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Titre
:
La rue rouge - Edition collector
Version :
Française
Auteur de la critique :
Laurent T.
Date de la critique :
14/08/2008
Cette critique a été
visitée
132 fois.
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Editeur : Carlotta Films Année de sortie au cinéma : 1945 Date de sortie du DVD : 04/06/2008 Durée du film : 98 minutes
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Résumé :
Caissier d'âge mûr, marié à une femme acariâtre, Christopher Cross est un peintre amateur talentueux. Il s'éprend un jour de Kitty, une fille de moeurs faciles. Avec la complicité de Johnny, son amant de coeur, Kitty persuade Christopher de l'installer dans un appartement somptueux où il pourra peindre son portrait. Bien qu'il doive détourner de l'argent de sa société pour entretenir luxueusement Kitty, Christopher se sent enfin heureux. Johnny se fait passer pour l'auteur des tableaux de Christopher, qui rencontrent un succès critique. Découvrant Kitty dans les bras de Johnny, Christopher comprend qu'il a été dupé...
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Avis
Technique |
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Avis
sur l'image : |
(2.5/3) |
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Avis
sur le son : |
(2.5/3) |
Si l'on dénote quelques petites griffures verticales à la dixième minute du film, la restauration effectuée par Carlotta est de tout premier ordre et nous permet de (re)découvrir le film de Fritz Lang dans sa plus belle copie à ce jour !
Noirs très profonds, luminosité accrue des blancs et visages détaillés, le master de La Rue Rouge étonne par sa définition exemplaire.
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VO et VF Mono 1.0 d'origine, rien de tel pour épater les puristes !
Malgré quelques petits craquements au début du film, on ne peut que se délecter de l'excellente tenue sonore du long-métrage, tant les dialogues ne souffrent pas et son très clairs, pareil pour la musique qui est dotée d'une dynamique fort efficace. Du très bon boulot !
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Avis
sur les bonus & l'interactivité : |
(2/3) |
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Avis
sur les visuels : |
(1/1) |
Même si les bonus ne sont pas nombreux, on reviendra sur le documentaire intitulée "La trivialité stylisée". Pendant 26 minutes, Serge Chauvin, spécialiste du cinéma de Lang, analyse le film de fond en comble, le comparant bien sur avec La Chienne de Renoir, film dont le cinéaste allemand s'est inspiré. Passionnant et passionné, Chauvin captive le cinéphile et n'est pas avare en anecdotes, ce qui rend son exposé encore plus riche et intéressant.
Ensuite, nous trouverons un petit module de 3 minutes sur la restauration (avant/après) ainsi que la bande-annonce du film en mauvais état (l'éditeur s'en excuse via un carton).
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Boîtier amaray glissé dans un fourreau, ce qui est habituel chez l'éditeur. La sérigraphie reprend le visuel de la jaquette et se révèle fort bien aérée, présentant des mentions légales assez discrètes.
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