CRITIQUE DVD

Bienvenue au Far West pour ce retour aux sources d’ « Une nuit en enfer », le western a bien été choisi pour faire une pré quelle, ce qui veut dire que ce dernier opus de la trilogie se déroule avant le premier.
Le film est dirigé par un spécialiste des westerns, donc ce coté du film est réussi, cela donne une histoire passionnante. Au niveau du gore et de l’horreur on voit de grands efforts et un beau travail mais il faut dire que c’est le plus récent des trois films et il a été créé en 2000.
Deux styles qui nous offrent une belle aventure, même deux en parallèle qui forcément se rejoignent et des frissons dus à de superbes effets spéciaux. Le tout se marie très bien et donne un bon divertissement qui reste dans la lignée des deux autres opus mais en intérêt celui-ci relève le niveau du second auquel il manquait quelques ingrédients mais sans toutefois arriver au niveau du premier qui bénéficiait d’une plus belle distribution.
La fin nous éclaire sur la suite des événements qui se dérouleront dans « Une nuit en enfer » en particulier sur un détail. De plus, il ne faut pas hésiter à pousser jusqu’au delà du générique de fin.

L’image est sans défaut au niveau de la propreté de la pellicule, les couleurs sont belles mais le rouge est très dominant dans les nombreuses scènes d’extérieur, à la limite gênant ce soleil rouge ou est-ce une vision vampirique ? Ca s’arrange une fois la nuit tombée.

Les versions originales et françaises sont toutes deux en DD 5.1 ce qui donne pour ces deux bandes son un réalisme dans les actions grâce aux effets sonores rendus par toutes les enceintes. Notons la présence de sous-titres français pour les sourds et malentendants.

Un très joli pré menu pour ensuite découvrir un menu principal très bien décoré. Ce menu propose six filmographies mais aussi le film annonce doublé en français et neuf pages à lire en français sur des notes de production sur la trilogie, on y apprend beaucoup de choses.

Tout le packaging est axé sur la série « Un maxx de frissons » d’où une jaquette réduite pour l’affiche du film et une sérigraphie toute violette.

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