Saw 6 commence comme les autres par une scène de torture, mais différente des autres car la, ces sont deux personnes qui devront se battre pour survivre car un seul des deux restera en vie. Voila la nouveauté de se 6ème chapitre. On espère en voyant cette scène que ça donne le ton du film et c’est le cas ! Bien sur les tortures sont toujours la et c’est toujours des gens qui doivent se torturer eux même pour espérer vivre mais l’idée d’un duel pour la survie ajoute un suspense. Il ne suffit plus de se mutiler mais le faire mieux que son adversaire, donc, se couper un bras quand en face il se coupe des bouts chaire.
Après cette scène de torture, le film reprend la ou s’arrêtait Saw 5, à l’écrasement du corps de l’agent spécial Strahm. Les jeux de tortures peuvent reprendre de plus belle alors avec comme fond pour les excuser, une morale. Cette fois-ci, c’est un assureur maladie qui trouve des combines pour refuser de prendre en charge les malades qui se retrouve piégé.
Le fait qu’il ne se batte plus uniquement pour sa survie mais aussi pour celle d’autres prisonniers, devant alors en sacrifier d’autres, relance le suspense et nous amène dans une série de jeux mortels tous aussi sanglants les uns que les autres.
Au final, alors que je m’attendais à avoir une suite proche du 5, ou les tortures sont la parce que c’est un film de tortures et qu’il faut bien remplir 90 mn, et bien, ce n’est pas le cas. Ils ont réussis à renouveler la série sans pour autant innover totalement.
Saw 6, qui a un drôle de nom d’ailleurs (j’aurai cru qu’il aurait subit le même sort que « les dents de la mer 2 »), est bien plus intéressant et bien mieux mit en scène que les 4 et 5.
Par contre, quand on sait que pour le 7 (et oui, y aura un 7) c’est le retour de David Hackl à la réalisation, lui-même qui avait réalisé le 5, ça fait peur !
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