L'image au 1.85 d'origine bénéficie d'une belle anamorphose en 16/9. Le master ne présente aucun défaut et le choix de couleurs un peu ternes et délavées voulues par le réalisateur (on a l'impression d'une image assez froide) est parfaitement respecté. Aucun soucis donc si ce n'est peut être un léger manque de profondeur dans les contrastes (mais là je chipote...)
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La VO bénéficie de la remastérisation 5.1 tandis que la VF reste en dolby stéréo. Le remixage proposé sur la bande anglaise n'est pas ultra dynamique mais se fait sentir toujours au bon moment (poursuites en voitures, bruits de métro...). Bref, ça ne vous cassera pas les oreilles, mais cela vous permettra quand même d'apprécier votre installation HC.
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Rarement on aura vu une édition aussi pauvre tant dans sa présentation que dans son contenu : menus fixes (mais sonorisés par la musique du film), chapitrage sous forme de vignettes fixes et seulement une BA en bonus. Largement en-dessous des standards actuels
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Dans un fourreau cartonné (avec le logo de la collection 13ème rue), le boitier Amaray révèle une affiche plein cadre sombre et angoissante. Ce recto est repris sur la sérigraphie qui présente une belle définition et un rond central imprimé.
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