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Titre
:
G.I. Joe : Le réveil du cobra (Blu-ray)
Version :
Française
Auteur de la critique :
montana62
Date de la critique :
28/11/2010
Cette critique a été
visitée
198 fois.
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Editeur : Paramount Année de sortie au cinéma : 2009 Date de sortie du DVD : 10/12/2009 Durée du film : 113 minutes
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Résumé :
Du désert égyptien aux profondeurs des glaciers en passant par Paris, l’équipe des G.I. Joe utilise des équipements militaires de dernière génération pour lutter contre Destro, un trafiquant d’armes corrompu… Si l’équipe des G.I. Joe échoue dans sa mission, Destro et sa mystérieuse organisation, Cobra, pourront plonger le monde dans le chaos…
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Avis
Artistique |
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Avis
sur le film : |
(7/10) |
Pour ce film de super héros, Stephen Sommers s'est fixé deux objectifs, l'action et bannir les temps morts, et on reconnaît qu'il les atteint sans problème.
L'équipe d'élite des G.I. Joe voit gonfler ses effectifs avec deux recrues de choix, les deux survivants d'un convoi transportant des armes redoutables et permet par la même occasion de découvrir cette armée de l'ombre ayant quelques longueurs d'avance sur les forces conventionnelles. On fait assez rapidement le tour des personnages, l'épaisseur psychologique de nos héros est aussi volumineuse qu'un timbre poste, pour nous concentrer sur ces armes dévastatrices qu'on voit passer d'un camp à l'autre.
L'arme utilisée, les nano robots, n'est pas sans rappelée celle déjà utilisée dans "Le jour où la terre s'arrêta", l'occasion de voir sa puissance dévastatrice nous est donnée avec la vision apocalyptique de la destruction de la Tour Eiffel.
Les scènes d'action s'enchaînent vraiment sans temps mort, on frise même parfois l'overdose, et le réalisateur prend visiblement un malin plaisir à détruire Paris, la scène du Hummer permettant même de battre le record de voitures détruites.
Le scénario puéril, il faut bien l'appeler comme ça, se permet quelques retournements de situation, mais l'avalanche d'images et d'actions proposées reste bien la priorité et la seule réussite de l'entreprise.
Côté casting, on joue forcément vu le public visé dans l'esthétique, Sienna Miller et Rachel Nichols cadrent parfaitement dans les côtes Bimbo, Channing Tatum derrière son sourire cajoleur est bien meilleur bagarreur qu'acteur, Dennis Quaid joue les guest stars de luxe sans peser bien lourd dans la balance. Brendan Fraser s'offre un caméo pour remercier son réalisateur des momies, idem pour Arnold Vosloo, c'est finalement Marlon Wayans qui joue au Will Smith en amenant pas mal d'humour .
G.I. Joe en choisissant d'être perçu au troisième degré assure le spectacle grâce à des effets spéciaux franchement spectaculaires, un divertissement visuellement impressionnant mais cérébralement végétatif.
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Avis
Technique |
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Avis
sur l'image : |
(2.5/3) |
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Avis
sur le son : |
(2.5/3) |
Une image de grande qualité qui se joue notamment par rapport à la SD sur la précision des contours. Côté défaut on note des arrières plans moins précis mais c'est juste pour trouver une faille, de plus c'est nettement moins visible sur LCD. La palette colorimétrique est impressionnante, le contraste solide, un poil trop peut-être mais c'était également la même chose pour la SD, on note enfin un grain perfectible. La copie frise la note maximale.
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Pour la VF, on doit se contenter d'un DD à 640Kbps, la SD propose 448Kbps et curieusement semble un poil plus dynamique que le BR. Les surrounds se font plus remarquer que le caisson qui semble un peu à l'étroit, enfin le doublage est loin d'être une réussite. Dès qu'on passe en VO, là les chevaux sont libérés, le DTS-HD remporte facilement la mise par une fluidité et des effets largement supérieurs.
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Avis
sur les bonus & l'interactivité : |
(1.5/3) |
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Avis
sur les visuels : |
(0/1) |
C'est un copier-coller de la SD, on retrouve les commentaires du réalisateur et du producteur, le Making-of "La théorie du big-bang" (29'30) nous laisse vraiment sur notre faim et agace par toute cette complaisance. On termine également par Action - "Next-Gen" (21'04) dédié aux effets spéciaux et finalement beaucoup plus intéressant que le Making-of. L’ensemble parait bien léger par rapport à ses capacités et voit logiquement sa note baisser.
Hormis une précision légitime compte-tenu du support par rapport à la SD, l'achat du BR n'apporte pas une grande plus-value, sauf pour les inconditionnels de la VO grâce au DTS-HD ou éventuellement pour les possesseurs de vidéoprojecteur.
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L’esthétique n’a pas changé, la jaquette reste toujours insignifiante et la sérigraphie est toujours absente, on gagne même au passage de grossiers logos.
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