Deux après, en 1992, Kevin se retrouve tout seul à New-York, on constatera d’ailleurs qu’à notre époque, une telle mésaventure serait absolument impossible avec les techniques de contrôle actuel et de sécurité.
Le premier film, très réussi n’appelait pas forcément une suite, mais au vu de l’immense succès à sa sortie, il a été vite décidé d’en faire une suite avec les mêmes acteurs (contrairement au troisième film) mais forcé de constater que le réalisateur ne s’est pas tellement foulé, il en a fait une photocopie, avec tous ses ingrédients.
A savoir, le coup de la cassette vidéo, le coup de la maison piégé (avec des pièges plus sadiques et violent, dans la réalité ils seraient mort dix fois), la personne marginale auquel Kevin se lie d’amitié, mis à part cela, ce qui change c’est uniquement le lieu, il n’est plus à la maison mais à New-York, dans le premier tout était crédible, là c’est un peu difficile de se dire qu’un enfant de 10 ans, ne cherche même pas à contacter ses parents par téléphone ou prévenir la police que ses parents sont en floride.
Cette suite est convenable malgré sa facilité et son manque d’originalité, on passe un bon moment.
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