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Titre
:
Le grand Sam
Version :
Française
Auteur de la critique :
montana62
Date de la critique :
12/08/2009
Cette critique a été
visitée
738 fois.
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Editeur : 20th Century Fox Année de sortie au cinéma : 1960 Date de sortie du DVD : 28/05/2003 Durée du film : 122 minutes
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Résumé :
A Nome, sur le Détroit de Behring, au fin fond de l'Alaska, il y avait, à la fin du siècle dernier, de l'or et des aventuriers. Parmi ceuxci, Sam McCord et les frères Pratt, George et Billy, avaient eu la chance de découvrir un filon et la fortune. De quoi nourrir une femme par exemple, se dit George qui décide d'envoyer Sam en mission très spéciale à Seattle. Il s'agit d'aller y quérir la 'fiancée' française de George, rencontrée et aimée trois ans plus tôt. Pendant ce temps, le futur heureux époux construira, avec son frère, la maison du bonheur. Sam retrouve la fiancée, mais mariée...
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Avis
Artistique |
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Avis
sur le film : |
(7/10) |
Henri Hathaway nous propose un western inclassable avec ce grand sam, qui tire nettement plus vers la comédie voir une parodie.
La mission de ce cher sam, à savoir récupérer la fiancé de son meilleur ami pour qu’ils se marient, tourne au fiasco et permet la rencontre de Ange une française, qui va pour le moins faire tourner la tête à ce macho invétéré, au point de remettre en question sa vision sur les femmes.
Ce film très léger alterne les bagarres titanesques avec des scènes de comédie, scènes qui sont parfois poussées à l’extrême comme celle du barman où son chapeau se soulève à chaque coup qu’il reçoit. Pour les puristes, la réalisation dénote forcément sur la filmographie du réalisateur et d’un des ses acteurs fétiches, les dialogues ne volent pas bien haut, et pourtant la bonne humeur communicative rend ce métrage sympathique avec des acteurs qui ont l’air de s’être bien s’amusés pendant le tournage.
John Wayne affiche toujours les valeurs du cow boy bagarreur mais qui offre sa tournée après, cependant il nous gratifie d’une scène extraordinairement comique, cette fameuse scène où il devient fou de jalousie en entendant capucine rire aux éclats avec son ami. Ce passage à lui tout seul mérite de visionner ce que l’on pourrait appeler une « sucrerie ».
Capucine notre française classieuse, essaye tant bien que mal d’attirer l’attention, idem pour Stewart Granger, mais il faut bien reconnaître que John Wayne vampirise la caméra.
Si l’on n’est pas trop regardant sur le contenu d’un scénario plus que léger, cette comédie westernienne sans prétention, interprété par un John Wayne très cabotineur vous fera passer une bonne soirée.
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