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Titre
:
Family Man - Edition prestige TF1
Version :
Française
Auteur de la critique :
Tyler
Date de la critique :
31/05/2003
Cette critique a été
visitée
1442 fois.
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Editeur : Seven7 / Metropolitan Filmexport Année de sortie au cinéma : 2000 Date de sortie du DVD : 21/11/2001 Durée du film : 121 minutes Acteurs: Nicolas Cage
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Résumé :
Jack et Kate s'aimaient, mais un jour, Jack saisit l'occasion de gagner ses galons de courtir en partant à Londres. Il promit à Kate de revenir vite. Treize ans plus tard, Jack Campbell a réussi au-delà de ses espérances. Désormais, tout son temps est dédié à l'argent, aux succès et aux conquêtes d'un soir. Il n'a jamais revu Kate... La veille de Noël, alors qu'il fait des courses, Jack empêche un mystérieux individu de braquer une épicerie. En récompense, le destin va lui montrer quel autre homme il aurait pu être...
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Avis
Artistique |
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Avis
sur le film : |
(4/10) |
Quand on voit un film comme Family man, on ne peut s'empêcher de prendre le scénariste en pitié car le voilà bien malgré lui dans une situation sans espoir. Car insuffler ne serais-ce qu'un soupçon d'originalité dans cette histoire de golden boy repenti tient de l'impossible. En deux mots : Nick Cage est "un capitaliste" pur et dur (ce n'est pas moi qui le dit mais un personnage du film). Il est donc très très méchant et égoiste. Il fait travailler ses employés le jour de noel. Ah ouais, il est vraiment pas gentil du tout. Son système de valeur entier est basé sur l'argent et la possession jusqu'au jour ou un ange (Don Cheadle) lui donne la possibilité de vivre pour un temps une modeste vie de père au foyer, celle là même qu'il aurait eu si il avait épousé sa copine de fac 13 ans plus tôt...
Dire que tout cela tient de la caricature est encore un euphémisme princier. Tout est plus prévisible que dans un roman de Barbara Cartland et ne parlons pas du dénouement que l'on devine rien qu'en regardant la bande annonce. Ca voudrait ressembler à du Capra, c'est plus proche du mauvais téléfilm M6. En deux mots : même Disney aurait reculé devant cette montagne de clichés potentiels. Au final, on apprend que mieux vaut être un vendeur de pneus que d'être un richissime homme d'affaire, que la bonne break familial est plus sympa que la ferrari et que la possession matérielle, C'EST TRES MAL. Ah oui et puis les enfants, c'est cool, et l'amour c'est beau et ça fait pleurer les yeux d'émotions que même que c'est vrai.
Moral, vous avez dit moral ?
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