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Titre
:
À la dérive
Version :
Française
Auteur de la critique :
Hotkiller
Date de la critique :
13/01/2004
Cette critique a été
visitée
981 fois.
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Editeur : Columbia / Tristar Année de sortie au cinéma : 2002 Date de sortie du DVD : 03/12/2003 Durée du film : 89 minutes
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Résumé :
Une femme fortunée et quelques amis louent un yacht pour faire une croisière sur la Méditerranée pendant l’été. Parmi l’équipage, un marin communiste qui déteste d’emblée cette femme riche mais qui doit composer avec ses caprices. Un jour, alors qu’elle s’est réveillée tard dans l’après midi et que ses compatriotes sont partis à terre, elle demande au marin de l’emmener rejoindre ses amis. Malheureusement le petit bateau à moteur sur lequel ils avaient embarqué tombe en panne. Après avoir dérivé toute la nuit, ils accostent sur une île déserte.
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Avis
Artistique |
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Avis
sur le film : |
(1/10) |
Très officiellement je vous présente la plus grosse "daube" cinématographique de ce début du 21ème siècle !!
Véritable film de commande sans intérêt, sans histoire... A la dérive est un chef d'oeuvre de cinéma sirupeux, mièvre et bétifiant au possible. C'est pas que j'aime pas le cinéma romantique (Pretty woman et autres Maid in Manhattan par ex.) mais ici on dépasse le romantique, on tombe dans la comédie de Prisu à deux balles où les larmes sont suscitées plus par le vide absolu du scénario que par la sincérité du jeu des acteurs.
On a un peu de mal à comprendre comment Guy Ritchie, le réalisateur du surprenant Snatch, a pu aller se fourvoyer dans une réalisation aussi inintéressante. Ah mais j'oubliais, Guy Ritchie, il est pas marié avec Madonna par hasard ? Et Madonna, elle tiendrait pas le premier rôle dans ce film. OK pigé. Donc finalement les deux toutereaux ont filmé leurs vacances, sont allés voir les studios et comme par magie, c'est devenu un film...
Rajoutez une prestation d'actrice de Madonna aussi vivante qu'un manche de pioche et le tour est joué : bienvenue dans le top ten des nanards.
A moins, oui à moins que ce ne soit un film thérapie : comme le scénario raconte l'histoire d'une femme qui va apprendre à fermer sa (trop) grande gueule, peut être qu'il y a un message caché du réalisateur vers sa femme. Chose qu'il avait d'ailleurs déjà fait dans un court métrage pour la marque de voiture BMW où Madonna se moquait de sa propre image de star.
Mais bon, le résultat est quand même pitoyable.
Seul point fort : aucun film n'a aussi bien porté son titre (en français)
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