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Titre
:
Une semaine sur deux (et la moitié des vacances scolaires)
Version :
Française
Auteur de la critique :
montana62
Date de la critique :
13/10/2010
Cette critique a été
visitée
91 fois.
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Editeur : TF1 Vidéo Année de sortie au cinéma : 2009 Date de sortie du DVD : 06/01/2010 Durée du film : 98 minutes
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Résumé :
Léa, douze ans, aurait aimé vivre dans une autre famille...
Une famille où l'on ne se sépare pas, où l'on n'a pas deux maisons... une famille où sa mère la comprendrait mieux, où son père aurait un peu plus les pieds sur Terre et où son petit frère écolo ne lui reprocherait pas son temps passé sous la douche sous prétexte qu'il n'y aura bientôt plus d'eau sur la planète...
Cette année-là, Léa entre en cinquième. Tandis que son père et sa mère tentent de reconstruire leur vie, elle va connaître son premier amour, celui qui bouscule les certitudes sur le monde, sur les parents, celui qui fait qu'on n'est plus jamais vraiment le même.
Cette année-là, chacun va peu à peu retrouver son équilibre et s'ouvrir aux autres...
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Avis
Artistique |
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Avis
sur le film : |
(6/10) |
Ivan Calberac propose la tranche de vies d’une famille recomposée, sa particularité étant de suivre cette fracture durant une année de scolarité.
Le sujet n’est pas nouveau, quelques films illustrent déjà ce phénomène récurent de la séparation d’un couple et on se demande bien ce que le réalisateur peut apporter de plus.
C’est la jeune Léa qui dresse le portrait de ses parents, une mère gérant une agence immobilière et un père idéaliste, l’érosion, la divergence de point de vue et une entaille dans le contrat de mariage sont largement suffisants pour amener le couple devant un juge pour régler les modalités de divorce. La fracture fait forcément des victimes, les enfants, objets de partage et de convoitise devant s’adapter à un nouveau rythme de vie.
Les situations évitent le mélodrame, le réalisateur préférant amener la réflexion sur ce que peuvent éprouver nos progénitures. La méthode est louable mais pas franchement innovante, la faute sans doute à une mise en scène assez plate et des dialogues trop peu incisifs. Ivan Calberac nous saupoudre un peu de «LOL» avec les moyens du bord, pour le reste « La Boum » avait déjà fait le tour.
Cependant le ton employé, les plans rapides donnent un rythme qui évitent l’ennui, Mathilde Seigner et Bertille Chabert dominent largement les débats, c’est du reste dans l’interprétation que l’on trouvera de l’intérêt au sujet.
Tout comme son titre, on est à moitié satisfait de ce métrage qui se contente de surfer sur les vaguelettes des problèmes familiaux, son seul soucis étant de rassembler la famille pour un compromis cinématographique léger mais assez divertissant.
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