Pas mal de petits reproches sont à adresser à cette copie visionnée sur vidéoprojecteur. Dans l’ordre ou le désordre, le manque de piqué est flagrant, c’est par moment très lisse et surtout cela manque de profondeur. La définition varie de l’excellent au moyen, la palette de couleurs est assez bonne même si par moment on a un sentiment de peau un peu trop rosée. Heureusement il y a largement de quoi se satisfaire de cette copie supérieure à la version SD, le contraste reste solide, le grain discret ainsi que la compression., le seul élément perturbateur vient de ces premiers éclairs dans la nuit provoquant un sacré bruit vidéo.
Sur LCD le manque de définition est beaucoup plus atténué, on apprécie une compression très discrète même si quelques bruits vidéo sont visibles, cette peau un peu trop rosée se remarque également mais pour cette projection, avantage au LCD qui "dissimule" mieux ces petits défauts
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L’élément technique le plus abouti du disque même s’il n’est pas parfait. Les effets sont dévastateurs, tellement qu’ils en étouffent parfois le doublage le rendant à peine audible. Le dynamisme est phénoménal, la VF surpassant même sur ce registre la VO qui reprend malgré tout une longueur sur la fluidité. Dommage une fois de plus de se contenter d’une piste DTS mi-débit pour la VF quand la VO s’offre le DTS-HD master audio. Sans ces pertes significatives sur les voix françaises, la note serait maximale.
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On peut se passer des 2 premiers reportages bien trop superficiels "Les coulisses de Twister" (13'51) et "Autonomie d'une tornade" (8'32) pour se consacrer à "A la poursuite de la tempête" (28'58) plus consistant et "Technologies Naturelles : les tornades" (45'18) le plus intéressant même s'il ne traite que sur ces phénomènes naturels et ne parle pas du film. Le clip de Van Halen (3'35) et le film annonce relève de l'anecdotique et on termine par les commentaires du réalisateur et responsable des effets spéciaux.
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La jaquette conserve l'affiche originale dans une piètre qualité, la sérigraphie se recentre sur la star du film évinçant les humains, mais l'ensemble est purement massacré avec tous les logos inondant le visuel.
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