, il manque encore d’un peu de détail dans certains plans de nuit américaine et il reste quelques scories ça et là. Changement de couche peu optimal mais bien placé. Pour BR II : rendu parfait tant au niveau colorimétrie que pour une compression pourtant bien mise à mal par de nombreuses scènes réputées difficiles à encoder. Beau travail !


Le Son : 2.5/3

Détails techniques : Dolby Digital 5.1 en français et japonais, DTS en japonais sur BR I– Sous Titres : anglais et français

Avis : Sur BR I : véritable furie sonore : la spatialisation est exemplaire et la dynamique sonore parfaite. La piste DTS est encore supérieure bien sûr mais la choisir serait vous priver d’un excellent doublage est la chose est suffisamment rare pour être appréciée. Quant au deuxième film, c’est tout aussi tonitruant avec un petit plus pour la VO. On regrettera l’absence de DTS sur la Vf qui aurait amené un petit surcroît de dynamique à un ensemble fort correct surtout en terme de spatialisation.


L'Interactivité : 3/3

L'ergonomie des menus :
Sur le premier film : la navigation est nettement plus aisée que sur la précédente édition où il fallait participer à un jeu pour accéder aux bonus. Les pages de menus sont en 16/9ème et sont sonorisés avec un des thèmes militaires du film. Lisibilité excellente en reprenant la cartographie électronique de l’île. Le deuxième film est ornementé un peu de la même façon, la carte en moins. La lisibilité des titres et la navigation (avec d’excellentes transitions) est bonne mais le patchwork d’images du films animées n’est pas du plus bel effet.


Les bonus :

Disque 1 :

  • Bandes annonces des 2 films
  • Quelques morceaux choisis du deuxième film
  • Inutile et pompeux documentaire sur l’avant première de BRII où l’on apprend que tous les acteurs ont vomi (super), que pour certains le meilleur moment de la journée était le petit déjeuner…et bien pire encore


  • Disque 2 :
  • Règles du jeu et extraits juridiques de la loi, reprend en fait la présentation du jeu par la jeune hystérique déjà présente dans le film. Les extraits de la loi sont manuscrits.
  • Participants. C’est la présentation (très) synthétique de chaque personnage et de l’arme en leur possession.
  • Copieux making of de 50’
  • Making-of de la version longue
  • Effets spéciaux
  • Extraits des répétitions
  • Enregistrement de la Bande originale.
  • Anniversaire du réalisateur. Il reprend l’idée de présentation du jeu (avec d’ailleurs la même présentatrice) et vous indique comment préparer le birthday du réal et y insère des extraits du tournage illustrant ainsi l’ambiance qui régnait sur le plateau ce jour là.
  • Notes écrites de Takeshi Kitano : une interview plutôt consensuelle qui encense le réalisateur.
  • Filmo et notes du réalisateur
  • Interviews entre réalisateur et producteur
  • Prologue
  • Ouf….voici un disque de bonus copieux et intéressant ! Disque 3 :
  • Filmographie de Kinji Fukasaku
  • Très court making-of
  • Bandes annonces
  • Disque 4:
  • Essai en salle d’audition
  • Anecdotes de tournage
  • La succession
  • En souvenir du réalisateur
  • Scènes coupées
  • 2 Bandes annonces du film
  • Documentaire promotionnel
  • Avant première
  • Une édition importante de par son nombre de bonus et par un packaging magnifique.


    Les Visuels : 1/1



    La pochette / Le packaging

    Magnifique digipack 4 volets avec surétui cartonné très bien confectionné, noir mat où se détachent en relief en en écriture argenté les titres et le logo de la loi Battle Royale. Le dispositif d’attache des disques (l’un sur l’autre) est original et fort bien pensé, d’apparence solide. A la première ouverture du boîtier, apparaissent les deux affiches originales des films. Le contenu des dvd est au verso de celles-ci et se retrouvent donc face aux galettes fort bien sérigraphiées.

    [ Voir le Top Packaging pour ce DVD ]



    La sérigraphie

    Celles-ci en effet comprennent toutes le rond central et évitent la surcharge insupportable de logos. Elles complètent le fond du digipack et donnent ainsi un bel ensemble cohérent en reprenant les thèmes principaux des affiches des films qu’elles contiennent. Il s’agit donc là, à la fois par son contenu informatif, la qualité de ses films et se beauté parfaite d’une édition indispensable d’amateurs de beaux objets et des fans du (des) film(s)

    [ Voir le Top Sérigraphie pour ce DVD ]


    Note Finale : (18.5/20)

    Commentaires concernant cette critique

    - le 22/02/2006 à 12:22 par ninnin4 : Comlme quoi des accords peuvent différer d'une personne à l'autre. Fan de films asiatiques je peux me vanter avoir vu un certain nombre de films d'extrème orient tant en Vf qu'en Vo et j'ai vraiment trouvé que ce doublage était un des meilleurs qu'il m'ait été donné d'entendre.
    - le 22/02/2006 à 09:03 par Riton : Comment peut-on trouver le doublage de BR1 d'excellente qualité ??? Pour ma part je l'ai trouvé absolument calamiteux, il a même failli me dégouté du film lors de la 2ème vision (la première a été en VO). Il ne faut jamais regarder un film asiatique en VF. Sinon tant mieux pour l'absence de piste DTS en VF, l'image et moins compréssé comme ça.

    si vous souhaitez poster un commentaire : connectez-vous


    Achat du DVD :

    Retour à la fiche de l'éditeur de ce DVD

    Aller plus loin

    Nous contacter
    Signaler un bug
    Partenariat | Affiliation
    Souscrire aux fils RSS
    Facebook-Rejoignez nous

    DVDpasCher.net Tous droits réservés © 1998-2013