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Titre
:
King Kong
Version :
Française
Auteur de la critique :
DVDpasCher
Date de la critique :
20/11/2007
Cette critique a été
visitée
57 fois.
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Editeur : Universal Pictures Video Année de sortie au cinéma : 2005 Date de sortie du DVD : 01/08/2006 Durée du film : 180 minutes Acteurs: Naomi Watts
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Résumé :
Carl Denham, un cinéaste en quête de notoriété, emmène son équipe tourner un film sur Skull Island où, dit-on, les indigènes adorent une puissance mystérieuse. Une aventure romantique entre la bête, capturée dans la jungle et amenée à la ville où elle va affronter son tragique destin, la belle Ann Darrow, jeune actrice de vaudeville au chômage, et Jack Driscoll, un scénariste new yorkais dont le coeur et le courage vont être mis l'épreuve...
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Avis
Artistique |
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Avis
sur le film : |
(4.5/10) |
King Kong promettait d’être un grand spectacle. Jackson nourrissait l’espoir d’en faire un remake depuis fort longtemps et au vu de sa trilogie du Seigneur des anneaux (dont une savoureuse réplique de Kiss Kiss Bang Bang résume bien le trouble du spectateur vis-à-vis de la fin…), je m’attendais au meilleur de chez meilleur. Résultat des courses : un bide. Pour moi s’entend. D’abord, le film est interminable avec une exposition des acteurs qui frise le foutage de gueule et une fin précipitée que je saurais résumer en 10 lignes.
→ Un réalisateur en mal de célébrité et d’aventures n’a plus un penny pour finir son film
→ ce réalisateur arnaque la prod (et accessoirement le maire de Colorado Springs) et file en douce continuer à bousiller de la péloche suite à une carte mystérieuse indiquant une île non moins mystérieuse
→ Bingo, malgré un équipage peu enclin à le satisfaire, il trouve l’île et son nouveau sujet
→ Bingo (bis) un gros singe et des sauvages s’ennuient et jouent le jeu
→ La blonde se perd, on la retrouve (bing, bang) et on ramène le singe en ville (Jurassik Park a tout pompé)
→ on l’expose au théâtre ( !) et le réal retrouve la notoriété
→ la bête s’emporte et casse tout, fait du patinage et de l’escalade au milieux des n’avions
→ la bête est descendue et la blonde pleure 5 minutes
→ le réal à le mot de la fin qui fait rudement plaisir
→ faut bien sûr rajouter les T-rex, les raptors, la grande cité et un voyage en bateau insoutenable de longueur.
Voilà, cinq minutes pour écrire tout ça alors que Jackson massacre l’original de 1933 en trois heures. Les SFX ont bon dos toutefois et nous offre un Kong sublime, jouant bien mieux que les acteurs eux-mêmes.
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