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Le contraste et la palette colorimétrique font l’objet d’un travail remarquable, la gestion des noirs profonds permet un réel confort de projection et donne une magnifique profondeur frisant parfois la 3D. La compression se fait discrète ainsi que le grain même si certains fourmillement sont visibles. Sur LCD, difficile de trouver des défauts en dehors d’arrières plans manquant de précision, par contre sur vidéoprojecteur la frustration est beaucoup plus grande pour les contours qui manquent cruellement de précision surtout sur la première demi-heure, on a droit parfois à des plans carrément troubles. Heureusement par la suite les choses s’arrangent, la définition retrouve une meilleure précision voir par moment splendide, mais le résultat global ne répond pas complètement à nos attentes.
Sur LCD la note frise le 3 alors que sur Vidéoprojecteur cela ne mérite pas plus qu’un 2.
La version SD proposée est plus que moyenne, il faut slalomer entre les flous, la compression visible et surtout les nuages de poussières pour se frayer un chemin visuel correct.
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On éprouve la même frustration côté sonore pour la VF, la majorité frontale joue trop peu avec les surrounds. Le mixage isole même un peu trop le doublage sur la centrale, l’étouffant parfois. J’avais déjà noté le problème sur la version SD. Par contre dès qu’on passe en VO, la HD délivre ses chevaux dans un dynamisme extraordinaire, la partition de James Horner flotte dans la pièce avec une merveilleuse limpidité, la VF DTS mi-débit ne pèse pas lourd en comparaison. Il est certain que la VO mérite la note maximale, mais la VF doit se contenter d’un 2.
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Avec un Blu-ray remplit à ras bord (50GO), les 3 heures du film laissent forcément peu de place aux bonus. On retrouve malgré tout les commentaires de Mel Gibson ainsi que pour la partie interactive "Le monde de William Wallace", les 2 impliquent de revoir le film et nous prive du moindre sujet à voir librement, dommage.
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Le sur-étui et la jaquette propose un William Wallace tourmenté mais au regard déterminé sur cet emblème anglais. La sérigraphie se fixe sur l’image final d’une poignée d’hommes prêts à en découdre face à l’occupant, l’esthétisme n’est pas vraiment de mise mais conserve fidèlement l’esprit.
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