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Titre
:
Over the top : Bras de fer
Version :
Française
Auteur de la critique :
romanticolor
Date de la critique :
02/09/2007
Cette critique a été
visitée
1725 fois.
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Editeur : MGM Année de sortie au cinéma : 1987 Date de sortie du DVD : 20/07/2004 Durée du film : 90 minutes Acteurs: Sylvester Stallone
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Résumé :
Élève dans une académie militaire, le jeune Michael a vécu une enfance gâtée entre son grand-père richissime, Jason, et sa mère Christina. Son père, Lincoln Hawk, dont il n’a pas de nouvelles depuis des années, parcourt les États-Unis au volant de son camion. Christina, gravement malade, souhaite, avant de mourir, organiser une rencontre entre le fils et le père. Elle demande donc à Lincoln de passer prendre Michael à son école et de le conduire chez elle, à Los Angeles...
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Avis
Artistique |
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Avis
sur le film : |
(4.5/10) |
Le problème de Stallone, c’est soit un chef d’œuvre (comme par exemple sont dernier Rocky) soit un gros nanar et celui-ci en est un beau, l’histoire en elle-même est belle avec ce père voulant reconquérir son fils, mais on verse trop dans le pathos.
Ce qui dessert le film, c’est bien entendu, la passion de Lincoln Hawk, tellement spéciale que ça en devient risible, c’est… le bras de fer et tout tourne autour de ce « sport », il apprend à son fils qu’il faut devenir fort, qu’il faut toujours se battre et qu’il deviendra le champion, on assiste donc à ses entraînements dans le cockpit de son camion, une main sur le volant et une autre sur un filet tirant un poids et cela en forçant bien et balançant son corps, ce qui est très sécurisant pour un routier qui parcours les routes.
Ce père, rejeté par son beau-père se bat pour avoir la garde de son fils qui l’appel « monsieur » au tout début pour ensuite ne plus se quitter, la musique et les évènements font en sorte de vouloir nous faire pleurer tous le long du film, ce qui en devient navrant.
La dernière partie du film verse dans un grand moment anthologique et nanar avec le championnat mondial de « bras de fer », avec des phrases toutes faites « Lorsque je tourne ma casquette, je suis quelqu’un d’autre comme cette machine » ou encore « Je serais premier, second c’est pour les cons ».
Un film à voir au second degré !
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